Aller au contenu

La Vélomédiane - Claude Criquielion 2015


Franck PASTOR

Messages recommandés

Hier, j'ai participé à la seule cyclosportive avec classement qui reste en Belgique : la Vélomédiane-Claude Criquielion, parrainée depuis sa création par le champion wallon avant qu'il ne décède au début de cette année, à 58 ans, victime d'un accident vasculaire cérébral. 🙁

http://velomediane.be/j3/index.php/fr/

http://www.lemonde.fr/sport/article/2015/02/18/cyclisme-l-ancien-champion-du-monde-claude-criquielion-est-mort_4578889_3242.html

La Vélomédiane, dont le point de départ est la ville de La Roche-en-Ardenne en Luxembourg belge, c'est une institution en Belgique, un des plus beaux et des plus rudes parcours qui soit proposé au randonneur/cyclosportif dans les Ardennes. Cette année par exemple, c'était officiellement 170 km qui étaient au programme avec 3300 m de dénivelée et des «morceaux» à gravir, comme l'emblématique Pied Monti (ou Mur de la Vélomédiane), le Parc à Gibier enchaîné avec Haussire, la côte de Malempré, celle de Roche-à-Frêne, le col du Rideux versant nord et la côte de Beffe.

http://velomediane.be/j3/index.php/fr/velomediane/parcours

Pour ceux qui n'ont pas les jambes ou pas l'envie de faire ce grand parcours, une «Petite Crique» (jeu de mot avec le surnom de Criquiélion, «Le Cric» et la Kriek, bière belge bien connue) de 89 km, sans classement, était également au menu. Mais pour ma part, c'était le grand parcours ou rien, même si c'était la première fois que je participais à cet événement ! 🆒

Le départ de la Vélomédiane comme de la Petite Crique est donné en plein centre de La Roche, à 9 h tapantes. Il fait encore assez frisquet, mais la météo annonce le beau temps pour la journée et même la chaleur pour l'après-midi. À en juger par la foule de participants, nous sommes certainement plusieurs milliers, Flamands et Néerlandais en très grande majorité. Un organisateur me dira à l'arrivée qu'il y avait déjà 1850 cyclistes environ à prendre le départ pour la seule Vélomédiane. Ledit départ est assez lent, les cyclistes devant par la ligne de chronométrage au compte-gouttes, si bien que le chrono effectif sera enclenché pour moi à 9 h 07.

D'emblée, la côte de Beausaint (honni soit qui mal y pense!) est sous nos roues. 2,8 km à 5,4 % très réguliers, sur une large route nationale, idéal pour s'échauffer, malgré un revêtement très mauvais par endroits, comme de juste — c'est aussi ça la Belgique, après tout 😕. Peu après le sommet, le parcours quitte cette nationale pour s'engager sur la gauche dans une longue descente sur une petite route étroite et forestière, et attaquer ensuite la courte côte de Mierchamps (800 m à 5 %) avant de revenir une première fois à La Roche.

Un virage à droite très sec entame alors la montée de la côte d'Hives, 2,1 km à 7 % assez réguliers également. C'est une de mes côtes préférées d'Ardenne en raison du parfum indiscutablement montagnard qu'elle rend : on commence par longer le flanc d'un côteau très incliné, presque une falaise, pour déboucher ensuite dans des champs qui ont des allures d'alpages.

Peu après Hives, la Vélomédiane et la Petite Crique vont bifurquer, la première se dirigeant vers Ortho, en passant par la côte des Haies d'Ortho, longue (2,7 km), mais peu pentue (3 %). Puis c'est Nisramont, et une descente cahoteuse vers un barrage hydraulique sur la rivière Ourthe avant d'affronter la côte de Fily, un peu plus longue (3,3 km) et un peu plus pentue (4,6 % de moyenne). Pas mal d'habitants des villages qui suivent, Nadrin et Wibrin, sont sur le pas de leur porte pour nous encourager — on verra même des orchestres improvisés sur le parcours !

Les côtes dites de Wibrin (1,3 km - 6,1 %) et de Nadrin-Bérismesnil (1,5 km, 3,6 %) sont avalées prestement, en tournant bien les jambes selon mon habitude. Je dépasse notamment deux dames hollandaises, et j'entends l'une derrière moi dire à sa compagne : «Mooie cadans»,  belle cadence. Une cadence de pédalage élevée serait-elle un élément pour séduire ces dames? 😃

Longue descente ensuite vers le hameau de Maboge, très fréquenté par les adeptes du camping, où nous attend, caché dans l'ombre, après un petit pont sur la rivière Ourthe, le premier (très) gros morceau de la Vélomédiane : le Pied Monti !

Devenu LE symbole de cette cyclosportive, la plupart le connaissent maintenant comme « le mur de la Vélomédiane ». 2 km à 8,8 % de moyenne, nous disent les stats de la feuille de route, mais il ne faut surtout pas s'y fier : les pourcentages hectométriques du premier kilomètre sont, dans l'ordre, 3, 17, 16, 18, 12, 9, 17, 11, 3, 5… avec une pointe à 21 % sur 5 m. Une succession de murs très difficiles à gérer ! J'y croise les premiers cyclistes devenus piétons, un «bonheur» que je ne connaitrai heureusement pas de la journée (merci à mon braquet de 26/34). Le deuxième kilomètre, à travers champs, est nettement plus facile, mais c'est là que je dépasse le plus de cyclistes en fait, occupés qu'ils sont à retrouver leur souffle.

Au sommet, à Hubermont, direction le village de Buisson et le premier des deux ravitaillements du parcours, après 61 km. Puis descente vers La Roche par la côte d'Hives déjà empruntée tout-à-l'heure dans l'autre sens. Et à La Roche, se pointe le deuxième mur de la journée, qui est en fait une combinaison de trois côtes : la rue Saint-Quoilin (pourcentages hectométriques 13-13-7-10), un faux-plat montant de 400 m, puis la côte du Parc à Gibier (12-10-12-15-14-7), une redescente et enfin les 1300 derniers mètres à 11% de moyenne très réguliers et en ligne droite de la côte d'Haussire proprement dite. En tout 4 km, que l'organisation chronomètre pour chaque participant. Mon temps sera de 22 minutes, soit une moyenne de 11 km/h. Juste avant le sommet, je vois un cycliste néerlandophone mettre pied à terre juste devant moi en soufflant «Ik heb de count», «j'ai mon compte». Il ne restait pourtant que 100 mètres à gravir, mais il ne devait pas le savoir, ou bien n'en pouvait vraiment plus…

La descente qui suit, irrégulière, nous amène au milieu de la route de Samrée qui joint La Roche-en-Ardenne à Baraque de Fraiture, soit 3 km de grimpette supplémentaire plutôt reposante à 5% réguliers jusqu'au hameau du même nom. Pourtant je vois plusieurs cyclistes avec la plaque de la course descendre dans le sens opposé ! 😲 On n'en est même pas à la mi-parcours mais visiblement, ils en ont déjà assez vu. Et c'est vrai qu'on est loin d'en avoir fini avec les grosses difficultés du jour…

À Samrée, on descend vers Dochamps puis Lamormesnil. À partir de là je découvre, c'est un endroit que je connais très peu. Esthétiquement très plaisant, c'est sûr ! De la verdure et des collines à perte de vue. Une longue côte peu difficile, à Odeigne (2,9 km à 4,6 %) sert de prélude à un petit raidard surprenant, la côte de Malempré (800 m à 10 %), qui teste à nouveau les petits braquets.

Ensuite une longue et pénible transition d'une dizaine de kilomètres en faux-plat descendant essentiellement (je n'ai jamais aimé les faux-plats) nous amène à la vallée de l'Aisne et au troisième gros morceau du jour : la côte de Roche-à-Frêne et ses 2 km à 10 %… très constants ! Pas de répit possible dans cette côte, et pour bien des participants les jambes se font lourdes. Pour ma part je dois gérer un début de crampe à la cuisse droite (quand j'ai des crampes, ça commence toujours à cet endroit…), mais en changeant un peu mon coup de pédale (un peu plus «avec le talon» et moins «de la pointe») ça passe. Bien sûr, la côte produit des piétons supplémentaires et des cyclistes zigzagants. Et derrière moi j'entends encore une fois une exclamation concernant ma fréquence de pédalage. Je me retourne et vois deux cyclistes juste derrière moi. L'un deux, plus à l'aise que l'autre, me rejoint. Il me dit que lui-même tourne déjà pas mal les jambes d'habitude mais que là il a trouvé mieux que lui en la matière et me demande mon plus petit braquet (26/34 donc). Lui a 30/28.

On finit la côte de Roche-à-Frêne en discutant braquets, compact, triple… Je lui raconte notamment comment on peut descendre bien plus bas en braquets qu'on l'imagine, en personnalisant ses plateaux de triple (jusqu'à 24 dents avec TA). Quelque chose que bien des gens ignorent, lui compris jusqu'à maintenant !

La Roche-à-Frêne bouclée, suit une descente raide sur une route sinueuse, où j'atteins pourtant ma vitesse maximale du parcours (68 km/h). On rejoint à nouveau la vallée de l'Aisne, puis la commune du même nom, pour s'attaquer au quatrième gros morceau de la journée : le col de Rideux, versant nord. J'avais déjà grimpé cette perle dimanche dernier lors du Géants des Ardennes, mais par son versant nord-est, plus facile. Pour rappel, le Rideux est le seul col belge digne de ce nom selon l'Institut Géographique National du pays, c'est-à-dire un point d'altitude plus basse sur une ligne de crête, permettant le passage d'un versant à une autre. 370 m d'altitude, ça n'en impose pas a priori, mais par le versant nord il faut grimper pendant 2,5 km à 8 % de moyenne, et comme de juste ces 2,5 km sont très irréguliers : on peut les diviser en trois secteurs bien raides (avec notamment un hectomètre à 15 % pour le premier) entrecoupés de deux faux-plats réparateurs. 

Après le col, à nouveau une descente bien rapide, par son magnifique versant sud, et un peu plus loin, au sommet d'un bref casse-pattes à Fisenne, le deuxième et dernier ravitaillement, kilomètre 132. Il était temps, la chaleur aidant je viens juste de finir le second de mes deux bidons de 80 cl… 😬

Je discute avec un préposé au ravitaillement, qui me rappelle avec humour qu'avant l'arriver il reste encore à avaler une côte de bœuf pas très digeste… désignant par là la côte de Beffe. Pour y accéder il faut au préalable effectuer une dizaine de kilomètres irréguliers, qui me font mal aux jambes même s'ils sont globalement descendants. Et me voici au pied de ce morceau de choix, à Rendeux. Cette côte de Beffe, qui mène au hameau du même nom, c'est une ligne droite presque parfaite de 1400 m à plus de 10% de moyenne, d'une constance à faire pâlir un métronome et sur une route tellement large qu'elle ressemble à un boulevard. Là encore, des cyclistes piétons ou en zigzag rythment l'ascension. Pour ma part, la deuxième crampe de la journée m'y assaille au début… à la main droite. Elle me contraint à tenir le guidon d'une main pendant une centaine de mètres, avant qu'elle reparte comme elle était venue. Et pour la deuxième fois de la journée, quelqu'un m'interpelle au sujet de mon braquet : une dame néerlandophone que j'ai déjà croisée plusieurs fois pendant la journée et qui alors que je la rattrape me demande mon «verzet», mon braquet. Quand je le lui dis, elle lance une exclamation d'étonnement, mais choisit, pente aidant, de ne pas continuer le sujet. Je poursuis donc : étonnamment, je me sens particulièrement bien, peut-être que la perspective de l'arrivée proche me fait du bien au moral et donc au physique. 

Mais avant, il y a encore du travail de grimpette à effectuer, la côte de Beffe n'étant que le premier palier (de loin le plus consistant ceci dit) d'une très longue ascension menant à Samrée, à 549 m d'altitude. Le deuxième est la côte au nom impossible de Laidprangeleux (2,8 km à 5,6 %) à Devantave, le troisième la côte de Dochamps (1,7 km à 3,6 %) qu'on avait descendue auparavant. 

Et puis c'est Samrée à nouveau : c'est quasiment fini, il ne reste qu'une longue descente de 7 km à 5 % environ, bons pour faire grimper le compteur à 50 km/h, pour rentrer à La Roche et boucler cette cyclosportive !

Bilan : les 170 km (165 selon mon compteur) effectués officiellement 8 h et 8 minutes, soit 21,2 km/h de moyenne. La durée maximale du parcours était fixée à 9 h 30, j'avais donc une confortable marge, moi qui m'attendais à finir dans les tout derniers et limite hors-délais! Le temps réel (quand on enlève la séance de surplace au moment du départ) est de 8 h et 1 minute. Cadence moyenne selon mon compteur : 89 tours/minute. Je persiste donc à tricoter des chandails, et ça me réussit plutôt bien.  Je finis 1465ème place au classement scratch, sur les 1850 participants environ du départ et  1604 recensés à l'arrivée. Pour la montée chronométrée des 4 km d'Haussire, mes 22 minutes me valent la 1302ème place. 

Lors du Gran Fondo Eddy Merckx de 2012, j'avais fini 933ème sur 949, il y a quand même eu du progrès en trois ans, d'autant que le parcours, quoiqu'exigeant, était loin de l'être autant que cette Vélomédiane. 😄

 

Me voilà donc gratifié du titre de «Sanglier de bronze» après cette journée. Et maintenant, une idée de projet me trotte dans la tête : et si je revenais l'année prochaine pour essayer d'avoir le Sanglier d'argent ? Il faudrait que je gagne 25 minutes pour y avoir droit dans ma catégorie d'âge (44 ans l'année prochaine). Ça ne me semble pas insurmontable, n'ayant jamais été vraiment «à la limite» pendant cette journée. Mais c'est peut-être vite dit. On verra bien… Il faudra que je m'améliore énormément pour mieux passer sur le plat et surtout sur les faux-plats, ce qui nécessitera un gros travail, y compris psychologique, tellement je préfère quand ça grimpe vraiment.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Superbe CR et belle moyenne compte tenu du dénivelé ;ça me rappelle notre week end à la roche début juillet :nous avons fait bien sur le col d'haussuire (après 300m d'échauffement ça avait un peu ralé) et la côte de beffe mais pas le mur de maboge ni le col de rideux que ton récit donnent envie de découvrir.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ça vaut le coup de les découvrir en effet ! Le col du Rideux est franchement magnifique, surtout le versant sud dont j'ai d'autant pu apprécier le paysage que je n'ai fait que le descendre pour le moment. Et le versant nord grimpé lors de cette Vélomédiane est très, très exigeant.

Quant au Mur de la Vélomédiane, il donne vraiment tout son sens au mot «raidard», et en plus il est plaisant esthétiquement. Voci un extrait de ce qu'en dit l'Encyclopédie Cotacol à son sujet (en 1990): « Une des plus fortes impressions «côteuses» de Belgique vous est réservée dans le premier kilomètre. Véritable toboggan à paliers fous, cet ancien sentier communal vient d'être bitumé il y a peu pour notre plus grand plaisir et le vôtre. {…} Au sommet, un vaste panorama couvre la vallée de l'Ourthe. {…}»

On y apprend aussi que la Vélomédiane, à ses débuts, faisait passer ses participants deux fois par ce mur ! 😲

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Franck,

 

Beter zou zijn "Heb je aan deze editie deelgenomen ? "

Le participe passé est un des 3 éléments de fin de phrase avec la particule séparable et le verbe à l'infinitif .

Comme je passe pas mal de temps à expliquer la construction de phrase en néerlandais à mes élèves je ne pouvais laisser passer . 😆

Je dois te féliciter pour la qualité de ton néerlandais surtout si tu as, comme je le crois, des origines françaises.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci Jacques. Effectivement je suis d'origine française, en fait je suis toujours officiellement Français, mais je vis en Belgique depuis septembre 2000.

J'ai appris le néerlandais un peu au petit bonheur la chance, avec une méthode Assimil pour commencer, puis deux années de cours du soir hebdomadaire à la VUB. Depuis je l'entretiens comme je peux. C'est qu'à Bruxelles le néerlandais n'est pas vraiment courant, à part sur les affiches et les pancartes de rue! Parler aux participants néerlandophones des différentes cyclos aide pas mal quand même…  Lire les journaux (De Morgen essentiellement) et écouter les retransmissions de courses cyclistes sur la VRT aussi.

Le plus drôle, c'est que j'ai commencé à écrire ma phrase en plaçant le complément comme tu l'indiques, avant le participe. Seulement voilà, j'ai remarqué pendant mes différentes conversations que bien des Flamands rejetaient souvent le participe en fin de phrase, à la française en quelque sorte. Donc je me suis décidé pour le style parlé de Flandre. Mes professeurs à la VUB n'auraient pas été contents mais j'assume! J'essaierai quand même d'être plus strict la prochaine fois, maintenant que je sais qu'un prof de néerlandais rôde sur Vélo101… 😉

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un petit complément à mon compte-rendu. J'ai oublié de mentionner mon effarement devant le manque de technique de beaucoup de participants dans les descentes, ce que Jérémie Laplac avait déjà relevé pour les Géants des Ardennes.  

Mais samedi, il y avait encore plus de côtes que dans le Géants des Ardennes, et donc c'était encore plus flagrant et fréquent. Pendant cette journée j'ai pu passer en revue toutes les erreurs de technique de descente :

  • avoir les mains sur les cocottes ;
  • rouler en plein milieu de la chaussée dans les lignes droites (merci pour celui, cycliste ou automobiliste, qui cherche à dépasser derrière) ;
  • se déporter à l'extrême gauche pour aborder un virage à droite, même sans aucune visibilité ;
  • discuter à deux ou trois de front sans même regarder la route ;
  • freiner à contretemps…
À la longue ça a fini par me faire peur. Est-ce que le manque de dénivellations dignes de ce nom dans la plus grande partie de Flandre et dans quasi l'entièreté des Pays-Bas, qui en est la cause ? Je ne sais pas, mais il faudrait y faire quelque chose. Savoir quoi?

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On peut ajouter ceux qui sucent les roues en tête de groupe, parfois en deuxième position, et qui se rabattent brusquement sur celui qui qui vient de prendre son relais pour ne surtout pas prendre 3 secondes de vent...bref des gars qui ne roulent jamais en groupe. Je n'ai rien contre ceux qui sucent les roues mais restez cachés derrière svp et ne venez pas gêner ceux qui font grimper votre moyenne!

😃

Pour les descentes j'ai trouvé le moyen, je me mets en tête comme çà je vois pas ce qui se passe derrière!

😉

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Une jolie vidéo de TV-Luxembourg (la province belge s'entend) sur la Vélomédiane :

http://www.tvlux.be/video/cyclotourisme-une-velomediane-sans-son-parrain_19708.html

Deux articles du journal L'Avenir sur le même sujet :

http://www.lavenir***/cnt/dmf20150830_00694522 (l'hommage rendu au Criq)

http://www.lavenir***/cnt/dmf20150830_00694518 (le déroulement de la course de tête)

Comme d'habitude, remplacer les *** 📢 par « . n e t », sans les espaces…

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites





×
×
  • Créer...