Aller au contenu

Alexandre GENIEZ


Didier SALEMBIER

Messages recommandés

Plus embêtant pour Péraud que pour Geniez, question d'âge, mais dommage quand même car il y avait la possibilité d'améliorer sa meilleure performance sur le Giro même si il semble que la victoire d'Arnaud Démare à San Remo n'ait pas été digérée par d'aucuns et que l'ambiance vis à vis de la FDJ soit délétère sur les routes Italiennes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'enquête sur Milan-San -Remo est apparemment encore en cours et j'ai lu ça sur l'équipe (ça parle du tour de Romandie, en Suisse) :

Marc Madiot a déclaré qu'il n'était pas inquiet de l'issue de l'enquête concernant la victoire de son coureur, Arnaud Démare, à Milan-San-Remo, en mars. Le patron de l'équipe FDJ a estimé que Démare avait déjà prouvé son innocence, en publiant ses données Strava «qui ont démontré qu'il n'a jamais roulé à 80 km/h dans la montée de la Cipressa, comme Tosatto semblait le dire», a souligné Madiot au site Cyclingnews.com. Le coureur Tinkoff Matteo Tossato avait affirmé à la Gazzetta dello Sport qu'il avait fourni à la Fédération italienne de cyclisme une preuve écrite dans le cadre de l'enquête.

Madiot a également déclaré que si Démare avait été d'une autre nationalité, il n'y aurait pas eu de problème. «Je pense que certaines personnes ont du mal avec l'idée qu'un coureur français dans une équipe française puisse gagner un monument comme Milan-San Remo, estime-t-il. Je pense que si la même situation avec un coureur d'une grande équipe étrangère s'était présentée, il n'y aurait jamais eu toutes ces histoires.»
Les coureurs FDJ intimidés
Selon Marc Madiot, ses coureurs ont même été intimidés lors d'une étape du Tour de Romandie. Derrière les Movistar dans le peloton, plusieurs coureurs leur auraient dit qu'ils n'avaient pas leur place. Et lors du Tour de Catalogne, Benoît Vaugrenard a approché Tosatto pour lui demander : «qu'avez-vous contre les Français?». Remonté, Madiot a encouragé les coureurs français à prendre position pour se faire respecter.

«Quand un coureur français est insulté, il devrait aller voir les commissaires et exiger une pénalité. (...) C'est à nous de nous imposer et de prendre notre place. Il est fini, le temps où les équipes françaises n'étaient pas autorisées à prendre les échappées comme il y a dix ans. Et fini le temps où nous devions baisser les yeux.»
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites





×
×
  • Créer...