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Votre sortie du jour 2015


Invité

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28 km/h sur LBL, c'est déjà vite -pour moi en tout cas. Effectivement, il y a tellement de monde que c'est assez simple de se mettre dans un groupe. C'est ce que je fais habituellement, jusqu'à Bastogne du moins, car après, c'est souvent sauve-qui-peut 🤐 Surtout, comme ça a été dit et répété, bien rester en deçà jusqu'à Bastogne. Les faux-plats et petites bosses non repertories sont énergivores.

On se croisera sans doute .... Je suis fort tenté par le long cette année même si pour l'instant, j'accumule les courtes distances.

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Bonsoir Aurélien,

Tu as raison , à lire certain(e)s s'etre d'une facilité d'avaler des bornes .

Si tu les écoutes , faire 200 ou 300 à plus de 25km/h est donné à tout le monde.

Mon oeil, combien d'heure passé le cul sur la selle à sacrifier pas mal de choses( vis de famille, loisirs autres que le vélo).

Ou alors comme l'on dit : "Charger la mule".

Il y a pas mal d'année certains avaient pas mal de casseroles de ce genre pendues à la selle.

Attention je n'accuse personne.

Mais c'est pour cela du vélo plaisir.

Bof.

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hier 40km avec du travail d'intensité, cuisses dures dés le début.

Aujourd'hui 110 bornes avec du vent, blackout à 15km de la fin, j'ai été un peu trop généreux vent de face et dans les coups de cul, oublié de prendre de quoi m'alimenter et un seul bidon d'eau. Termine quand même avec 29.3 de moy pour 700m de d+ malgré les 15 derniers km au ralenti

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Cet après-midi, sortie de récupération (?) de 2 h sous une pluie fine constante, et avec des courbatures un peu partout suite à la sortie de lundi. Des douleurs diffuses à l'arrière de la jambe droite et surtout à la cheville gauche, qui se sont estompées après quelques kilomètres, j'espère que ce ne sont que de fausses alertes. À suivre de près…

De retour chez moi à temps pour voir les trois derniers kilomètres de Dwars door Vlaanderen, À travers les Flandres. J'ai bien aimé la façon dont Jelle Wallays a surpris ses compagnons d'échappée dans la dernière borne pour gagner la course! 😃

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Oula, il y a eu de la censure au tractopelle si je ne m'abuse. En guise de protestation, j'hésite à vous raconter mes 80 kms de Longchamp 😆. Enfin bref, sinon, pas encore sûr à 100% d'aller sur LBL mais si c'est le cas j'espère qu'on aura l'occasion de noyer tous nos débats dans la bière :D 

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Bon moi je ne fais que chercher le pain mais j'ai resortie un vieux Peugeot compétition 400 de couleur 'vert' (acier colombus). Je m'éclate, le cintre est top et la prise en main est agréable, je le trouve beau mais perosnne ne me le pique en ville😆. En revanche, la position en arrière des cadres carrés ouaf je ne ferais pas 50km avec ça... Tout dans les reins... Enfin, moi qui était toujours en danseuse en bosse avec ce genre de 2 roues on peut oublier😢. Mais pour faire quelques km, ça m'éclate et il y a une super stabilité en descente et virage (pour une caisse à savon comme moi).

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Dire que rouler des heures à 25 km/h n'empêche pas d'être incapable de tenir cinq mn à 40 km/h en compétition est une évidence. Mais cette comparaison n'est pas une comparaison entre randonnée d'un côté et compétition de l'autre ! D'abord - j'y reviendrai - il existe des courses longue distance. La vraie comparaison est entre la longue distance - 400 km par exemple - et une distance courte - 60 km. Pour faire simple, pourrait-on dire d'un marathonien de niveau national qui se ferait larguer sur une course de 400 m de même niveau qu'il y a d'un côté un randonneur et de l'autre un compétiteur ? Un Cador en longue distance - mettons un gars qui boucle les 1 230 km du Paris-Brest-Paris randonneur en 42 h - pourrait très bien se faire larguer sur une course de 60 km de bon niveau, tout simplement parce que ce n'est pas sa distance... Stéphane Diagana s'était inscrit en amateur à la course à pieds Marvejols-mende il y a quelques années (21,4 km et deux cols) après sa retraite du 400 m et n'avait évidemment pas suivi les coureurs marathoniens africains...

Pour résumer ma pensée, s'il est vrai qu'une majorité de " randonneurs " ont des niveaux en vélo relativement modestes en terme de cylindrée ou de puissance - j'en fais partie - que ce soit pour des raisons d'âge supérieur à celui des coursiers ou des cyclo-sportifs, ils ont aussi parfois des capacités d'endurance et un mental qui a tout le moins n'a rien à envier aux coureurs. Et certains ont en plus des niveaux exceptionnels, par exemple parmi les compétiteurs longue distance - courses telles les cyclo-sportives d'ultra distance comme la RATA (race accros the Alps en Autriche) ou le REV (raid extrème vosgien), etc. sans même parler de ce qui est sans doute la course la plus dure au monde, la RAAM (race across America).

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"un gars qui boucle les 1 230 km du Paris-Brest-Paris randonneur en 42 h - pourrait très bien se faire larguer sur une course de 60 km de bon niveau, tout simplement parce que ce n'est pas sa distance..."

Tu peux prendre le problème dans tous les sens, il n'y a jamais de miracle dans le vélo. Le gars qui est capable de faire ça est un gars capable de rouler vite. C'est donc, à la base, un (ancien) coureur, qui à travaillé les longues distances. Tu regardes les premiers des cyclosportives, ce sont, de façon assez immuable, des coureurs, souvent en fin de carrière.

Le problème dans cette discussion, n'est pas de savoir qui sont les meilleurs. C'est plutôt que les randonneurs ne se sentent pas dévalorisés si on leur dit que leur exploit est tout relatif. En fait, dans l'absolu, faire 200, 400 ou 1 200 km sans réelle contrainte de temps ou d'adversaires, n'est pas un exploit si c'est convenablement préparé. Ca n'en devient un que si le pratiquant se met dans une situation difficile, faute de préparation. Peu importe la raison, souvent, c'est sa vie qui ne lui permet pas d'arriver au jour de son défi avec l'entrainement suffisant. Là, effectivement, il est contraint de faire appel à sa volonté, à son mental pour terminer, au risque de se mettre en danger... 

Son exploit ne sera un exploit qu'au regard de sa propre vie, de ses propres contraintes.

Mais bon, le vélo est une "machine à légendes" et chacun veut mettre un peu de légende dans sa vie, c'est humain. Le choix de la longue distance, est souvent fait parce que la "quantité" impressionne et que ça renvoie à une époque mythique du vélo. Mais aussi parce que c'est une façon cool, abordable et progressive de faire du vélo.

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Aucune envie de relancer un débat de sourd...

Vous parlez sans cesse de distance, de vitesse sans évoquez le D+...

Si les courses (souvent au distance très courte) sont bouclés à 40 km/h de moyenne voir plus c'est aussi parce que le D+ est plus que limité...

Je connais des gars qui font des courses et qui ont l'honnêteté de l'avouer. Et qui sont pas au dessus de nous (cyclos) quand on sort à l'occasion en VdC en enchainant les parcours à bosses. Et ils en gardent pas sous la pédale hein...

Ils sont inscrits ici d'ailleurs mais ne s'exprime pas.

 

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Je pense que vous parler des courses FFC sans les connaître.

Des courses (très vallonées) à 40km/h de moyenne sont la norme en régional (2/3 FFC). Je ne vous fais pas de dessin pour des premières FFC ou des manches DN1/DN2. La difficulté est de subir le rythme des autres. Ou de suffisamment progresser pour faire subir le sien aux autres.

Quand ça roule entre 45 et 50 km/h dans la plaine, ça calme pas mal de monde en bosse. Mais ça roule vite, en continu parfois.

Et comme j'ai fait des randos longues et des courses FFC je suis bien placé pour savoir que la compétition (la vraie) est impitoyable. La rando c'est dur par moment, mais gérable. Je m'arrête si grosse défaillance. Je peux m'alimenter. Si je crève je répare et repars tranquillement. Je me bâts uniquement contre moi même.

En course tout est plus compliqué. J'ai une défaillance je saute et c'est fini (hors délai bien souvent). Je crève il faut me faire dépanner et rouler à fond dans les voitures et réussir à rentrer en laissant énormément de jus. Je subit et passe de long moments au dessus de la ligne rouge. Mentalement, je n'ai jamais rien fait d'aussi dur que des courses avec les Elites. On peut aussi citer les nombreuses chutes et la vigilance dont il faut faire preuve. Ca frotte, tous le monde veut être dans les 30 premiers. 

Mais ça n'enlève rien aux randonneurs, il faut de tout pour faire un monde, mais ne jamais oublier qu'il y a plus dur, toujours plus dur et même en étant coursier.

 

 

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Ben si moi je peux te le dire sans problème... Pour la relation entre la moyenne et le dénivelé je n'en ai pas vraiment besoin parce que tout peut se trouver sur Strava. Et sinon, oui, il y a beaucoup de coureurs qui ne passent pas les bosses et choisissent les courses auxquelles ils participent en conséquence.

Ce qu'il faut comprendre quand on dit grosso modo que la compétition est plus difficile... c'est que la compétition oblige typiquement à faire du fractionné (relances) et à se mettre dans le rouge et y rester plus ou moins durablement (on trouve toujours meilleur que soi), tout ceci étant en principe très favorable à la progression du coureur. Ca ne sous entend à aucun moment qu'on devient nécessairement une rockstar en faisant de la compét ni qu'on ne peut pas être super fort (en bosse, sur le plat, en descente etc.) sans en faire.

NB: dans les courses que je fais (Ufolep 3), James partirait tout seul au km 0 et gagnerait la course en fumant la pipe. Ca le ferait probablement un peu marrer, et franchement on ne pourrait pas lui en vouloir... c'est ok, c'est la vie, je ne me sens pas méprisé pour autant :)

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Non je ne ris pas du niveau Ufolep, car à votre échelle, vous vous mettez peu être dans le même état de douleur qu'un mec en FFC.

Ca va juste moins vite et l'exigence pour performer est moindre, mais ça n'enlève pas que vous vous faites mal, plus que dans une rando pour les raisons citées plus haut.

 

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Mais évidemment qu'il y a toujours plus difficile et plus exceptionnel. Arrêter de vouloir tout hiérarchiser, ça n'a aucun sens. Maintenant, arrêtez dix personnes au hasard dans la rue et demandez leurs ce qu'ils pensent de faire 280km bornes à vélo en une journée. Vous verrez que pour la grande majorité des gens, c'est un authentique exploit sportif ! Heureusement que nous ne sommes pas sur OnlineTri, car je suis sûr qu'on finirait par lire que le fait de finir un EmbrunMan à son rythme est quelque chose de banal puisqu'en se préparant en conséquence, pas de raison de ne pas aller au bout...

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Tout ça, c'est une question de situation. Tes coureurs qui ne sont pas forcément à l'aise dans des sorties cyclo, vallonnées ou non, j'y crois complètement. Ca ne veut pas dire que les cyclos qui leur tiennent là dragée haute à cette occasion pourraient suivre en course.

Il faut vraiment que tu comprennes ce que décrit James, c'est à dire la violence des accélérations en course et la durée pendant laquelle elles peuvent se prolonger. Et à ça, les purs cyclos n'y sont pas préparés.

Emmener régulier pendant des heures, ils savent le faire. Mais secoués violemment sur quelques accélérations, ils sautent.

J'ai ça en permanence avec mes compagnons de route. Encore une fois, tu le prends dans tous les sens, à partir du moment ou tu as des temps ou ça dure au dessus de 45 km/h, ou même 40, tu perds la plupart des cyclos. Pourtant ce sont les mêmes qui me font mal, parce que je n'ai pas toujours envie de relayer en semaine à un train élevé. Je trouve ça usant et pas bien passionnant. 

Et en côte c'est pareil. Si ça bagarre vraiment, non pas au train mais avec des accélérations, il n'y a plus que des coursiers devant. Même les plus mauvais grimpeurs comme moi sont devant les cyclos. On doit avoir la réponse cardiaque qu'il faut et l'habitude de se mettre dans le rouge. Et pourtant, comme dit Etienne, on n'est pas tous des rock stars...

Tu dis que tes amis coureurs n'en gardent pas sous la pédale, oui, peut-être... mais ce n'est pas la course.

Si tu veux vraiment savoir, prends une licence et va dans leurs courses.

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C'est pour ça que si tu veux recevoir des fleurs en veux tu en voila, il vaut mieux que tu en parles à ta famille ou à ta boulangère. Ici tu es sur un forum de vélo, tes comptes-rendus de sortie et ton profil Strava attestent d'un excellent niveau, donc oui on se permet de te dire que si tu vas sur LBL sans faire le foufou, on ne voit pas de raison que tu ne termines pas pas dans de bonnes conditions. D'ailleurs, tu considères toi-même manifestement la difficulté de boucler 280 km comme pas tout à fait suffisante puisque tu as un objectif de moyenne qui n'est pas dérisoire (ou est-ce sincèrement uniquement dans le but de préserver ton honorable postérieur?). Les réactions ne sont pas les mêmes quand quelqu'un qui commence le vélo ou revient d'une grave blessure/malaxie se fixe l'objectif de boucler un parcours alors que cela semble peu évident. Ce qui est respecté dans ces discussions c'est le défi personnel, pas la performance pure. A titre personnel, je ne trouve rien à redire à ton objectif de 28 km/h de moy sur LBL, cela me paraît ambitieux sans être délirant, et je te souhaite donc de prendre du plaisir à essayer de le réaliser. Mais ça n'a rien à voir avec la question de savoir à quel point boucler la randonnée est difficile pour un cycliste en bonne santé, régulier, appliqué dans sa pratique, et qui s'est donné cet objectif (selon le temps que lui laisse son boulot et autres contraintes bien sûr).

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On est sur un forum pour débattre.

Le débat Cyclo/coursier c'est vieux comme le monde.

Alors on peut en parler même si on sera pas tous d'accord. Tu as l'air d'avoir un bon niveau, je t'invites à prendre une licence de coursier. Et tu verras la différence avec les cyclos. C'est être réaliste que de décrire ceci. Pas méprisant envers quiconque.

Dès que je croise un cycliste je dis bonjour, et je me dis que c'est bien, qu'il participe au développement du vélo. A ce mode de transport exceptionnel. Et peu importe qu'il soit Elite ou Cyclo à 70 balais.

Mais je veux juste rétablir une vérité.

Exemple marrant, une année je marchais très bien en 2ème et j'étais limite de passer 1ère. Je m'aligne à l'EDT. J'avais gagné en Fédé en Mars/Avril et fait pas mal de Top5. Le calme plat dans ma vie de tous les jours (et ça m'allait très bien) Et à l'EDT, je fais un Top50. J'ai reçu plein de messages de copains, des mails, on m'en a parlé pas mal de temps car c'était un soi-disant exploit. Ce à quoi je répondais que marcher à l'EDT et bien moins dure qu'une course FFC !

Mais c'est révélateur que certains courses populaires résonnent bien plus dans le monde du vélo.

C'est pas bien grave, les coursiers ne courent pas pour être dans le canard local, ils courent pour eux, leurs équipiers et leurs dirigeants.. Et un peu beaucoup par amour du vélo (comme les cyclos d'ailleurs).

 

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Mais la question n'est pas de vouloir recevoir des fleurs, juste d'apprécier la performance sportive que représente une sortie de 280km pour un sportif ordinaire.

En suivant votre raisonnement, on pourrait dire que finir dans le peloton d'une course de 80km à 40km/h serait minable puisque des coureurs sont capables de rouler à plus de 45 pendant 3 semaines d'affilée chaque été... Je trouve ça très étonnant de ne pas valoriser ce qui mérite de l'être, c'est le genre de comportement qui m'exaspère en France d'ailleurs et qui fait que les jeunes comme moi, qui ont la gnac et l'envie d'entreprendre finisse un jour par se barrer... 

PS : Désolé si ces propos dépassent le cadre de la discussion initiale, mais c'est pénible pour moi d'entendre à longueur de journée des personnes qui ne sont pas capables d'apprécier les choses qui méritent de l'être.

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C'est sûr que je partirai un peu vers l'inconnu, même si en participant à Gand-Wevelgem et au Tour des Flandres avant LBL, je me serai rapproché des 280. Par contre, j'ai remarqué qu'en partant sur un bon rythme, il était plus facile pour moi de le tenir alors qu'en partant doucement, je galères toujours un peu pour finir fort.

Je ne sais pas si c'est uniquement psychologique, mais j'avais un peu le même "problème" lorsque je jouais au foot : les 4/5 premiers ballons que je touchais (ou duels que j'avais à jouer) conditionnaient beaucoup la suite de mon match. J'avais d'ailleurs fini par trouver la solution en tentant systématiquement des choses toutes simples en début de match ce qui me donnait plus de confiance pour la suite. 

 

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+1000! D'ailleurs c'est bizarre Aurélien, mais je n'ai jamais entendu de tels trucs quand je faisais du triathlon, ça semble spécifique aux cyclos !

Aujourd'hui après le boulot (de matinée cette semaine), et surtout après une semaine de pluie continue, sortie encore laborieuse de 63 bornes pour 800 mètres de dénivelé, avec le froid de retour et seulement 7°C au départ.

La vue depuis les collines du jour:

https://pbs.twimg.com/media/CBBvKIxWYAAGdc6.jpg:large

https://pbs.twimg.com/media/CBBulkBW4AAjEu_.jpg:large

Bonne route à tous.

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