Patrick CHEVALIER Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Laurent PAPIN a écrit :Si en plus ont ne doit même plus attendre un copain qui a crevé mdr, bien sur que si on attend le copain lorsqu'il n'y a pas de voiture suiveuse ce qui est rare 1ou 2 fois pendant tout les entrainements hivernaux, mais lorsque la voiture est présente et qu'elle a des roues de secoursles choses se passent quand je te le dis dans mon précédant message, et je te répète que si tu es le seul a avoir des disques et que n'as pas de roues de secours les gars attendront une fois 😉mais si tu crèves souvent tu rentreras seul Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Mais compte tenu de la puissance de freinage, surtout sur le mouillé et quand tu fais un poids de criquet comme moi, tu n'as pas le choix. Car sinon c'est blocage de roues systématique.Tu admettras qu'il est possible de bloquer avec des freins à patins, sans déployer des efforts surhumains. Comment fais-tu donc pour ne pas bloquer habituellement ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Laurent PAPIN Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 en pneu j'ai du crevé 3 fois en ans, alors en tubeless Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 la pression appliquée sur des étriers de frein me parait plus facile à appliquer, à doser, que sur un levier hydraulique avec une course morte.Je fais du vélo depuis 33 ans dont près de 20 en compétition à haut niveau. Je n'ai pas le souvenir d'avoir bloqué une seule fois ma roue avec une jante alu sous la pluie. Avec une roue carbone, cela m'est arrivé, mais plutôt à faible vitesse, sous la pluie et parce que j'avais été surpris par la manoeuvre d'une voiture par exemple.Il y a quelques mois, lors du test d'un nouveau groupe à disque en Autriche, j'ai bloqué deux fois deux suite la roue arrière en attaquant fort dans une succession d'épingles. Et sur le sec avec des boyaux de 25. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gabriel BAUDON Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 bon je vois que c'est pas l'honnêteté qui t'étouffe toi , sur ton cher site Cube entre le modèle que tu cites en ultégra Di2 à frein classique et le "même modèle" a disque mais en ultégra méca il y a déjà 600 gr donc juste avec le poids des dérailleurs on arrive déjà à 700gr , bref tu es de mauvaise fois..moi je te dis juste que ça fonctionne bien que j'en suis satisfait mais qu'il y a du poids en plus et là tu viens encore faire ta pleureuse ou ton guignol c'est selon... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 la pression appliquée sur des étriers de frein me parait plus facile à appliquer, à doser, que sur un levier hydraulique avec une course morte.Il y a aussi une course morte avec des freins sur jante, ça n'explique pas ta plus grande capacité à doser ce type de freinage.En fait, tu as répondu indirectement à ma question "comment fais-tu pour ne pas bloquer habituellement ?" : c'est tout simplement l'habitude; 33 ans d'expérience, dont 20 de compétition, ça compte, tu as largement eu le temps d'apprendre.Que se passe-t-il lorsque tu essaies pour la première fois une voiture dont l'assistance des freins est supérieure à ce que tu connais ? Tu freines trop fort au début puis tu t'habitues à appuyer moins fort sur la pédale.Tu dis avoir bloqué lors du test d'un nouveau groupe en Autriche, en attaquant fort dans une succession d'épingles. Et dans des conditions habituelles, après une petite période de rodage, penses-tu vraiment être incapable d'apprendre à doser correctement de tels freins ?Encore une fois, je n'essaie pas de convaincre quiconque de passer aux disques, je ne sais pas ce que je ferai moi-même pour mon prochain vélo, mais qu'on arrête de dire que les disques sont "trop" efficaces... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric HENNUY Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 C'est vrai qu'au début des freins à disque hydrauliques sur VTT, je bloquait facilement par manque d'habitude, maintenant c'est beaucoup plus rare. Mais c'était vrai aussi avec les premiers freins Shimano SLR double pivot; je bloquais parfois de l'arrière à cause de la puissance plus grande, pas encore habitué à leur puissance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Le cas évoqué par Jean Guy pose aussi la question du choix le plus judicieux par rapport à son poids. Un cycliste de 60 kilos n'a pas besoin du même diamètre de disque qu'un autre de 100 kilos. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 sans maîtrise la puissance n'est rien. tu te souviens de la pub de Michelin ! 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Quand tu actionnes un étrier, même si le patin ne touche pas directement la jante, l'étrier s'en rapproche et tu peux doser la puissance que tu mets au freinage.Avec de l'hydraulique, sur la moitié de la course du levier, il ne se passe rien. Donc le point de contact avec le disque est plus dur à trouver. Et quand il arrive, ça mord tout de suite.Concernant ce nouveau groupe, je n'ai pas attaqué fort dans des épingles au bout de quelques centaines de mètres, mais après une centaine de km, et une vingtaine de descente. Maintenant, sans doute qu'on peut s'y habituer, bien que je ne juge absolument pas ça nécessaire puisque j'ai jamais manqué de puissance de freinage avec des Dura Ace. Mais il y a comme tu dis le problème du diamètre des disques qui doit être adapté au poids de l'utilisateur. Et on en revient au problème de compatibilité entre coureurs, ce qui réduit les possibilités de dépannage en course par exemple. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 tu peux décoder ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Tu parles comme Simon : tu n'as vraiment pas de temps de latence avant d'obtenir une puissance de freinage suffisante dans les descentes mouillées ? Personnellement, les premières secondes passées à sécher les jantes me paraissent une éternité Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Laurent PAPIN Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Message de Jean GUY auquel vous souhaitez répondre :Quand tu actionnes un étrier, même si le patin ne touche pas directement la jante, l'étrier s'en rapproche et tu peux doser la puissance que tu mets au freinage.Avec de l'hydraulique, sur la moitié de la course du levier, il ne se passe rien. Donc le point de contact avec le disque est plus dur à trouver. Et quand il arrive, ça mord tout de suite. pour dire ça tu ne dois pas avoir beaucoup roulé en disc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Sous la pluie, je descendais très très bien. Tout est dans l'adhérence des pneus. Si j'étais convaincu que les pneus tenaient la route, que je pouvais prendre de l'angle sur le mouillé sans décrocher, je ne me posais pas la question du freinage. J'anticipais en léchant la jante avec les patins pour chasser l'eau avant d'entamer le ralentissement. C'est un pilotage tout en douceur, sans geste - et surtout pas de freinage - brusque.Bon, je suis un peu moins à l'aise maintenant. Je me laisse de la marge et je n'ai pas besoin de prendre le moindre risque. Sûr aussi que les vélo plus raides d'aujourd'hui peuvent être plus vaches en réaction. Mais vraiment, il a dû m'arriver deux fois dans ma vie d'être dans une descente raide sous des trombes d'eau avec des roues carbone et de trouver effectivement le temps long avant que ça ralentisse. Deux fois sous des conditions très particulières (gros orage, énormes flaques d'eau, et encore une fois roues carbone, pas forcément les plus adaptées pour la montagne en tout cas). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 pour dire ça tu ne dois pas avoir beaucoup roulé en disc. Je pense avoir fait plus de km en disque que toi depuis que tu as ton vélo. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 J'ai l'impression qu'on ne parle pas de la même chose. Un pilotage "en douceur sans freinage brusque", tu le fais comment quand tu as une épingle après une portion droite ? Comment passes-tu de 60-70 à 20-25 km/h "en douceur" ? En commençant à freiner 100 mètres à l'avance ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Tu adaptes ta vitesse en conséquence dans la ligne droite qui précède. Toi tu parles de pilotage comme en moto où tu plantes dans les freins avant chaque virage. Un coureur, ça freine (ou ça ralentit) plutôt en souplesse, ça penche autant que le permettent les pneumatiques, ça passe vite le virage pour limiter la nécessité de relance derrière. Je n'ai jamais eu besoin de martyriser les freins dans une descente. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Effectivement, je freine comme à moto : le plus tard possible. Sur le sec, ça me permet de doubler pas mal de monde, mais sur le mouillé, le temps de séchage des jantes m'a déjà donné quelques sueurs froides... Je ne suis toutefois jamais allé à la faute 😬 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Regarde Niblai comment il fait, ou Sagan. Tu n'as jamais l'impression qu'ils plantent les freins, par contre ils virent vite, sur des trajectoires bien tendues. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 4 janvier 2018 Share Posté le 4 janvier 2018 Tu parles des courbes abordées à hautes vitesses, je te parle des virages qui nécessitent un gros ralentissement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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