Robert DEVELOTTE

Je pensais vraiment que le fait d'être juché sur un vélo mettait le cycliste à l'abri de la foudre ; la saine lecture du post m'a convaincu du contraire et me voici raméné aux peurs ancestrales de mes ancêtres les gaulois. Cependant, et peut être recevrai-je un démenti, de mémoire du vieux cycliste que je suis, je n'ai jamais entendu qu'un cycliste ait été victime de la foudre sur sa machine. En plus de toutes les recommandations formulées ici, j'ai retenu celle d'Isabelle : Surtout ne pas jouer au bovin en se déplaçant à quatre pattes sous l'orage, ce qui aurait pour effet de nous faire passer pour une vache aux yeux éclairés de l'éclair !

Tige de selle carbone et cadre titane (vélo de route). Je pensais que cette association ne risquait rien ! Une pâte spéciale avait été utilisée au montage mais j'ai laissé passer trois années pleines avant de vouloir bouger la tige de selle ; c'était apparemment trop long ! J'ai commandé immédiatement un tube de cette fameuse pâte et ne me laisserai plus avoir. Pour mon VTT (carbone sur carbone), je surveille !

J'ai transmis ce lien à quelques téméraires de ma connaissance !

Merci pour le lien, Christian. Voilà qui est clair ! A vrai dire, à ce jour, je continuais ma route, persuadé d'être isolé par mes pneus ! Je vais changer d'attitude.

Nous vivons une année où, partout, les orages sont fréquents. J'entendais, ce matin sur une radio, un propos relatif aux risques encourus sous l'orage ... mais rien à propos des risques encourus par le cycliste. Sommes-nous isolés sur une bécane ou convient-il de s'arrêter et chercher un abri ? (pas sous un arbre, s'entend !) Existe-t-il parmi nos amis de vélo 101 un cycliste capable de répondre à cette question et de nous donner l'attitude à recommander lorsque nous sommes pris sous un orage.

Tige de selle .... On le sait, c'est écrit, connu, commun ; au moins une fois par an il convient de vérifier que la tige de selle de notre chère bécane coulisse librement dans le tube du cadre qui l'enserre.On a beau être chenu, expérimenté, un vieux de la vieille de la bicyclette comme moi, l'âge, la lésine, la paresse et la sénilité oublieuse font que l'élémentaire soin à apporter à nos chères machines est parfois oublié.Poussé par je ne sais quel démon, comme la belle au printemps qui veut laisser aux mauvais souvenirs le peu de gras disgracieux accumulé par elle à la mauvaise saison, je m'en suis pris, faute de le faire sur ma personne, à l'embonpoint de ma jolie monture.Une fois enlevée la lourde et confortable "Brooks" de six cents grammes et remplacé celle-ci par une aérienne "Selle Italia" de moins de deux cents grammes, je me suis rendu à cette évidence : Il me fallait rectifier, dans la foulée, la hauteur de selle.C'est là que l'histoire se corse, car la maudite tige de selle semble scellée définitivement au cadre. Dégrippant, force appliquée sur la selle, appel à leviers de plus en plus long, appel à moitié pour maintenir l'animal regimbant ... Des gouttes de sueur perlent à mon front ; la selle a bien oscillé de quelques millimètres mais je comprends vite qu'avec ces moyens du bord, je vais y laisser mon âme et plus grave peut être ma chère bécane qui ne geint pas de plaisir à chacune de mes manoeuvres.Finalement, j'ai confié mon vélo, en fermant les yeux, à un mécano très réputé dans le secteur. Celui-ci est venu, a vaincu les résistances, est parvenu à séparer tige de selle et cadre. - Comment t'a fait, Pascal ?- Chut ! Secret !Je ne saurai jamais comment Pascal a réussi ce que je considère comme un geste chirurgical miraculeux ! Peu importe. Jamais, plus jamais, je ne laisserai une tige de selle dans un cadre sans vérifier, au moins une fois par an que la dite tige de selle et son cadre sont deux entités distinctes.Moralité : Qu'on se le dise aux chaumières !

Salut Eric. Je te réponds tardivement et te prie de m'en excuser. Le Ghisallo n'est plus au catalogue Litespeed depuis deux ou trois ans, je ne sais pas pourquoi. Je crois qu'effectivement J. Longo roulait sur ce modèle. Introuvable en neuf, on peut l'acheter en occasion à des prix très intéressants : Au départ, le cadre nu (avec fourche et jeu de direction top) valait autour de 3 700 euros ... Cher ! Mais avec d'indéniables qualités, durabilité, légéreté, confort, solidité, look discret, finition impeccable. Je roule là dessus depuis cinq ans et ne suis pas près de changer de monture. Je me suis pris en novembre 2011 un super "gadin" à plus de 40 km/h, casque cassé et fêlure de la hanche, sans que mon Ghisallo n'ait la moindre égratigure. Un carbone aurait certainement subi des séquelles !

Merci les gars pour ces réponses explicites. Effectivement, le nettoyeur haute-pression est désastreux, de même que l'usage de dégraissants surpuissants à usage ménager ; ces produits esquintent tout. Pour mon compte, j'utilise avec modération le simple arrosage de type jardin à chacune de mes sorties. En effet, il convient d'éliminer le sable de grès de ma région, mortel pour tous les roulements et transmissions. Je passe ensuite un coup de soufflette puis un petit coup de chiffon, enfin je remets un peu d'huile. Il n'en demeure pas moins que je suis inapte à toute intervention sur fourche et amortisseur ; j'en suis à tendre le dos pour que rien ne flanche et je suis inquiet au moindre bruit ou frottement, partant du principe vrai qu'un vélo ne doit émettre aucun bruit parasite.

Mon VTT (Canyon Lux MR tout suspendu) a un cadre qui comporte des "articulations", le problème étant sans doute identique sur tous les Vtt "tout suspendus". Ma question est donc la suivante : Faut-il graisser ou huiler périodiquement les articulations du cadre ? Et dans l'affirmative, avec quel produit ? Car je suppose que la fibre de carbone ne supporte pas n'importe quoi. De même pour l'amortisseur ... Bien beaux, ces vélos sophistiqués, mais leur entretien est devenu un mystère pour moi !

Alors ... J'ai purgé mes circuits, changé mes plaquettes de frein et ... comme l'oeil dans la tombe regardait encore Caïn, mes plaquettes neuves effleurent encore les disques ! Je vais procéder à leur rodage et comme l'a écrit Vincent ci-dessus, je pense que le problème sera résolu. PS : Comme chez nous le temps est affreux, je roule avec mon VTT mulet (V Brakes), donc je n'ai pas encore fait l'essai des freins de mon N° 1. Le temps s'annonce plus clément à partir de lundi et là ... (suite au prochain N° !) En tous les cas, il est impossible de donner mécaniquement plus de recul aux plaquettes.

Bon courage pour tes travaux futurs et merci pour ton appui technologique.

Pour la fourche, il faudra bien aussi que je me documente. J'ai une DT Swiss 100 ... à chaque jour suffit sa peine. Pour le matos, j'ai fait le choix du haut de gamme sans savoir si j'ai raison ; idem pour la route le vélo étant mon unique loisir (pas de voyages, de croisières, de restaurants étoilés ou grosses bagnoles etc...)

N'écoutant que mon courage et tes conseils, Laurent, j'ai passé commande via internet du kit freins avid ; le seul petit hic provient du prix de ce nécessaire (avec le flacon d'huile) :42 euros plus les deux jeux de plaquettes (48 euros) je trouve la note salée pour une année d'usage modéré ... J'ai déjà remplacé ma chaîne (10 v) ... Soit, en matériel pour un strict et nécessaire entretien : 115 euros ... à quoi s'ajoutera bientôt le remplacement des pneumatiques (70 euros). Il ne s'agit que des pièces d'usure normale, sans casse ; s'y ajouterait la main d'oeuvre (pas simple à trouver dans mon bled) et je me fais la réflexion un peu désabusée que le vtt n'est pas un sport de pauvre !

Je viens de regarder la procédure, très bien faite, que tu m'as indiquée ... bon, ce serait mieux encore en français, mais on devine avec les images ; il ne me reste qu'à me procurer le kit. Peut-on acheter ça via internet ?

Merci Laurent. Je vais sans doute faire l'essai de l'achat du kit car, je ne suis pas certain que mon vélociste, qui est surtout spécialisé route, soit compétent en matière de systèmes hydrauliques. Et puis, j'aime bien m'occuper de mes vélos ... Enfin, je suis un peu déçu d'une telle complication pour un simple changement de plaquettes. Note : J'ai envoyé un mail au service après-vente de chez Canyon hier ... Suite au prochain numéro.

Ca va falloir que je me fie à un vélociste ; l'hydraulique je ne connais pas et ne suis pas outillé. Effectivement ça doit être un problème de purge et de remise en route. J'ai fait ce que je pouvais en mécanique.

Xavier, j'aime bien me dém ... moi-même, comme beaucoup de cyclistes et là, je l'avoue, j'y perds mon latin. Je vais donc aller voir mon vélociste, sans enthousiasme. Je pense effectivement que shimano est supérieur.

Pub gratuite pour les freins sram X0 avid : C'est de la daube. Impossible à régler ils ne sont bon que pour vous accompagner en musique en freinant en permanence ! A éviter autant que faire se peut. Je viens de les monter, démonter quatre fois, en suivant les consignes de Jean, sans le moindre succès. Shimano fait sans aucun doute beaucoup mieux. Mes X0 sont neufs mais j'envisage de les changer. Je referai un essai cet aprem, le temps de me calmer les nerfs ...

Mon VTT est pourvu de ces freins et je n'en suis pas satisfait du tout. En effet, les frottements disques sur plaquettes sont permanents et je n'ai trouvé aucune solution pour écarter un peu les plaquettes en sorte qu'elles ne soient pas en contact avec le disque. Mes disques n'ont aucun voile, les plaquettes démontées sont en bon état et ça frotte ! J'ai consulté la notice et opéré l'opération indiquée au chapitre : Régler le point d'engagement des plaquettes ; en lâchant au maximum mes poignées, les plaquettes frottent encore. Quelqu'un a-t-il eu ce problème et trouvé une solution ?

Merci les gars pour vos réponses claires. Je vais effectivement tenter le 4, avant le 1 si échec, le diagnostic de porosité du pneu me semble effectivement le mal constaté. Vous dirai, pour compléter le post, la suite que j'aurai notée. Pour ce qui est du dégonflage progressif, à ce jour, je n'avais rien remarqué et ce pneu restait invariablement gonflé à 2 bars. Merci encore. 101 est une mine !

Bonjour les amis ... Je viens de m'apercevoir, après ma sortie d'hier, que mon pneu tubeless s'est complètement dégonflé pendant la nuit. Il fallait bien qu'un jour j'ai un problème avec un tubeless et finalement, j'ai de la chance d'avoir le temps de la réflexion pour réparer, et de réparer au chaud, en plus. Je l'ai donc regonflé mon pneu et me suis aperçu, que mouillé, le pneu fait des petites bulles à plusieurs endroits, un peu comme s'il était poreux. Bien entendu, ce pneu n'est pas neuf mais il a encore belle apparence et des sculptures correctes. Me voilà donc devant un cas avec trois solutions : 1- Je change de pneu (simple mais dommage de réformer un pneu en bon état - 1 an et moins de 2000 km)) 2- Je regonfle avec une bombe anti-crevaison (sans garantie avec la crainte d'un problème) 3- Je démonte et place une chambre à air ( et je perds les avantages théoriques du tubeless) Cruel dilemme. Avez-vous un conseil à me donner ?

Pour moi, ce sera l'Izoard, à cause de son histoire cycliste et de sa casse déserte. Mais tous les grands cols des Alpes ou des pyrénées ont des charmes ; ceux qui cernent Barcelonnette, l'Aubisque aussi. Il est vrai que la circulation automobile nous gâche un peu le plaisir, que la météo joue aussi un rôle. Je n'ai gravi le Tourmalet qu'une fois, sur ses deux pentes mais par un jour où la visibilité ne dépassait pas dix mètres ... conclusion : je m'y suis gelé je ne vous dirais pas quoi dans les descentes et je ne connais pas le Tourmalet ! Le Ventoux est grandiose, à défaut d'être "beau". En résumé, vive la montagne !

OK, Xavier. Je pense que, pour avoir une idée complète, il me faudra quelque temps et quelques balades. Ce n'est pas de la pub. , mais mon coin est vraiment idéal pour la rando à VTT comme tout le massif des Vosges, en général ; par grand vent, en forêt, tu ne ressens que très peu de gêne.

Ben, merci Serge. Ton post est si bien documenté qu'il est de nature à clore le sujet. J'en tire la conclusion suivante : Le pneu sans chambre ne dispense pas de la chambre à air de secours ; c'est sinon plus facile,plus sûr moyen de rentrer à la maison sans faire appel au portable ! Pour les pneus, le vélo a été livré avec des "schwalbe" dont je ne connais rien, alors je verrai ...

Salut Xavier. Tu as raison, il va me falloir potasser et adapter le vélo à mes habitudes. Je vais scier le guidon, par exemple ... Comme il estr là, je le trouve beaucoup trop large. J'ai la chance d'habiter un coin où le VTT est roi : les Vosges.