Vincent EGIO Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 Une course à Eguilles prés d'Aix en Provence j'oublie de mettre mon maillot dans mon sac de sport d'affaires cyclistes , donc je décide de courir en T shirt , je sors , je créve , je repars dans le peloton , je resors , je fini 9è et à l'arrivée je suis déclassé car je n'avais pas de maillot de club , Comme j'ai dis au commissaire que dans ce cas la , il ne fallait pas qu'il me laisse prendre le départ . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vincent EGIO Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 Une autre course aussi à Puyricard au nord d'Aix en Pce , on boucle le 1er tour , je sors , je suis repris 20 bornes plus loin par le paquet dans la bosse, le 3è tour rebelotte et repris au pied de la bosse que je vais passé avec beaucoup de crampes , dans la descente n'ayant plus de jus je me sacrifie pour le sprinteur du club en allant chercher toutes les échappées , à 300m de la ligne ( je suis tjrs aux avant-postes ) , le sprinteur calé dans ma roue , je lance le sprint , à 100m je m'écarte et la fusée qui est dans ma roue produit son effort et va gagner , je finis 5è . Je tiens à préciser qu'il s'agissait du championnat départemental et que les 5 premiers étaient sélectionnés pour le championnat régional . Sauf que les commissaires ne m'ont pas vu et classsé 12è . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Louis THIRIOT Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 Le REV 2013, mais surtout le premier ABANDON de ma vie...à 63 ans ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe SERIGNAN Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 Mon pire souvenir juin 1995 : MARSEILLE MONTPELLIER 180 kms. à l'époque j'était novice en vélo, moins de 1 an de pratique.Des mois à imaginer le parcours, le défi...Consulter les cartes, prévoir des milliers d'itinéraires possibles.4 mois de préparation. (3000 kms)2 semaines pour bien s'alimenter.La veille, le matin des heures de contrôle, de préparation.....7h45 ouf j'y suis j'enfourche mon vélo je contrôle encore tout une fois, deux fois... 100 fois. Puis le départ 7h55 après 2 kms un scooter grille un feu à fond et hop plus de vélo et des bobos. Retour à la maison et départ à 9h pour Montpellier en voiture cette fois !!!!!!! Bon En Aout j'ai remis cela et pour de bon cette fois. Aujourd'hui je prépare Marseille-Grenoble pour juillet. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vincent EGIO Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 Jojo tout est relatif car 9 mois dans la vie d'une femme représentent tout autre chose , que je sache tu es bien placé pour le savoir , au fait comment se porte ton boutchou . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy LORIOT Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 Saison 2013. 2 fois.Mars, La Corima. 1° pic de forme de la saison. Je cours bien placé, suis dans le bon groupe, puis, après la 2° difficulté, à la suite d'une descente prudente, je me retrouve derrière les premiers, dans un petit groupe pour la 7° place. Tout va bien, difficulté suivante, ça passe nickel, j'ai les jambes. Et dans la descente suivante... je crève des 2 roues. J'ai de quoi réparer une fois. Fin du bal. Je poireaute une grosse 20aine de minutes pour ma 2° roue, et je repars. Je finis "en trombe", en me sentant super bien, mais très loin. Dommage...Mai, mon "objectif" FFC du début de saison. Bon, quand je dis objectif, je vise une place dans les 10. Course en 2/3/J qui se termine à Larrau, soit après les 3 premiers km du port de Larrau. La forme est là, je cours placé. Une échappée part. Lancée par un junior. On est encore en début de course. Je suis dans la roue, un gars rejoint, un autre, un collègue du club, d'autres. Il reste 80 km de course. Comme je vois qu'un gars du club est dans le coup et que je pense que l'échappée sera reprise, je me relève pour garder mes forces pour l'ascension finale. Sauf que c'est la bonne et qu'elle ne sera reprise que sur le premier lacet. En plus, je me retrouve dans une cassure à 5 km du pied du col, du coup, difficile de rentrer quand en plus ça visse devant... Bref, j'arrive au pied en queue d'un peloton en file indienne. Et difficile de remonter les 150 mètres sur des pentes de 8%... quand bien même j'avais des jambes pas trop mal. Bref, j'aurais du partir dans l'échappée... Tant pis...Voilà, on fera peut-être pire cette année. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vincent EGIO Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 🆒 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vincent EGIO Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 méchant mélange Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christian GILLON Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 fondus de l'ubaye 2013.J'avais découvert l'épreuve lors de l'édition 2012, trés fier de moi j'avis fait 4 cols, ce qui pour moi constitue un exploit.Plein d'assurance j'ai décidé de remettre ça l'année d'aprés en étant convaincu que j'allais sans gros problème aller jusqu'au cinquième col, j'avais même envisagé un éclairage pour aller plus loin....Lors du retrait des dossards j'ai fait connaissance de forumeurs qui découvraient les "fondus" et avaient lu mon compte rendu et j'ai pu rouler des mécanniques grace à ma "grande ancienneté".Le matin de l'épreuve un froid de canard dans la vallée de l'ubaye, 3°C, on se serait jamais cru fin juin. je crois que je n'ai jamais eu aussi froid en vélo que lors de la descente du col de Vars.La montée vers la Bonnette a été des plus pénibles, je n'arrivais pas à avancer, je pense qu'avec le frois je me suis mis en hypoglicémie. j'ai mis plusieurs fois pied à terre.Je me souviens lors de la dernière montée (entre le col et la cime) avoir éét pris de crampes violentes aux 2 cuisses en même temps qui m'ont paralysé, j'aicru que j'allais me casser la gueuele, faute de pouvoir déchausser à temps. je suis resté planté entre deux murs de neige avant de pouvoir repartir en poussant mon vélo jusqu'au controle (on boit le calice jusqu'à la lie)Je suis redescendu en claquant des dents, pris de nouvelles crampes et j'ai baché à Barcelonnette.Ce qui devait être une "promenade triomphale" a tourné en piteuse Berezina.J'ai appris ce jour là qu'il fallait toujour rester modeste en vélo et que ce n'est qu'à l'arrivée que l'on sait si on a fait quelque chose de grand comme on le révait... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoît FELGINES Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 Tu n'as pas envisagé une fois ta course finie d'aller le voir pour lui montrer les bonnes manières ( avec moultes giffles ) ? 😃 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 10 février 2014 Auteur Share Posté le 10 février 2014 Chuis non-violent, on ne se refait pas 🙁 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoît FELGINES Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 Comme on se refait pas , alors le speaker est resté bête et méchant . 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy FAURE1639476388 Posté le 10 février 2014 Share Posté le 10 février 2014 J'ai beau chercher, je n'en vois pas. Même si j'avais préparé un truc comme un malade (il faut l'être un brin) et que les circonstances aient tourné a l'envers.....Et bien soit, j'avais pas souffert, soit j'avais fini de souffrir, soit j'avais trop souffert et je me disait que j'étais vivant et que demain serait un autre jour.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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