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Championnats du monde


Philippe BOCHU

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Cet exercice ne peut pas s'improviser : le groupe doit être rodé à la manoeuvre pour assurer cohésion, homogénéité et stratégie. Il en va de l'intérêt sportif que l'on peut attendre de professionnels.

Les équipes commerciales s'entrainent régulièrement à ça et le mettent en pratique plusieurs fois par an.

Sur le chrono, des équipes nationales n'ont pas le temps de mettre au point cette mécanique de précision.

 

J'avance donc cette explication ... 🆒

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tu me l'apprend ! bon, on va mettre tout ça sur le compte de la frustration de son eviction de la vuelta qu'a mon avis il esperait gagner ,, du coup,  cette victoire a la bernocchi lui a redonné un gros moral pour le mondial ,, sinon, cette suffisance cela ne lui ressemble pas et je suis certain qu'il retrouvera son comportement habituel, sympa et modeste, dés qu'il aura réussi a triompher sur l'un des 2 gros objectifs de sa fin de saison, Richmond ou le Lombardia 

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Tu te rappelles mon "Papy" des  Gosta, Sture, Erik et Tomas Pettersson, par exemple, sur le 100 km contre la montre par équipes de quatre ! Désormais, ils sont six pour des distances, souvent, inférieures à 50 bornes, plus les conditions sont idéales moins l'effort est "contraignant" ! C'est inversement proportionnel aux progrès réalisés dans tous les domaines. D'ailleurs cela vaut pour nombre de disciplines et sports. 😉

 

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alors dans tous les sports on n'a plus besoin de coupe ou championnat du monde des nations, plus de JO ?!

que des marques

tout sera réglé et "contrôlé" par des boursicoteurs et des laboratoires ==== bonjour le sport

on pourra supprimer définitivement la TV pour être épargné de la dictature du fric et de la frime

 

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Ce que veut dire Joachim, c'est que si tu gagnes 33% de puissance sur un trajet donné, ce qui correspond à un gain de vitesse de 10% (la puissance varie comme le cube de la vitesse), c'est comme si tu passais par exemple de 32 à 35,2 km/h de moyenne. Hé bien il est largement plus difficile de passer de 32 à 35,2 km/h de moyenne plutôt que d'être capable, à vitesse égale (par exemple 32 km/h), d'augmenter son trajet d'une distance de 33% (par exemple de 50 à 66km).

 

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C'est plutôt de la physique en l'occurrence.

Les chiffres de Josquin supposent des conditions d'exercice constantes pour chaque mesure: même forme, même envie, mêmes conditions climatiques… en particulier le vent. C'est pour ça que les moyennes générales sur différentes sorties ne sont guère significatives, si les conditions ne sont pas similaires. A propos de vent, sur Bordeaux-Paris il doit être globalement favorable ou défavorable sur l'ensemble du trajet, et ça peut très largement chambouler la moyenne.

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Ho la la ! Ne vous y trompez pas, les "chamailleries" entres Français en 59, alors que jamais une formation hexagonale n'avaient été aussi forte ainsi que l'aide de "Poupou" à "Pinpon" en 1967, par exemple, ce dernier donnant une baffe à Delisle, étaient moins un conflit d'équipe de marque qu'une lutte de pouvoir au niveau national ! Rien à voir avec le fric insufflé par les sponsors, qui ne connaissent du vélo que l'aspect financier, aux équipes. Croyez vous sérieusement que la joute quasi-permanente de 62 à 67 entres Poulidor et Anquetil ait été une lutte entre Mercier et St Raphael, Ford voire Bic ? Ben voyons ! Aujourd'hui, je n'en disconviens pas, certes mais pas naguère, le fric était beaucoup moins vecteur de corruption que de nos jours. Je vais en étonner, plus d'un (des jeunes principalement) mais, jadis, les gens se contentaient de peu ! Les sportifs, idem !😉

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