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Pour les cyclistes du 38 - "challenge de grimpeur"


Daniel HARDY

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On s'économisait le plus possible en prévision de ce qui nous attendait… et une bonne façon de s'économiser, c'est de garder suffisamment de souffle pour pouvoir taper la converse 😄. Paul Koechli, l'entraîneur de Bernard Hinault dans ses dernières années pro, parlait de « seuil de babillage » en-deça duquel l'effort pouvait être poursuivi longtemps.

Ceci dit, dans Chalais, la montée la plus raide, on n'a pas énormément parlé, la pente était vraiment très exigeante. Mon compteur montrait régulièrement des vitesses entre 6 et 7 km/h. Si l'ascension fait bien 6,7 km (comme ce site l'indique, http://www.cols-cyclisme.com/chartreuse/france/col-de-chalais-depuis-voreppe-c502.htm) et si on a fait 51 minutes, ça fait une moyenne de 7,9 km/h. Pour Mont-Saint-Martin, si c'est 6,2 km en 43 minutes, c'est 8,5 km/h. Pour Montaud, la moins raide, c'était autour de 9 km/h si ma mémoire est bonne.

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Le profil du coup de Chalais me semble un peu faux, le 249 m au pied correspond à la carte IGN, par contre, le sommet à 985 me parait pas juste.

Tout en haut de la route, le parking a un panneau qui indique 950 m ce qui correspond aux lignes de niveaux sur la carte IGN, le dénivelé réél serait donc plutôt de 701 m en 6,7 km soit du "10,5 % seulement".

La pente max n'est pas juste non plus, car au bout de 2 km à 2,5 km, il y a bien 200 ou 300 m autour des 17 %.

Çà reste la montée la plus raide que j'ai faite sur une telle distance !

 

 

 

 

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Déjà fait j'ai bien aimé mais c'est un peu monotone et quand même moins dur même si la longueur finit par peser.

Pour trouver aussi dur peut-être dans le pays basque, sinon le grand colombier si on prend le raccourci à virieu le petit, les 8 km suivants sont hyper durs sauf un au milieu quasi plat. Du très costaud quand même.

 

Après les plus durs montées que je connaisse sont la montée de val pelouse (12 derniers km terriblement durs) et le col du Sabot (14,5 km à 8,9 %) : hyper dur et fantastique mais sur une route assez pourrie (ce qui rajoute encore à la difficulté)

 

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La montée du relais je l ai fait deux fois il y a plus de 15 ans. J en garde un bon souvenir même si la montée est loin d être facile. Je ne l ai pas trouve monotone. Je pense quelle plus pentue de l autre côté ( c est une impression je ne l ai fait qu en voiture)

J aimerait bien refaire cette montée.

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  • 1 year later...

Ça y est, je l'ai fait au complet cette fois, ce challenge de grimpeur ! 😄😄 Dans le même ordre que l'année dernière: Mont-Saint-Martin, Chalais, Montaud et enfin, cette année, Ezy.

Avec à nouveau la compagnie de Daniel tout du long, pour qui ça aura été son deuxième challenge bouclé d'affilée en un an. Il avait des doutes pour cette année, ayant moins de kilomètres au compteur, mais comme il a fait pas mal de course à pied à côté ça n'a visiblement pas nui à sa condition, il était devant quasiment tout le temps , comme l'année dernière! 

Je ne vais pas dire que j'ai terminé frais comme une rose, parce que ce serait faux. Ceci dit j'ai fini fatigué, mais pas exténué comme je le craignais. Visiblement l'expérience de l'année dernière, où j'avais bouclé les trois premières montées, a porté ses fruits. Je pense que j'ai su gérer comme il fallait les quatre montées selon mes moyens physiques cette année: à l'économie en permanence. Si bien qu'il n'y a pas d'anecdote croustillante à raconter, tout s'étant passé «comme sur des roulettes». 

Pour info j'avais le même vélo et les mêmes braquets que l'année dernière : 48-38-26 à l'avant et cassette 11-34 à l'arrière. Évidemment, c'est peu dire que le 26/34 a chauffé pendant les quatre ascensions, mais c'est justement très pratique, un tel braquet de type VTT, pour gérer des raidards à l'économie. La montée d'Ezy, que je ne connaissais donc pas encore jusque-là, s'est avéré la plus exigeante, après celle de Chalais bien sûr, qui est hors classe. On a d'ailleurs mis 48-49 minutes d'après mes mesures (imprécises ceci dit) pour grimper celle-ci, ce qui est plus rapide que l'année dernière (51 minutes de mémoire).

Les stats de mon compteur : 118 km au total, les quatre ascensions (qui pour rappel, représentent au total plus de 2500 m de dénivelée) étant concentrées sur environ 25 km. Le reste du kilométrage étant du plat quasi parfait le long de l'Isère entre mon domicile et ces 25 km. 6 h 44 de vélo (pauses décomptées) d'où le chiffre proprement faramineux de 17,5 km/h de moyenne. 😃 Cadence moyenne de 83 tours/minutes. Vitesse maximale de 63 km/h, atteinte probablement dans la redescente de Montaud.

Au passage cette sortie aura été l'occasion de dépasser les 4000 km sur le vélo depuis le début de l'année.

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