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Liège-Bastogne-Liège


Guillaume EDMONT

Messages recommandés

"Et pourquoi pas revenir au final classique, sur le boulevard de la Sauvenière…"

Pourquoi pas! et durcir la partie "stavelotaine", il y a de la matière😃.

Quand à réduire le nombre de coureurs par équipe ce sont les coureurs qui vont en faire les frais, c'est déjà beaucoup de sacrifices pour être coureur de haut niveau; réduire les équipes c'est faire encore plus d'élitisme avec les risque de dérive qu'on connait.

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"Quand à réduire le nombre de coureurs par équipe ce sont les coureurs qui vont en faire les frais, c'est déjà beaucoup de sacrifices pour être coureur de haut niveau; réduire les équipes c'est faire encore plus d'élitisme avec les risque de dérive qu'on connait."

Réflexion intéressante, Eric, la question des effectifs n'est pas si simple ...

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"L'édition 1919 de Liège-Bastogne-Liège fut, paraît-il, héroîque. Seuls 6 coureurs à l'arrivée et départ retardé de 2 heures. Mais j'ai pas connu."                                                                                                                                                                 Mmmmhhhhh ..... j'ai en mains une foto d'époque, Michel, on te reconnaît très bien, tu dois avoir 8/9 ans - félicitations pour ta longévité exceptionnelle, j'espère qu'un Galabru contemporain ne t'a pas acheté un appart en viager ...    😉

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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albasini a fait tout le boulot comme a l habitude;c est un peu trite de le voir battu par des gars qui ne sont pas passes et qui ont attendu les 100 derniers metres.Mais ce n est pas nouveau dans le cyclisme

je n ai pas compris que alaphilippe ait été le premier attaquant;a 22 ans il aurait du etre plus prudent,mais ça denote un sacré temperemment

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Poels a su se faire discret dans les derniers km, faire le minimum d'efforts dans les roues, prendre le soin de retirer ses gros gants mouillés en bas de Ans pour sans doute avoir plus de précision dans ses changements de vitesse.Albasini a montré qu'il était le plus fort dans la rue Naniot, mais Poels en bon hollandais rusé qu'il est a pu discrètement attendre le dernier moment propice pour lancer le sprint de loin dans le dernier virage.Ah oui il y avait encore une subtilité en plus : R Beenkens avait fait remarquer que dans la ligne droite d'arrivée le vent était de dos, cela n'avait peut-être pas non plus échappé à la stratégie"Sky": celui qui virait en tête avait l'avantage; c'est dans ce genre de détail qu'on gagne ou perd une course!

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