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Dopage dans les rangs amateurs!


Charles CASTELLI

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et puis pardon mais c'est lui qui nous tombe dessus et ne veut pas écouter nos explications. On a été patient alors que lui n'a jamais calmé sa vindicte de tout l'échange.

Désolé mais ca me fait drôle de me faire traiter de dopé alors que je fais du vélo depuis 1 an et demi dans une pratique cyclotouriste d'une disipline qui m'a permis de surmonter des problèmes de poids et m'aide à m'épanouir malgré des petit soucis de santé sans lien avec le vélo. 

Il y a deux ans j'étais mal dans ma peau, aujourd'huis j'aime rouler en groupe, aider les plus faibles à progresser fasse au vent, recevoir l'aide de compagnons quand c'est moi qui suis moins bien. Rouler des km et traverser des paysages somptueux et décourvir à quel point la campagne francaise peut être belle est un sentiment très agréable. J'aime aussi aider de nouveaux cycliste à prendre en main leur matériel comme on m'a aidé à le faire. J'aime aussi pratiquer différentes disciplines comme le cyclocross, la piste ou le VTT car elles ont toutes leur spécificité historiques et techniques

Les belle rencontres que j'ai fais sur la route et les émotions qu'elles m'ont procurées vallait bien de prendre un antalgique un jour ou mon nerfs a refait des siennes

 

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Quand j'ai ... une gastro je reste au lit comme tout le monde

Ah! Merci.

Je ne suis donc pas "comme tout le monde".

Je n'avais pas résisté à la tentation d'une "huminta" proposée dans la rue en Bolivie.

Le lendemain était un jour d'élection, donc circulation motorisée interdite à Cochabamba (comme ailleurs) où je me trouvais. Mais j'avais mon vélo et les routes étaient vides, un peu comme mes intestins qui se vidaient à flux continu.

Pas très fraiche l'huminta de la veille comme j'aurais dû le voir.

Mais l'occasion était trop belle de rouler tranquille et je suis parti à vélo vers la montagne la plus proche. Parti de 2500m j'ai dû monter jusqu'à 3800 m avant de rentrer, %ages continus mais pas trop violents.

L'avantage c'est que la déshydratation me faisait pomper toute l'eau disponible - y compris dans les intestins - de sorte que ma sortie s'est très bien passée même si je n'ai pas fait d'exploit ce jour là.

Le lendemain tout allait bien, mais je ne sais plus qui avait gagné l'élection : c'était y'a 31 ans.

 

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Le sujet n'est pas non plus ce que nous apporte le vélo, car vu la difficulté (sans produit) il faut être taré pour ne pas y trouver beaucoup de bonheurs.

Tu n'écoutes pas non plus ce que je te dis. Que la maladie est incompatible avec le vélo et que de trouver des avantages pour le vélo en prenant des médicaments oui c'est une conduite dopante... Mais effectivement tu n'es pas le premier, d'autres cyclistes de renom en on fait autant. Sauf que eux sont contrôlés et c'est donc eux qui sont pointés du doigt. Ce qui te gêne c'est que je fais la relation entre eux et toi. Tu n'es certainement pas mal intentionné, mais c'est de l'incitation.

Nous portons les erreurs, les conneries de plusieurs générations de dopés. Nous savons le mal que cela fait à ceux qui ne trichent pas. Nous sommes en train de relever notre image peu à peu... Soit tu es inconscient, soit tu es idiot, soit tu n'as pas d'amour propre.

Je me suis battu des années contre les allergies pour pouvoir prendre le moins de médocs possible, pour pouvoir m'aligner sur une ligne de départ sereinement, même pour m'entrainer je ne voulais pas tricher avec moi.

Est ce vraiment si difficile que ça que d'étre patient, que d'attendre ? Pourquoi prendre le risque d'aggraver son mal ? Pourquoi ne pas être raisonnable et responsable ?

Suite à des gamelles, à des tendinites j'ai dû être en repos forcé, je n'en suis pas mort. Je n'avais jamais fait de performances en étant malade, bien au contraire, j'étais patient.

Les valeurs du cyclisme c'est le courage et la volonté, quelque soit la pratique. Qu'est ce que ça vaut avec de l'assistance médicamenteuse ? Ca ne vaut rien, c'est du superficiel.

Fier de ne rien devoir à quoi que ce soit, ni à qui que ce soit pour ce que j'ai fait. Sportivement ça ne vaut rien, mais c'est à moi et rien qu'à moi... Pose toi des questions. Je ne te demande pas de baisser ton froc, juste d'être honnête, à savoir que l'on peut avoir un doute sur ta démarche, certainement pas sur la mienne.

Et oui pour ce qu'apporte le vélo ça vaut le coût de faire des sacrifices, même celui de prendre le temps de guérir et de ne pas aller rouler.

 

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C'est leur droit de penser que je déconne, ça les arrange d'ailleurs, ça évite qu'ils aient à se regarder en face.

Ils ne m'empêcheront pas profiter de mon bonheur de rouler, sans produit, aussi incroyable que cela puisse être, même à 2 klm/h moins vite. Quand ce  n'est pas 8 km/h dans le Glandon après 2 ans d'arrêt...

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14 kmh dans ce même Glandon avec un rhume et sans prendre aucun médicament il y a 2 semaines, si tu veux sortir des chiffres (pour leur pertinence dans le débat on repassera). Tu peux aller vérifier sur Strava aussi si tu veux. Ce mois-ci j'ai fait plus de km que toi cette année.

13 kmh dans l'Alpe d'Huez après 6 mois de vélo et 5 ans sans sport avant.

Le perdant il roule pour le plaisir, comme toi, et pourtant tu ne vois que son cul dans une montée et pas longtemps.

 

 

 

 

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T'es vraiment un provocateur ...

J'ai 52 balais et je n'ai jamais fait de sport en compète, juste avec de amis.

Je rentre du ventoux, que j'ai monté 5 fois en six jours (464km et 10200m de D+) avec juste du jus de citron et de l'eau dans les bidons ... même pas un p'tit Doliprane pour les douleurs le soir, alors tes leçons de morale à deux balles tu peux te les mettre "comment dire ???" non on va rester poli 😃

Ca ne m'a pas empêché, l'an passé, suite à deux chutes de vélo ou je m'était cassé, 1x 3 cotes + un doigt et six mois plus tard 4 cotes, de faire quand même du vélo deux semaines après, alors je j'étais toujours sous Kétoprofène, tramadol et codéine ... et alors !!! ça fait de moi un dopé, un gars qui cherche la perf ???

Toi tu aurais choisi de resté le cul dans ton canapé, moi j'ai choisi de pédaler quand même, même si je j'étais sous médocs et alors ? chacun gère sa maladie et sa convalescence comme il l'entend ... rien à voir avec ceux qui se chargent juste pour performer.

Mais je sais d'avance que tu ne comprendras pas mon point de vue  😉

 

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Je comprends ce que tu veux dire mais je pense que tu as été un peu trop sévère dans ton expression. J'ai cru comprendre que dans ton parcours, les difficultés personnelles avaient plutôt chassé la pratique du vélo... mais il me paraît concevable que pour d'autres, le vélo puisse constituer de temps en temps une échappatoire face aux difficultés de la vie. Combiné à une prise de médicament, et dans un cadre non compétitif, je pense qu'on peut éventuellement parler d'une forme de toxicomanie, mais au même titre que pour un petit whisky en rentrant du boulot avec un mal de tête avant d'aller à un dîner. On n'est pas au top, on ferait sans doute mieux d'aller se coucher (sur un plan médical) mais on sent qu'on a besoin de se changer les idées alors qu'à celà ne tienne... la terme de toxicomanie me semble plus approprié (quoiqu'il puisse paraître encore fort) tant que l'objectif reste purement "récréatif" i.e. qu'il n'y a pas de recherche d'amélioration de la performance ni violation de règles qui caractèrisent une compétition.

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Ah oui j'admets être mauvais... En ce moment...

Tu ne fais juste que confirmer que face à la montagne je reste humble, patient et courageux...

Sans prendre de médicaments ? Bravo pour ton exploit ! :-)Dommage dorénavant tu vas devoir le préciser à chaque fois que tu en prends ou pas, moi pas. Je suis en paix.

Je ne me compare pas à toi, à part pour la probité, les "performances" ne veulent rien dire.

J'aime bien la tournure que ce débat prend, "c'est moi qui a la plus grosse"

Mais fais une recherche de mon nom et prénom sur google... Prends une licence et va faire des cyclos. D'ailleurs tu disais ne pas être licencié et avoir fait la Marmotte... Ca aussi c'est incohérent. Si tu as fait la Marmotte, malade, avec des médocs, tu aurais moins le malin au cours d'un contrôle antidopage... (je suis en train d'écrire avec un grand sourire sarcastique)

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Je viens de monter le Ventoux sans avoir rouler pendants 2 ans, 2 fois dans la même journée, j'ai 50 ans...

Ah oui pas à ta vitesse.

Je ne te fais pas la morale, je dis que ton message "je vais rouler malgré mes 3 cotes cassées" avec ta prescription dont tu pourrais taire le nom en public est ridicule. Tu banalises et tu cautionnes la prise de médicaments. C'est même de l'incitation ,mais tu t'en fous parce que pour toi, le non licencié blanc comme neige, qu'un mec se fasse choper t'es égal... Ca sera toujours lui le tricheur, pas toi.

Tu ne connais pas ma carrière, mon passé, mes choix, mais tu en sors un point de vue qui forcément est tronqué, erroné.

Je me suis pété 2 cotes aussi mais mon réflexe a été d'attendre, de ne pas accourir chez mon médecin pour pleurer pour continuer de rouler, et être assisté superficiellement...

TU vois pas besoin de te provoquer, tu viens tout seul...

 

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Je n'ai jamais fait la marmotte, j'ai fais tous les cols qui sont sur le parcours mais les cyclos de masse ca me fait un peu peur, je suis plutôt d'humeur tranquille et après 2 ans de vélo je ne me sens pas capable d'enchainer autant de D+. J'ai eu la chance de me décourvir un moteur, au hasard, en débutant en salle de sport. Quand j'ai vu que je parlais à 250 W sans entrainement et que mes collègues n'arrivaient pas à les atteindre je me suis dit que j'avais un profile, certes pas exeptionnel, mais au dessus de la moyenne. Chacun ses capacités cardio-vasculaires, on ne choisit pas son coeur, peut importe le niveau des gens, je suis content quand je fais un bon classement sur Strava mais ce qui me plait c'est me sortir les tripes. Je ne compte pas faire de compétition pour autant, je fais seulement des BRM ou il n'y a rien à gagner à part des amis de route.

Je vais peut être courir des cyclocross un jour mais surtout parce que le format est plaisant et que un circuit aménagé ca peut être marrant (sauf quand on est mis hors cours en 20 min parce qu'on a un tour de retard).

Je suis parfaitement bien avec ma façon de pratiquer, je ne te reproche rien quand à ta façon de pratiquer non plus. Je suis en plus d'ailleurs avec tes opinions sur le dopage médical. Je souhaite juste de redire que je n'entre pas dans la catégorie des tricheur sur ordonnance, chose que je condamne tout comme toi. On est d'accord mais il y a simplement une méprise de ta part, surement que je me suis mal exprimé au début, mais mes clarifications me semblent plus que suffisantes

La montagne a cela de fantastique que tout le monde en bave pour arriver en haut. Qu'on fasse le Galibier en 2h ou en 5h on est tous content d'arriver en haut et on souffre dans un décors grandiose en étant jamais seul avec ses compagnons de galère (au combien plaisante)

Bonne continuation à toi et, qui sait, au détours d'un lacet alpestre, un matin d'été, je te mettrais une bandrille sponsorisé par Sanofi ;)

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Ma photo de profil est dans le haut du Galibier lors de la Marmotte 2009 où je fini 44ième...

J'en ai réellement chier dans ma seconde montée du Ventoux il y a 2 semaines, mais je sais que voir des mecs et des filles me dépasser que je n'aurais vu jamais avant ce n'est qu'un passage. Je connais mon mental...

Ne te contente pas d'il y a deux semaines, c'est le seul passage de ma vie ou j'ai été aussi faible sur un vélo. Ma seule priorité était de me faire plaisir, car ma seule drogue c'est de monter des cols. La vitesse je m'en fous, sauf que ça me faisait rentrer tard au bercail...

Oui je me suis trompé de personne qui a fait la Marmotte...

On devrait pouvoir en parler dans 1 mois quant aux banderilles ! ;-)

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Mon père doit prendre une demi douzaine de médocs, pour l'hyper tension artérielle, le cholestérol et le coeur, , donc selon toi il ne devrait plus rouler du tout, alors que ça lui est tout de même conseillé par son médecin traitant, sauf en cas de forte chaleur ou de grand froid...

http://www.alliancecoeur.fr/wa_files/brochure8.pdf

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Encore un qui s'évertue à ne pas comprendre...

Il n'y a pas un traitement contre l'autisme ?

Vous êtes fatiguant à trouver des justifications incessantes à la prise de médocs.Chargez vous la gueule autant que vous voulez je m'en balance. Je ne suis pas un frustré, jaloux ou tout ce que vous voulez.

Comme si je ne savais pas que le sport c'est aussi thérapeutique

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pourtant à cette phrase:

"Sinon je suis d'accord avec toi : on va pas faire de vélo quand on est malade.."

Tu réponds ceci

"Voilà, c'est ce qui m'étonne..."

Moi je te dis juste qu'on peut-être malade, ou considéré comme tel, puisqu'un traitement à vie est ordonné, tout en continuant à rouler sans en tirer quelque bénéfice que ce soit en termes de performance, je ne vois pas en quoi dire cela te permet de faire référence à l'autisme?

Je te rassure, mon père qui prends tous ces médocs sur prescription médicale à 69 piges, continue pour autant à rouler de moins en moins vite à vélo, alors que certains de ses médocs sont certainement sur les listes anti-dopage, comme les bêta bloquants, j'imagine...

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On est finalement pareil sur notre approche de la montagne à vélo et d'accord sur le dopage. 

On est différent sur notre choix d'aller rouler ou pas en fonction de notre état du moment. Je n'ai jamais dit que c'était raisonnable, je dirais plutôt raisonnée, dans le sens ou je pèse le pour et le contre et assume si le choix n'était pas bon.

Ayant presque la moitié de ton age on dira qu'il faut que jeunesse se passe ;) 

Tu vois le Ventoux je l'ai fais fin Mai en pleine forme, 1h29 par Bédoin, mais je ne serais jamais remonté la haut même pour tout l'or du monde. Magnifique expérience cela dit, ni trop chaud ni trop froid, du soleil et pas de vent. Surement un des meilleurs jour de l'année. Juste avant les tentatives de record rapportées sur le site.

En 1h ou 8h chacun va chercher son défis, son plaisir et sa vérité au sommet. Mon respect a tendance a augmenter envers ceux qui sont les plus lents car même si le type d'effort n'est pas le même, la durée donne une tout autre dimension à la performance. C'est comme si je m'attaquais à un col de 50 km par rapport à mon niveau et je suis d'autant plus impressionné par les cyclo qui s'attaque au Ventoux en ayant moins de jambes ou vu de très nombreux printemps

Bravo pour ta Marmotte 

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Ton éthique personnelle qui t'interdit de pratiquer le sport après avoir pris des médicaments est tout-à-fait respectable.

Ce qui est dommage, c'est la virulence avec laquelle tu attaques ceux qui n'ont pas la même démarche, qui finalement ne regarde qu'eux dès l'instant où il n'est pas question de compétition. Traiter un pratiquant de thuriféraire du dopage parce qu'il a pris 2 ibuprofènes avant sa sortie du dimanche matin me paraît un tantinet excessif.

A supposer que cette pratique soit nuisible, elle ne l'est que pour l'intéressé, et relève de la liberté individuelle.

Steven m'a précédé, mais à te suivre, toute personne atteinte d'une maladie chronique nécessitant un traitement permanent (je pense à l'asthme et la ventoline, mais j'imagine que les cas sont multiples) devrait être interdite de sport en toutes circonstances. Pour moi, c'est absurde.

Le problème de la compétition et des AUT est un autre débat.

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Bonjour, 

même en faisant de la compétition, il y a des médicaments qui ne posent aucun soucis, et ne nécessitent pas d'AUT. J'ai déjà fait une course en prenant un paracétamol le matin pour faire passer une petite fièvre et un nez bouché... Rien de contraire aux règlements, ni à l'éthique je pense. Il n'est pas interdit de se soigner, surtout avec un produit courant, sans dépasser les doses indiquées. 

Un grog par contre serait plus problématique en cas de contrôle, il me semble que l'alcool est interdit en compétition.😉

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C'est interdit dans quelques sports mais pas dans le cyclisme, heureusement vu le nb de courses qui ont lieu le dimanche matin -_- ( http://www.cyclisme-dopage.com/actualite/2011-07-27-velochrono-fr.htm ). D'ailleurs je crois que les Skys ont siroté un peu de (vraie?) Leffe sur la dernière étape du tour :)

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