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Votre 200.


Invité

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Samedi, je dois participer à la Monticyclo au départ de Montigny-le-Bretonneux. Un système de contrôle y est prévu. Suis-je obligé de m'y arrêter ou pas ? À partir du moment où je paie mon inscription, ils ne vont pas me refuser l'accès aux ravito suivants si ma carte n'est pas tamponnée, si ?

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Normalement si. Mais pourquoi ne t'arrêterais-tu pas?

Ce qu m'étonne moi, c'est justement le contraire: qu'en Belgique, il n'y ait aucun point de contrôle, aucune carte à tamponner, rien, dans quasiment toutes les randonnées qui y sont organisées. Le cycliste y est complètement libre, y compris de trafiquer le parcours comme il le souhaite. La seule contrainte est d'avoir son dossard et/ou sa plaque pour pouvoir accéder aux ravitaillements. Moi j'aimerais bien un peu plus que ça. Une petite carte à tamponner à plusieurs points du parcours, un diplôme remis si cette carte est complétée: ça ne serait pas plus mal, et on aurait un petit souvenir à conserver et à montrer fièrement à son entourage. 🆒

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Moins je coupe mon effort, mieux je me porte. 🆒

Déjà qu'il faut s'arrêter pour remplir les bidons...

Concernant les souvenirs, je garde tout ça bien au fond de ma tête. Je ne suis pas contre quelques photos ou vidéos non plus, mais un bout de carton avec des tampons dessus, une plaque avec un numéro ou un dossard, ça ne provoque aucune émotion chez moi.

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Il y en a qui le font, j'en connais, des spécialistes qui ne paient jamais l'engagement et partent quand même avec les autres

Qu'ils s'arrêtent ou non aux ravitaillements, je trouve ça un sacré manque de respect pour les organisateurs, d'autant que la plupart du temps ce sont des sommes assez dérisoires

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Frank, c'est une tradition qui a disparu en Belgique mais il y a 10 ans c'était encore bien présent et çà l'est toujours si tu veux faire homologuer un BRM (200,300,...)car c'est l'Audax Parisien qui homologue tous les BRM.La tradition cyclotouriste est plus ancrée en France avec un fossé plus*** entre cyclotouristes et cyclosportifs; en Belgique la tendance est plutôt à l'amalgame des 2 catégories même si çà devient impossible d'y organiser de vraies cyclosportives avec départs groupés, ce sont plutôt désormais des randosportives.

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Je crois qu'Eric Hennuy a parfaitement répondu à ta question.

Petite précision : on ne reçoit pas de brevet mais une médaille millésimée qui change chaque année forcément.

 

Pour plus de renseignements  : www.fietselfstedentocht.nl en néerlandais et en anglais.

 

Si vous le souhaitez je donne des cours de néerlandais et d'anglais  !!! 😆

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  • 2 weeks later...
  • 3 weeks later...

Mon premier 200 km aujourd'hui depuis que j'ai à nouveau un compteur (juillet de l'année dernière) et probablement mon premier depuis plusieurs années.

Trajet résumé : Bruxelles - Grammont - Audenarde - Grammont - Bruxelles. Le but était de faire l'intégralité de la boucle rouge de la route cyclotouriste du Tour des Flandres, qui fait 115 bornes, mais dont le point le plus proche de chez moi, à Grammont, est à 50 km.

http://www.crvv.be/fr/317-routes/9

Je m'attendais donc à faire dans les 215 km, et c'est exactement le verdict final de mon compteur! 😃

Départ «à la fraîche» (c'est relatif hein!) de mon domicile à l'est de Bruxelles, ce matin vers 8 h 00. Il doit faire 15° environ, ce qui est remarquablement frais après ces jours de canicule. Mais ils annoncent aujourd'hui un maximum de 26° à l'ombre seulement: parfait pour un long périple.

Je contourne Bruxelles par le sud, en passant par la forêt de Soignes, pour obliquer vers l'ouest et me diriger vers Halle, puis Grammont. Ce faisant, je traverse le Pajottenland, doucement vallonné, qui sépare Bruxelles de Grammont et les «Ardennes flamandes». Les sensations sont bonnes et la température idéale.

Après deux heures et demie de route environ, j'arrive à Grammont et commence le parcours la fameuse «boucle rouge». Celle-ci laisse pour le moment le fameux «Muur» de côté et se dirige d'abord vers Lierde, où je me ravitaille en eau dans un bar et j'affronte la première côte répertoriée, l'Eikenmolen, laquelle n'est pas vraiment une terreur.

Ensuite c'est une succession de toboggans, répertoriés ou non, dans un décor splendide, probablement le plus beau paysage qu'ait à offrir la Flandre. Zottegem et le Rekelberg, la très pittoresque vallée de la Zwalm que je quitte par un méconnu mais fameux casse-pattes appelé «Pottelberg», pour enchaîner avec le principal secteur pavé du jour: le Haaghoek.

Les pavés du Haaghoek sont en relativement bon état, mais en fait de secteur pavé il s'agit d'une succession de montées et de descente, si bien qu'il est impossible de garder son rythme et cela le rend très pénible à passer. 😬

Puis j'arrive à Horebeke, pour descendre dans la vallée de la Maarke (Maarkedal, qui est aussi le nom de la commune locale) et emprunter quelques casse-pattes non répertoriés dont la région a le secret. Puis je grimpe le raide Kappelleberg suivi du long et irrégulier Eikenberg. Après cette classique du Ronde, la relative longue descente de l'Edelareberg m'amène à Audenarde et son centre du Tour des Flandres… malheureusement fermé comme tous les lundis.

http://www.crvv.be/fr/295-home

Pas grave, je prends mon second ravitaillement en eau (et un

café) dans un bar voisin sur la très belle Grand-Place d'Audenarde.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Audenarde

L'aller est effectué, avec déjà plus de 100 km bouclés. Presque aussitôt après être reparti, un mur à 14% appelé Achterberg, me cueille à froid, et annonce la couleur des prochaines 20 bornes: une succession rapide de montagnes russes, certaines très raides, sans presque aucune portion plate, dans un cadre toujours aussi magnifique : l'Onderbossenare, le Foreest, le Steenberg à Maarkedal, le Valkenberg, le Berendries, l'Elverenberg à Brakel sont les côtes répertoriées… au milieu de plein d'autres qui ne le sont pas, bien sûr.

Puis le profil se radoucit quelque peu au passage d'Everbeek-Boven et Everbeek-Beneden, au sud de Brakel, où le parcours tangente la frontière linguistique avec la Wallonie (et le parcours du Grinta Challenge de cette année). Mais ce n'est qu'un sursis… car le fameux Muur van Geraardsbergen, le Mur de Grammont, m'attend en embuscade!

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mur_de_Grammont

Cette ascension pavée mérite amplement sa réputation, surtout quand on vient déjà d'effectuer plus de 150 bornes: je passe l'obstacle sans trop d'encombre grâce à ma connaissance préalable de la bête et de la petitesse de mes braquets (26/34 mini, pratique dans le passage à 20% du Muur!), mais mes jambes sont quand même bien lourdes… et mes bidons sont vides.Après avoir passé la chapelle, je redescends donc de quelques mètres pour entrer dans un bar et faire le plein, en même temps que je sirote un 2e café… et que j'apprends grâce à la télé locale que l'étape du jour du Tour de France vient juste de se terminer, vainqueur Joaquin Rodriguez au sommet d'un autre mur belge, celui de Huy. Le direct est en train de montrer l'arrivée des attardés, entre autres Cancellara, une des victimes de la méga-chute du jour: les commentateurs ne parlent presque que de ça…

Allez, je ne vais quand même rester pour attendre des images de cette chute, j'ai encore une autre ascension pavée, le Bosberg, à franchir pour boucler cette boucle rouge», et il me restera encore 50 bornes à abattre pour rentrer chez moi. Je réenfourche donc mon fidèle destrier, descend à toute allure vers Atembeke pour m'attaquer à ce Bosberg… Les jambes sont encore plus lourdes que dans le Muur, et les bagnoles qui passent me contraignent à rester sur les parties les plus irrégulières du pavage de la côte mais encore une fois j'arrive au sommet sans trop d'histoire.

Et puis c'est le faux-plat descendant vers Denderwindeke (bétonné, mais tape-cul comme c'est pas permis! 📢) et l'entame du chemin du retour. Maintenant j'ai mal un peu partout… et notamment au derrière, mais c'est pas le moment de flancher, il est 18 h passés et je n'ai aucune envie de rentrer à la nuit tombante. Je retrouve donc le Pajottenland et passe cette fois par les bonnes villes de Gooik, Lennik et Leeuw-Saint-Pierre (Vlezenbeek) pour finir par arriver à l'est de Bruxelles, plus précisément à Anderlecht. De là, je traverse la région bruxelloise d'ouest en est: Forest, Saint-Gilles, Ixelles, Etterbeek… et puis je retrouve enfin mon chez-moi, à 20 h 30!

Le bilan du jour: 215 km donc, 10 h 40 de vélo effectif (pauses décomptées donc). Moyenne de 20,2 km/h, ce qui à mon modeste niveau n'est pas mal du tout sur un parcours aussi terriblement casse-pattes. Vitesse maxi de 57,9 km/h, atteinte en descendant je crois la Ladeuzestraat qui suit l'Achterberg à Audenarde. Cadence moyenne de 85 tours/minute, ma norme habituelle.

Mais surtout, la satisfaction d'avoir enfin bouclé un plus de 200 bornes, depuis le temps que ça ne m'était pas arrivé! 🆒

 

 

 

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Bonjour Isabelle,

Je ne sais pas vraiment pour la sortie complète, mon vélo n'est pas équipé pour faire ce genre de mesures. 😳

Apparemment, c'est 1190 m de dénivelée sur les 114 bornes du circuit rouge du Tour des Flandres, selon ce site (néerlandais): http://www.klimtijd.nl/fietsroute/ronde-van-vlaanderen

Avec les 100 km restant, vallonnés aussi mais aux côtes moins longues et moins raides (Pajottenland et Bruxelles), je suppose qu'on peut ajouter dans les 500-700 m pour avoir une idée de la dénivelée totale.

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Mon 200 de juillet :

Départ à 6h35 avec Louis : il fait 18°C déjà . J'ai un maillot sans manche et je n'ai pas pris de coupe-vent .

Direction Ibos - Adé-Lourdes- AYROS Arbouix - Beaucens- pierrefite - Luz Saint Sauveur - recharge en eau- Barèges - Pont de la Gaubie - Voie Laurent Fignon où le thermomètre , à 1620m et à 10h15, affiche 35°C 😄 ...

Les pattes tournent bien et nous arrivons au col du Tourmalet où il fait 27°C . Du côté de la vallée de Luz , un peu en contre bas, nous apercevons une vingtaine ( peut-être un peu plus ) de vautours : ils sont tous alignés sur un promontoire à flan de la falaise et décollent en même temps : houaaa!!! quel spectacle !!! il y a beaucoup de vent.. de l'air chaud... ils en profitent ! 🆒💋

Nous descendons sur Sainte Marie de Campan ( le bitume est tout neuf et tout lisse 💋 )

Recharge en eau à la fontaine , ravito solide: là ;Louis veut rentrer sur Bagnères puis Tarbes : la canicule a été annoncée et il ne veut pas rôtir et préfère aller regarder le TDF 😉 ( il a raison , mais je voulais valider mon 200 ce jour de dispo )

Donc , nous nous séparons et je grimpe à Payolle : initialement , je voulais faire Hourquette puis Aspin mais à la vue de la chaleur , je ne voulais pas me retrouver sur les rampes de l'Aspin exposées plein soleil ! 😛

Donc , je commence par l'Aspin où j'aurais souhaiter un peu plus de trève à l'ombre 😛 .

Sommet : 39°C 😛 je fais la descente sur Arreau tranquille où l'air est très chaud , même pas la sensation de se rafraîchir un peu 😛 ( j'imagine pour le monter 🙄 d'ailleurs, il n'y a pas l'ombre d'un cycliste qui grimpe )

 

A Arreau, je refais le plein d'eau et me mouille abondamment , puis direction Guchen et hop , la Hourquette d'Ancizan : le pied du col est une fournaise : 44°C 😛😛 ( je me re mouille à Guchen ) Qué calor ! 

Cela fait longtemps que je ne suis pas passée par là : je me le représentais plus ombragé que cela 😳

Ce versant n'est pas difficile mais le cagnard change les paramètres 😆: 44°C et sur les passages sous les arbres il fait 38°C 😛 je ne verrais personne 😃

Au panneau 6kms , je me fais attaquer par un nuage de taons ( je me fais piquer 2 fois ) ils sont gros , j'ai le temps de les voir : ils ne me lâcheront pas jusqu'au sommet : quel enfer ! toute cette énergie dépensée à les chasser ! J'en ai bavé ! 📢 un kilomètre avant le col , je n'ai plus une goutte d'eau 😃  : je reste bouche fermée jusqu'à Sainte Marie pour éviter de me dessécher ( je trouve que c'est efficace!)

Je descend et après 2kms des ânes bloquent la route 😄

Il fait un poil meilleur sur ce versant !

Arrivée à la fontaine de Sainte Marie : que du bonheur ! que l'eau est un bien précieux ! 😆

A Bagnères, j'ai 39°C ( je sens bien qu'il fait meilleur 😉 )

Le retour sur Tarbes, classique et arrivée à la maison pour regarder le TDF : quel terrible chûte ! et quel final avec ce mur de Huy !

201kms  , 3505m de d+ et 3 cols dans ma musette .

 

 

 

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Ben non justement, lorsque tu m'avais récupéré au pied du Rosier, tu m'avais dit que j'étais encore un poil en dessous des 200, si j'ai bonne mémoire.

Et puis de toutes façons ça ne compte pas, puisque c'était une rando que je n'avais pas terminée! La seule de ma vie de cyclo d'ailleurs, et j'espère la dernière. 😠

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Arf, les insectes qui vous assaillent en pleine canicule, je compatis! Ma hantise ce serait de me faire piquer par une abeille ou une guêpe… J'ai été allergique à une époque, plus maintenant selon l'allergologue mais je n'ai aucune envie de vérifier! 

Ça devait être spécial de voir cette rangée de vautours dans la vallée de la Luz! Ils devaient guetter les défaillances des cyclistes! 😃

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