
Gilles PEYROU
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Je suivrais les impressions des personnes qui ont déjà essayé les plateaux en utilisant un 54 Osymetric contre un 53 rond. Ou du moins, je ferais quelques séances de "calibration" pour savoir sur quelles dentures faire les tests. Il faut jouer sur les avantages théoriques de l'Osymetric. C'est juste ce que tu dis mais scientifiquement, ça tient autant de dire que le braquet est le même sur un tour de pédalier. S'il y a un avantage, c'est visiblement plus marqué en montée. Donc si tus fais un test sur le plat, j'essaierais de maximiser l'avantage dû à la composante force en mettant un plateau un peu plus gros. Sinon, j'ai bien peur que les différences ne seront pas significatives. Si un avantage apparaît sur le plat ou en côte pour l'Osymetric, je tenterais même alors un test comparatif avec des manivelles de 2,5 voire 5 mm plus longues pour voir si l'avantage s'accentue.
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Stephan, Je pense aussi que c'est mieux de tester sur 15 minutes à puissance constante, en aller retour si possible ou en circuit comme à Longchamps. Idéalement, il faut que ça commence à peser au bout de 10 minutes et sentir une fatigue assez sévère dans les 5 dernières. Un effort au seuil en gros. Plutôt que de répéter le test le même jour, genre 1 le matin et 1 l'après midi), je ferais un test en fin d'après midi et ce sur 2 ou plusieurs jours. On est souvent mieux disposé en fin d'après midi pour ce genre d'effort. Si par exemple tu tiens 330 Watts sur 15 min. avec le 53 rond, si Osymetric fait gagner 5% de puissance (17 watts en gros), en te maintenant à 330 Watts avec l'Osymetric, tu devrais avoir la sensation d'une moyenne de 313 watts. C'est significatif, ça voudrait dire que l'on n'est plus en intensité I4 seuil mais plutôt en I3 tempo (très soutenu). Le différence des moyennes des fréquence cardiaques sur plusieurs répétitions devrait être significative. Vu ce que disent les gars par rapport aux comparaisons dentures ronds et dentures Osymetric, je me demande si tu ne vas pas trouver le 53 Osymetric un peu "court" par rapport au rond et s'il ne faudrait pas un 54. Comment comptes tu procéder ? Autre chose, il m'a semblé voir sur des forums aux USA que le capteur SRM ne pouvait pas mesurer une puissance correcte avec des plateaux qui ne sont pas ronds. Désolé, je n'ai pas les liens. Vitesse angulaire non constante si je me souviens bien. Qu'en penses tu ?
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David, je n'ai pas fait ces tests ! Je reviens sur ce que j'ai dit. Il faudrait mieux faire à puissance constante. Comme ta position risque de varier légèrement et les conditions atmosphériques aussi d'un jour à l'autre, il vaut mieux rester à puissance constante, proche du seuil. Les utilisateurs des plateaux disent qu'on ne peut pas passer au rond d'un coup. Il faut donc faire les tests sur des jours différents avec l'adaptation nécessaire à l'un ou à l'autre des types de plateaux. Ensuite il faut que les test soit réalisé à une puissance très significative. Des séries de 10 ou 15 minutes, de façon à provoquer une fatigue musculaire conséquente. Faire plusieurs répétitions le même jour. Refaire les tests un autre jour avec les autres plateaux. Ensuite il faudra moyenner et voir s'il en ressort quelque chose de positif au niveau rythme cardiaque et sensations. J'ai tendance à croire aux sensations perçues par les utilisateurs des ces Osymetric, surtout en montée, car j'ai remarqué qu'avec des Powercranks, manivelles indépendantes, je développait plus de puissance en montée car les jambes ne travaillent pas parfaitement en opposition et que je gomme le PMH ou du moins j'attaque la poussée de façon plus précoce (je ne sais pas exactement). Je pense que les Osymetric doivent ressembler à cela en termes de comportement avec l'avantage bien sûr d'avoir les manivelle dépendantes ce qui ne génère pas la fatigue musculaire comme peuvent le faire les Powercranks à la longue.
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En tout cas, je n'ai pas senti le moindre dérapage. C'était insignifiant ces graviers.
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David, je ferais vitesse constante. C'est assez facile sur piste.
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Avant hier Mardi, je termine ma sortie par la montée du col d'Azet depuis Saint-Lary. Je discute 2 minutes avec un gars au sommet et je file dans la descente. La sortie est finie, il ne me reste plus que 8 km en roue libre jusqu'au gîte à Génos en bas. Je descends le premier kilomètre facile, avec une pointe à 57 km/h dans une ligne droite (NB: toutes les données chiffrées proviennent de l'enregistrement de mon Powertpap). Je freine légèrement car je me donne comme règle de ne pas beaucoup dépasser les 60 km/h en descente de col à l'entraînement. J'ai d'une part peur de l'éclatement des pneus (j'ai plus confiance aux boyaux lorsque ça éclate), mais aussi des imprévus (voitures, moutons, plaques de gravier, etc). En course, c'est différent et la vitesse est souvent de 10 à 20 km/h plus élevée aux mes endroits. Je continue ma descente et j'arrive en vue de la première épingle qui se situe à environ 1,5 km du sommet. Ce virage à droite je le connais parfaitement, j'y suis encore passé mercredi dernier dans les 2 sens. Certes c'est une épingle, mais il y a un net replat qui le rend moins difficile que les épingles plus bas. Je ralentis tranquillement et d'ailleurs une voiture arrive aussi en montant dans le virage. Elle est en plein virage au moment où j'y rentre et elle est assez déportée sur la gauche. Pas de soucis, je passe plus à la corde et là c'est ma première erreur (c'est après coup que je me suis souvenu des détails) : mon regard se porte sur des gravillons amenés par le ruissellement et sur lesquels je vais rouler. Rien de terrible. En tout cas, mon regard n'est pas sur la sortie du virage comme je le fais habituellement. Ma vitesse dans le virage est de 21 km/h. Je sors du virage relax et là je réalise que je suis pas bon. Je ne suis par perpendiculaire au ravin mais pas tangent du tout et je sens que je vais mordre. Deuxième erreur, j'ai pas le réflexe de me coucher sur ma droite pour tomber sur la route. Je pense que le pneu va mordre l'herbe (y a comme un mini sentier/escalier) et que je vais m'affaler au pire sur la route. J'ai déjà repris de la vitesse, je suis à 24 km/h et là je mors l'herbe et je voltige sur le côté gauche. Le premier choc est assez violent puis je pars en roulade sur le côté. Le vélo est éjecté à la première, puis je continue et je sens que ça accélère. 2, 3, 4, 5 roulades. J'ai enfin un bon réflexe : c'est de se tourner face à la pente. J'avais vu cela dans un reportage sur les bergers dans les Pyrénées où on leur apprenait à se récupérer d'une glissade sur des pentes neigeuses. Curieusement ça me revient et ça me stoppe net. le vélo est à 4 mètres plus bas. Je ne suis me pas choqué presque content de m'être arrêté là ! Je ressens juste une mâchure sur le flanc gauche. Je remonte tant bien que mal avec le vélo, la pente herbeuse est abrupte. J'ai bien dû dévaler sur 15 ou 20 mètres. J'aurais de toute façon été arrêté par des buissons et des arbres un peu plus bas. Quant au vélo, les roues sont à peine voilées. J'ai toujours 2 clés allen dans ma sacoche et je remets dans l'alignement la selle, le guidon et la poignée de frein, bref du classique sur une gamelle. Le casque est fendu à plusieurs endroits à l'arrière. J'ai perdu ma mini pompe et un bidon. Ils resteront en bas. Mon téléphone dans son sac plastique est toujours dans ma poche et ça me fait penser à faire un système de velcro pour fermer la poche du maillot afin qu'il ne sorte par sur chute. J'imagine si j'avais eu une jambe cassée et plus de téléphone tout seul au fond du ravin...Personne ne m'a vu tomber, hormis peut être 2 parapentistes au dessus de moi mais j'en suis pas sûr. Je file dans la descente pas du tout crispé (d'habitude je suis un peu choqué sur les gamelles). Le soir en expliquant à mon épouse, j'avais du mal à comprendre ce que j'avais bien pu faire pour manquer un tel virage (visible sur Google map). Je me demandais même si j'avais pas eu une mirco perte de connaissance entre l'entrée et la sortie du virage. Je pense que c'est un moment d'inattention. J'ai juste quelque mini égratignures et un gros bleu sur la hanche gauche. Rien quoi. Les gars, ne vous embarquez pas avec la vitesse bien sûr dans les descentes, mais surtout restez concentrés, en particulier en montagne. Gardez le regard sur la sortie du virage, c'est là où le vélo ira. La faute peut faire mal.
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Yohann, quel protocole comptes tu suivre ? Puissance moyenne fixe sur disons 15 min. pour une intensité de l'effort un peu en dessous de ton "seuil" ? Ou pulsations contrôlées ? Ou vitesse fixe ? Si je devais le faire, je prendrais l'approche avec puissance fixée, sur un aller retour. Et différents essais avec et sans Osymetric, le même jour et répété sur plusieurs jours. NB : Si quelqu'un veut bien me prêter des plateaux, je suis prêt à faire le test avec mon Powertap et le publier ici.
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Je ne critique pas Bernard 😉. Je ne calcule rien et j'ai la flemme de m'y replonger. Donc, je lis avec intérêt ce que les gars publient ici. Mais s'il y a un truc que je ne comprends pas, je le dis !
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Salut Bernard, T'es sûr des 375 watts ? Dans un autre fil, tu as écrit "Cad que Wiggins avec env 450 watts (0,22m^2) pour 71 kg, soit 6,3 à 6,4 watts/kg, est au niveau du record superman de Boardman (442 watts pour 69 kg, soit 6,4 watts/kg)." J'ai un doute... 🙄
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Portoleau et ses calculs de puissance dans les cols
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
Si t'avais un capteur de puissance, tu saurait que les watts ne se gagnent pas par dizaines, juste par le fait qu'on ait des super jambes un jour donné. Au seuil, ça se gagne presque "watt par watt" à chaque séance. Si t'es sur Toulouse, je peux te faire essayer le Powertap. Tu pourras voir que sur de longues séries au seuil, la moindre faiblesse, relâchement, etc.. et hop, la puissance moyenne dégringole en flèche. En supposant que Voeckler soit à 365 W qu'il tienne cela sur 30 minutes max.Si j'arrive à finalement faire des séries de 15 min à 365 W, on peut supposer que je lui tienne tête sur un chrono plat (pas d'influence de la gravité), si bien sûr on ramène son aérodynamisme au mien (lui compact, moi plus grand gabarit). En par exemple lui faisant porter devant le guidon, la plaque avec le nom "Voeckler" qui est normalement sur la voiture qui suit. 😉 -
Portoleau et ses calculs de puissance dans les cols
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
Laurent, soit t'es idiot, soit tu le fais exprès. Tu ramènes tout systématiquement à la puissance qu'aurait exprimé le capteur de Voeckler et comme c'est un gabarit léger, tu minimises la performance compte tenu de cette puissance moindre. Il y aurait eu un minime de 56 kg avec eux, t'aurait dit "ça ne fait que 355 Watts et puisque Gilles PEYROU tient 2 séries à 355 W, pourquoi un pro ne tiendrait-il pas 30 minutes. " Basso qui pèse 70 kg, s'il avait été avec Voeckler, il aurait dû pousser combien ? En supposant que la valeur obtenue par le modèle est juste bien sûr. Tu peux contester le modèle, c'est recevable, mais balancer des arguments montrant que tu ne sais me pas faire des règles de 3... -
Portoleau et ses calculs de puissance dans les cols
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
Si un mec de mon poids pousse seulement 365W sur les montées du Tour, il n'est pas devant. -
Portoleau et ses calculs de puissance dans les cols
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
On parle du coureur étalon de 70 kg. Bien sûr qu'ils peuvent les tenir les 400 W s'ils sont frais. Mais en fin d'étape dure sur des répétitions de longues montées, ça devient plus difficile. Alors quand ça dépasse les 400 W, on peut s'interroger (je veux surtout dire quand on flirte avec les valeurs de puissance s mesurées sous l'époque EPO). Le col de Mente était le premier col OK, bien qu'il y ait eu l'étape dure de la veille. Mais 442 W!!! Et l'étape est loin d'être finie ! On s'arrête pas en haut. Soit le modèle est archi-faux pour ces 442 W, soit les mecs sont médicalisés (pas dopés peut-être mais bien soignés). -
Portoleau et ses calculs de puissance dans les cols
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
Laurent, je ne suis pas expert mais j'avais parfaitement compris. Je me réfère bien à la puissance ramenée à un individu de 70 kg. Ici ça fait 6,31 W/kg et ce pour tous les individus qui seraient montés à cette vitesse, qu'il soient plus lourds ou plus légers (je ne tiens pas compte de la prise au vent qu peut varier suivant leur position dans le groupe). La puissance réelle développé par Voeckler, je m'en fiche car je ne connais pas sa masse. Et toi, justement, tu ramènes cette puissance à Voeckler et tu dis "...Bon, 400 W pendant 28 minutes c'est énorme mais ce n'est pas 442 W.", Bien sûr que c'est moindre pour lui mais ça fait toujours 6,31 W/kg ! Après, l'influence du vent dans la montée du col de Mente, je suis d'accord, ça peut jouer, car la majeure partie de la montée est à découvert et quasi-rectiligne. Ma masse est de 73 kg. C'est la raison pour laquelle la puissance "étalon" me parle, car je n'ai pas besoin de grosse conversion pour la ramener à ma masse (je rajoute une quinzaine de watts et je ne suis pas loin). A titre indicatif, à 400 W en montée, je ne peux y rester que de l'ordre de 3 à 4 minutes (pas à l'agonie, mais je ne peux le répéter que 2 ou 3 fois maximum avec de la récup entre). Après, j'ai déjà fait des 2 x 15 minutes à 355 W, toujours en montée. Je parle de puissances moyennes absolues mesurées avec mon Powertap. J'ai 46 ans, je cours très peu. Pour moi, on ne peut pas utiliser le modèle comme preuve de dopage. Ca donne une bonne idée du niveau des performances en montagne, bien plus palpable qu'une vitesse ou un temps d'ascension. Il suffit de mettre son capteur en puissance moyenne, de démarrer la montée et de tenir la puissance étalon ramenée à sa masse...ça dure pas longtemps 🙁 -
Portoleau et ses calculs de puissance dans les cols
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
Ceux qui utilisent un capteur de puissance comprennent que même si les calculs de Frédéric Portoleau ont une marge d'erreur, les tranches de puissances développées sont de bons indicateurs et reflètent parfois des efforts qui portent à interrogation après plusieurs jours de course et la durée de l'étape. La puissance développée dans le col de Mente par les hommes de tête est incroyable. Je cite Fédéric Portoleau (article paru sur rue89.com) : "... la performance la plus impressionnante de Voeckler sur ce Tour est celle du lendemain : à froid, après une échappée de cinq heures en motnagne et les sollicitations qui s’ensuivent, il réalise une performance jamais vue dans le col de Menté : 442 watts sur 28 minutes..." 442 watts, je ne suis pas sûr que les personnes qui n'ont pas de capteur de puissance réalisent de l'effort à fournir. Combien de temps tiendrait un coureur Elite de bon niveau ? Un coureur régional de bon niveau ? 1, 2, 5, ...10 min ? -
Portoleau et ses calculs de puissance dans les cols
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
Justement, c'est l'avantage de re-normaliser la puissance par rapport une masse donnée. Ca permet de comparer entre coureurs et entre courses. Bien sûr qu'un plus léger, pour le même temps d’ascension, développe moins de Watts que le coureur "étalon" et qu'un plus lourd en développe plus. Ensuite, il recoupe souvent ses calculs avec des valeurs mesurées de puissance provenant d'un coureur équipé d'un capteur. -
VITESSE DANS LES COLS
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Philippe BOCHU dans Discussions Route
Et depuis Payolle, ça fait moins de 6 km. -
VITESSE DANS LES COLS
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Philippe BOCHU dans Discussions Route
Oui je m'en doutais 😉 C'est l'endroit précis qui m'intéresse. Par exemple, je vois 12,400km pour Aspin. Pour moi l'Aspin commence véritablement à la sortie de Payolle. -
Sur mon vélo de route, il me faut plus de 500 Watts pour dépasser les 50 km/h. J'ai un aérodynamisme pas terrible non plus. Même avec sa position et son matériel de chrono, Wiggins doit développer bien plus de 400 W pour rouler à cette vitesse. C'est énorme. J'ai mesuré 2 fois sa fréquence de pédalage et il était autour de 90 tr/min. Ca veut dire qu'il a une force terrible car il emmène gros aussi.
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VITESSE DANS LES COLS
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Philippe BOCHU dans Discussions Route
Salut Christophe, Merci pour l'info. Te rappelles-tu de l'endroit où tu as déclenché le chrono en bas de chaque col ? -
Pau-Luchon à travers les époques
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Thierry DUBAU dans Discussions Route
Même en étant large, 2 min de gagnées dans la descente de l'Aubisque, 2 dans le Tourmalet, 1 dans Aspin et 1 dans Peyresourde, ça ne fait que 6 minutes de gagnées. Les autres c'est en montée 😛 -
Pau-Luchon à travers les époques
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Thierry DUBAU dans Discussions Route
Vent très favorable dans toutes les montées visiblement pour cette édition 2012. En 1998, je ne me rappelle pas d'un tel vent favorable (jétais allé en vélo dans Peyresourde). Quand bien même, ça envoie. Le sport de haut niveau est bien médicalisé. -
Vu la vitesse et donc la puissance développée, il y a du couple sur les pédales et donc de la force. Wiggins est sec mais il a de la force. A ce niveau de perf et de puissance, il faut être performant dans les 2 registres (vélocité et force).
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Fourche carbone 1 pouce
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Mohammed LARBI SLIMANE dans Le matos
J'espère que tu l'as pas trop cher. Perso, je te la vends à 50 euros (non coupée pour rappel). -
Fourche carbone 1 pouce
Gilles PEYROU a répondu à un(e) sujet de Mohammed LARBI SLIMANE dans Le matos
Salut, j'en ai une (une LOOK sûr, HSC3 je crois). Je l'ai sur un cadre acier qui s'était fissuré et je comptais la vendre. Je n'ai pas coupé le pivot. Elle est en bon état. Il y a juste quelques impacts de gravillons mais pas grand chose.