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Bravo champion... mdr


Jean-Luc KENTIN

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Là , je comprends la nécessité d'une utilisation thérapeutique, mais courir une semaine après (on connait les delais d'élimination) ça faisait vraiment court pour etre sur. D'autant que tu dois parler d'un mec qui court a un niveau ou les contrôles sont plus fréquent. Enfin qu'il se dope ou pas sa version sera la même....Moi, perso, j'ai bien aimé pissé "négatif" ça met le doute.....Enfin pour les coursiers, on sait que tu peux gagner a la flotte.....même si tu l'as un brin bénie....Tu crois que j'en ai trop dit...

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je ne suis pas un moralisateur loin de là ...........

mais comme tu le dis si bien le vélo est un loisir aussi si tu ne peux courir 1 ou 2 dimanche cela n'est pas très grave ....tu vas rouler .

je comprends que les pros ainsi que les 1 FFC soient obligés de courir c'est leur métier mais pour le reste on se soigne d'abord .......

bon vélo et surtout bonne santé

 

 

 

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Sauf que 1 mois sans courir c'est plus que 1 ou 2 dimanches, quand tu cours beaucoup, en milieu de saison, c'est au minimum 10 jours de courses. Et quand ça tombe quelques jours avant une course à étape et 2 semaines avant le championnat régional (mon cas), difficile de renoncer, ... un loisir peut aussi être un passion.

"on se soigne d'abord ..." Oui mais même si on est guéri, on ne doit pas courir, on doit attendre que l’organisme élimine toute traces.

Ensuite le mythe des 1ier caté qui ne font que du vélo, faut oublier, ils sont seulement une petite minorité dans ce cas, la grande majorité on un boulot comme tout le monde.

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Damien

Si tu as une grave maladie, bien sur, tu te soignes. Mais si tu fais des courses de vélo, c'est que tu as la santé. Bon des petit bobos, rhinite, otite, bronchite,tu touches pas les corticos, c'est simple non....Surtout que si tu chopes une merde, c'est lié a un état de faiblesse et avec "ces" soins tu masques encore plus la maladie et tu vas etre gueri pour mieux replonger. Tu sais que c'est pas naturel, et donc, c'est pas ce que tu cherches.

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Rémy,

je crois que tu n'as pas bien compris. je suis en parfaite santé sauf que je suis allergique aux piqures d'abeille.

en résumé, avec une piqure mal placé (genre à la gorge), je peux y rester si je ne me fait pas d'urgence soigner.

Donc non, ça n'est pas simple car après quelques jour je suis à nouveau en parfaite santé sauf que je n'ai pas le droit de courir encore plusieurs semaines sous risque de contrôle positif.

 

 

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OK

Ce que tu as, c'est pas simple. Dans le milieu du sport la fameuse AUT existe-t-elle toujours? Parce que ce que tu as (excuse , j'ai pas du tout lire) fait partie d'une allergie caractérisée. Dans ton cas la cortisone doit etre prescrire, rien a faire d'autre, je pense.

Sachant ton pb, demande a la fédé, le laps de temps apres les soins et les dosages, quand tu peux recourir. je comprends l'injustice mais il ne faut pas que tu risques le contrôle. Reste aussi , comme tous les asthmatiques, que tu peux prevoir une periode pour faire une desensibilisaation a ton allergie, ce qui me semblerait etre le meeilleur remede a ton pb.

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Là , je comprends la nécessité d'une utilisation thérapeutique, mais courir une semaine après (on connait les delais d'élimination) ça faisait vraiment court pour etre sur. D'autant que tu dois parler d'un mec qui court a un niveau ou les contrôles sont plus fréquent. 

Concernant les corticoïdes, il faut bien comprendre que leur recherche et les contrôles positifs afférents sont relativement récents. Disons depuis le tout début des années 2000. Donc en 2002, je ne crois pas qu'on ait entendu parler déjà des délais d'élimination dans les urines de ce type de produit.

Enfin pour les coursiers, on sait que tu peux gagner a la flotte.....même si tu l'as un brin bénie....Tu crois que j'en ai trop dit...

Si je comprends bien ce que tu sous-entends, je pense que tu es à côté de la plaque. Fallait être peut-être "touché par la grâce" à ton époque pour battre des dopés si l'ensemble du peloton en croquait, mais ce n'est plus le cas de nos jours. Et même chez les pros, il y a des mecs qui font de très honnêtes carrières sans se doper.

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C'est sur que les coursiers ont du se pencher sur la durée d'une positivité apres un traitement. De toutes les époques certainement. Je ne m'occupe plus de ces histoires mais je suis certain que ca doit continuer. Pour ma part de ce que je connais, ça fonctionnait comme ça.

Je suis deçu que n'es pas compris mon allusion, ou peut etre tu ne veux pas la comprendre. Je t'explique que j'ai gagné des courses auxquelles j'ai du pissé et....négatif. Mais va savoir j'étais vraiment négatif....C'est pour ça que je te dis que la "flotte" pouvait etre "bénie", pas par le bon dieu c'est sur. Moi concernant les carrieres, je crois qu'on a une periode de sa vie ou on peut rivaliser son meilleur niveau sans rien, mais ça dure pas....alors une carriere....Donc, si il passe a porter de "possible" une bouteille d'eau "bénite" tu crois que que beaucoup vont culpabiliser a seulement regarder la bouteille.

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C'est pas un gloriole jojo, je te l'ai déjà maintes fois expliqué, mais tu continues a faire celui qui ne veut pas comprendre. C'était une époque ou ca ce passait comme ça, et si tu lis bien tous mes post, je denonce mes erreurs et les fabulations des anciens. Donc ne me parle plus de gloriole, c'est même le contraire que j'essaie de faire ressentir.

Quand a ma force intellectuelle, elle ne m'a pas mené bien loin dans les études, il me restait le sport ou l'usine, j'avais gouté a la derniere alors j'ai choisi le vélo. De 18 a 20 ans on m'a dit que c'était comme çà et naturellement j'ai fait comme ça, j'assume tout en regrettant les principes. Des gens vendaient du rêve (amphet), d'autres connaissaient le métier et les vrais produits. J'ai connu les deux, comme au jeu de l'oie, il faut passer par des cases. J'aurais pu ne pas integrer le concept, mais je n'y ai pas vu le mal. Et a cette époque c'était un boulot , et soigné ou pas c'était le jour ou la nuit. On parle période epo , mais c'était aussi deux vitesses différentes. J'avais le cul sur la selle je l'ai gardé un moment , avec une grande attention a ne pas me pourrir.

Tu sais jojo, selon que l'on soit né à......ou à.......on peut avoir fait des choses que.....

Alors je me fous de la gueule de personne et tu n'as pas de leçon de morale a me faire, ni a tous ceux qui sont passés par cette période et qui ont fait comme moi, je crois qu'il doit y en avoir pas mal.

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Moi concernant les carrieres, je crois qu'on a une periode de sa vie ou on peut rivaliser son meilleur niveau sans rien, mais ça dure pas....alors une carriere...

Si, c'est possible à condition d'adapter ses objectifs. Par exemple viser les courses d'un jour plutôt que les courses à étape. Ou étaler ses objectifs dans l'année, et pas courir après la gagne ou la place tous les week end. Ou encore à préserver ses forces à ne pas partir dès le départ sur toutes les courses. Il y a toujours moyen de trouver sa place en fonction de sa condition physique. C'est aussi pour cela qu'il existe les catégories.

Je n'ai pas connu ton époque, et si j'imagine bien ce qu'est que de courir au cachet pour gagner sa vie, je n'ai heureusement pas eu à passer par là. Sur deux ou trois ans, il m'a fallu serrer les fesses parce que je ne touchais pas grand chose par mon club de l'époque, et quand je partais courir loin, j'avais aussi besoin de faire quelques primes pour rembourser mon déplacement. mais ça n'a pas duré.

J'ai surtout eu la chance d'être bien payé pour faire des courses d'un niveau supérieur : moins de courses, mais plus longues et elles se passaient différemment. Je pouvais être un mois sans faire de résultat, et gagner ensuite une course de 180 km avec 200 partants. Une course où il suffisait de savoir se placer, de ne pas mettre un coup de pédale de trop pendant 150 km et de s'appuyer sur les choix tactiques des autres équipes. De même, dans cette configuration, les mafias n'avaient plus cours. Un autre vélo que celui que tu as connu...

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Benoît, il y a tout de même des choses qu'on ne peut pas laisser dire ou sous-entendre systématiquement. Celles qui voudraient que pédaler à un bon niveau (et a fortiori à un niveau comme celui de Joachim) sans se doper.

C'est trop facile. Même si à aucun moment il ne faut jeter la pierre à quelqu'un comme Rémy, car personne n'est apte à juger les circonstances qui l'ont conduit à le faire.

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Déjà tu touches juste en disant "ne pas partir dès le départ", d'autant plus vrai pour ton époque ou même le vélo amateur singe les pros et ou après 150bornes tout et a refaire. Mais mon époque rater la 1ere échappée , c'était souvent une course perdue, une montagne perdue, les primes perdues. C'était donc bien un autre vélo.  De plus l'inter saison était long, il fallait vite remettre de la monnaie dans la caisse et fin aout c'était presque la fin. Sans compter le temps que mettait la fédé pour te payer....

Bien sur j'ai aussi fait la course a l'abri, surtout quand elle était plus longue, bien sur j'ai laissé faire "les autres" et bien sur aussi, je suis allé gagner a la fin en ramassant les bagarreurs, j'ai eu même vendu au dernier subsistant pour mon porte feuille mais aussi parce qu'il le méritait autant que moi et même plus. Là j'avais mon salaire de postier, je pouvais me le permettre, mais fondamentalement c'était pas des courses que je kiffait , ni ma façon de courir.

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