Rémy LORIOT Posté le 30 mars 2015 Share Posté le 30 mars 2015 En somme, c'est comme en France, mais en plus petit... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe TEILLIER Posté le 30 mars 2015 Share Posté le 30 mars 2015 On vivra ça en france dans pas longtemps!cycliste=danger et droguetriste Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nicolas GARCERA Posté le 30 mars 2015 Share Posté le 30 mars 2015 Je reviens du GFNY Barcelone ou j'étais la semaine dernière, et j'ai rencontré des Flamants qui m'ont justement parlé de ce mouvement général en Belgique vers la fin des cyclos sportives chronométrées. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nicolas JOARY Posté le 30 mars 2015 Share Posté le 30 mars 2015 En beaucoup plus petit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge GUILLOBEZ Posté le 30 mars 2015 Share Posté le 30 mars 2015 j'ai participé à TBT il y a qq années, ce fût ma plus longue épreuve. Mais en partant tôt et en profitant bien des contrôles ravito j'ai bien terminé, même dans la Redoute que je craignais après 200 km. Quand même pas mal de km en comptant le départ du lieu de stationnement de mon véhicule. Effectivement moins dur qu'une cyclosportive comme la Marmottte, mais une autre ambiance bien sympathique et très internationale. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean DOLNE Posté le 30 mars 2015 Share Posté le 30 mars 2015 J'ai abandonné l'organisation de la Flèche de Wallonie depuis bientôt 10 ans, et je n'ai aucun contact avec les pros qui l'auraient achetée ... Un détail amusant : à l'époque où Cyclo Spa l'a créée, il était hors de question de ne pas rouler en peloton. Les deux ou trois premières Flèches ont donc été réalisées à du 22,5 à l'heure, imposé par les pontifes vieillissants de la ligue Vélocipédique ... nous étions à la fin des années 70. Nous libérions les troupes dans les bosses les plus dures, pour les récupérer au sommet. Avec le succès, ça devenait impossible (nous atteignions les 400 partants, un chiffre énorme à l'époque). Heureusement, la naissance de "l'autre fédération", la FBC, nettement moins calcifiée, nous a permis de libérer les départs. À l'époque, nous passions encore par Huy, mais "les Chapelles - devenues le Mur", n'étaient pas utilisées. Ce qui n'a pas empêché la mégère qui a régné longtemps sur la ville de nous foutre dehors ... pour accorder le passage à une épreuve - la Flèche Wallonne - basée à Charleroi, qui n'a pas fait long feu. Peu après, nous avons introduit ce qui est maintenant connu comme la Roche aux Faucons, à cette époque un très mauvais chemin mal goudronné, coupé de filets d'eau ... Une particularité de la Flèche est que les trois distances se retrouvent dans le final, avec toutes les vacheries qui entourent Stavelot et Trois Ponts. À mon humble avis, le "160", que j'avais concocté vers 1990-95, laisse beaucoup moins de tronçons de récupération que la distance maxi. Il ne "prend" pas la Roche aux Faucons, mais il "avale" Chambralles, qui n'est pas un cadeau ! Avis aux amateurs ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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