Rémy LORIOT

Il n'y a pas que l'essai avant achat. Tu as aussi passer par la case "étude posturale", qui te permettra, selon les critères que tu définis (position rando, sport mais confort, ou course) de choisir un cadre en fonction de sa géometrie à la juste taille. De mémoire, Culture Vélo le proposait gratuitement à l'achat d'un vélo (ils ne doivent pas être les seuls). C'est ce que j'avais fait lors de l'achat de mon BMC en 2012. Depuis, j'ai du changer de cadre, et cette étude m'a permis de constater que je pouvais opter pour un 54 chez Cannondale pour un Caad 10, alors que j'étais sur un 53 chez BMC, et que les "standards" taille me donnaient plutôt un 52... Et le tout en restant excellemment bien posé sur mon vélo. Bref, ça peut t'aider à choisir sans essayer, avec une quasi certitude d'être bien posé. Et ce n'est jamais perdu, car une bonne EP peut aussi te donner tes autres côtes "idéales" dans le cas où tu change de pratique sportive, pour un achat ultérieur.

Le Caad 10 en Ultegra pèse avec des Aksium environ, et selon la taille, 7,6 kg sans pédales. Avec des Ksy Sl, et des pédales "standard", genre kéo classic, ou 2 max, tu seras donc à moins de 7,5 kg. Pour un carbone à ce niveau de prix, en effet, tu seras plus proche des 8,5 kg, et avec un vélo sans doute bien moins "performant"...

Tiens, en jetant un coup d'oeil au calendrier sur le site CIF, j'ai vu qu'il y avait toujours Paris-Pussay, j'ai vu aussi Paris-Vallagoujard, Bois d'Arcy Bazainville, et sans doute d'autres. Ca fait pas 10000, d'accord, mais des courses, une par semaine, c'est déjà suffisant...

Je me rappelle aussi de Clamart, 100km, 110 tours... ou du trophée Imax à Villeneuve la Garenne... en effet, moyennasse côté intérêt du parcours. mais comme le dit Jo, l'intérêt d'une course peut se trouver ailleurs que sur le parcours.

Ben en 2010, début mars, 1° course de la saison en 3, un truc du genre Voisins le Bretonneux-Magny les Hameaux, avec une boucle en VDC. Météo exécrable, départ à l'aube (genre 8h du mat'). Je me rappelle y avoir pris un éclat par excès de prudence dans la 1° descente. Sinon, les courses dans le 33, ce n'est pas moi. Je pose plus mes roues en 64, et un peu 40 et 65.

Ben écoutes, pour ma part, pour avoir couru en IDF en Pass Open jusqu'en 2010, il y avait des courses, notamment vers Nemours, où les parcours étaient tout sauf plats. Il y avait aussi en début de saison quelques belles courses en ligne en vallée de Chevreuse en 3 FFC. Mais de ce côté là, je crois qu'il y a en effet eu des coups de sabre dans le calendrier. Je ne connais pas le calendrier actuel, mais il doit bien rester une ou autre épreuve "amusante". En Sud Aquitaine, nous avons la chance d'avoir de belles épreuves au calendrier, avec de très beaux parcours. Ca a tendance à se raréfier, mais pour l'essentiel, ça reste un calendrier avec de belles épreuves.

"j'ai vu un CAAD 10 d'occas pas loin de chez moi de 2012 blanc et vert que pensez vous de se velo ... vaut il aussi bien qu’un carbone entrée de gamme ?" En fait, il vaut au moins aussi bien qu'un carbone d'entrée de gamme, il vaut même sans doute bien mieux. Ainsi que pas mal de carbones haut de gamme. Je parle en connaissance de cause. Pour se faire un avis sérieux, il faudrait pouvoir tester dans la même configuration un CAAD10 et un SuperSix Evo. Vu que la géométrie (et la fourche) est identique, on pourrait vraiment se rendre compte.

J'en ai un en Ultegra 10v, selle Italia flite, tds 3TTT Dorico Team, potence Easton EA 70 et cintre 3TTT Ergonova. Avec des roues shim Dura Ace C24 cl, et des pédales Look Kéo classic, il pèse environ 7,3kg. J'ai passé le Galibier avec à la Marmotte cet été, et je te garantis que si quelque chose me ralentissait, ce n'étais pas le vélo...

Bonjour, à ta place, pour ce prix, sans hésiter, j'opte pour un Cannondale Caad10 en Ultégra. Après avoir eu un BMC RM01 et un Scott CR1 pro, c'est le meilleur vélo que j'ai eu. Meilleur que les 2 autres, spécialement en grimpée, et en descente c'en est hallucinant tellement il est facile à piloter. Les roues seront les mêmes que sur le Canyon, et au niveau du poids tu seras au même niveau, voire plus léger (je pense que dans tes 7,3 kg, tu oublies les pédales, jamais prises en compte dans les catalogues). Pour ma part, je suis à 7,3 kg avec des roues dura ace C24 chaussées en véloflex corsa, et des pédales Look Kéo classic. Ca c'est si tu veux un vélo chez un bouclard. Après, si tu es ok en mécanique, le Canyon est un excellent choix en effet. Pour ce qui est du service chez intersport, je ne me prononce pas, tant le niveau de qualité des services de mécanos sont variables selon les magasins dans les cas des GSS.

A ce que te conseille Gérard, sur Home trainer, tu peux quand même assez rapidement travailler la force en séances combinant la vélocité. Type 10' éch, 4 exercices 5'force /5' vélocité et 10' de retour au calme. Ca fait une séance d'1h, 2 fois par semaine. La force, ce n'est pas obligatoirement "bouriner" au plus gros braquet possible. Ca passe d'abord par des exercices à 60 rpm avec une résistance correcte, certes, mais qui te permet de te maintenir à 70% au cardio. Et ça, c'est applicable presque dès le début d'une reprise. Si tu peux sortir le week end, du genre 2h le samedi et 2h30 le dimanche en complément, ça va aller tout seul. Ensuite, tu augmentes toutes les 2 semaines la durée de tes sorties de volume à 2h et 3h, puis 2h30 et 3h30 jusqu'à enchaîner 2h30 et 4h, et là tu auras endurance, une base musculaire et un pédalage qui auront bien progressé de concert. Tu fais tout ça sur 2 cycles de 4 semaines avec entre 2 une semaine plus light pour la récup' (toujours programmer une semaine 30% plus light en volume et intensité toutes les 3/4 semaines pour la surcompensation), et tu seras prêt à passer au spécifique !

Perso, pour du 10v, une chaîne, c'est 5-6000 km. Une cassette, 25000 si l'entretien est bon. A chaque changement de chaîne, une 50 aine de km au moins est nécessaire pour le rodage, d'autant plus si la cassette est ancienne. Pour ma cassette Sram Red de 2010, qui a vu passer pas mal de chaîne, il arrive que ça craque un peu plus longtemps, mais ça finit toujours par se faire.

Ou que cette horreur ? Je ne pense pas... http://surdeuxroues.files.wordpress.com/2014/01/saeco-cyclisme.jpg

Encore que le javelot, y'a aussi de la relative "bonne qualité". http://www.lejournaldevitre.fr/3782/londres-2012-linfo-decalee-de-la-redac/ mais le marteau par contre... http://www.monde-du-record.com/sport/nouveau-record-du-monde-de-lancer-de-poids-feminin/ enfin, peu importe, vous avez saisi le sens général de ma réflexion...

Et est-ce plus "scandaleux" que ça : http://www.rantsports.com/clubhouse/2012/10/04/the-100-hottest-pictures-of-cheerleaders-across-all-sports/#slide Pourtant accepté comme une composante normale du sport.

http://www.chocolatecity.cc/2013/04/11/legends-football-the-fastest-growing-sports-league-in-the-nation/ c'est quand même plus sympa qu'une compète de javelot féminin, non ?

Pfff... Tempête dans un verre d'eau. De toutes façons, des tenues sexy pour des sportives, c'est une des façons de promouvoir le sport féminin. Pourquoi les sports féminins les plus médiatiques sont-ils le tennis, le beach volley, ou encore les épreuves de sprint en athlétisme ? Ou mieux encore, pourquoi la "Legends football league" aux USA a-t-elle autant de succès ? Les sportives les mieux payées sont là. Au Beach Volley, les salaires féminins sont quasi équivalents aux salaires masculins. C'est le seul sport dans ce cas. Sinon, il ya Lindsay Vonn, mieux payée que les skieurs. Pourquoi à votre avis ? (chiffres 2011) Stoppons un peu l'hypocrisie. Pourquoi les femmes aiment-elles regarder la boxe, le vélo, la natation ou le rugby ? Notamment (pas que, mais aussi) parce que ça les émoustille quelque part de voir des mâles en tenue plus ou moins virile se mesurer les uns aux autres. Les hommes regardent ces disciplines parce que c'est spectaculaire ou parce qu'ils s'identifient à ces sportifs. Or, on veut promouvoir le sport féminin. Oui, mais les femmes, dans leur immense majorité, sont moins portées sur l'activité sportive et les joutes qui en découlent (c'est sans doute que le côté "confrontation" est plus développé chez l'homme). Elles ne s'identifient pas aux sportives de la même manière que le font les hommes avec les sportifs. Donc, il ne faut pas compter sur elles pour regarder du sport féminin. Or, et sans misogynie, le sport masculin est presque toujours beaucoup plus spectaculaire/rapide que le sport féminin équivalent. En vélo par exemple, les Françaises du meilleur niveau courent aussi avec les hommes... en 2/3 FFC du fait du manque de richesse de leur calendrier. Au foot, elles sont au niveau de la CFA. En rugby, de la Fédérale 3. Etc... Les hommes ne seront donc jamais "naturellement" attirés vers les sports féminins. Même si le niveau monte, il n'y aura jamais de comparaison possible. Il y a donc, en jouant sur le côté sexy, une possibilité d'attirer le chaland, et donc de promouvoir le sport féminin, en développant les retombées financières. D'autant plus que les sportives sont souvent très bien foutues. Beaucoup plus que la moyenne. Oui mais voilà, ce n'est pas politiquement correct. Quand les hommes s'en foutent de voir Christiano Ronaldo ou Chabal exhiber leur musculature, les femmes trouvent honteux que les gonzesses de la Legends Football League jouent en tenue sexy, ou sont scandalisées de voir les jolis culs des Brésiliennes du Beach Volley aux JO... Pourquoi ? Par jalousie avec ce qu'elles voient en se regardant dans la glace. Ca les fait rager de voir leur mari dans le canapé mater un match de beach volley. CQFD

Pas grave, s'ils te mettent la jante Ksyrium élite actuelle, ça doit peu ou prou être la même chose...

Ben déjà, une bouteille de côtes de Francs 2010 tombée le soir même... Visite au placard à whisky pour un bon petit Jack Daniel's le dimanche soir dans le canapé, Hier, apéro, et test d'un Pic Saint Loup déniché à la foire aux vins de Carrouf' (moyen d'ailleurs le Pis St Loup...) A suivre... 😃

Yessssss !!! 😃

Bonjour, mon dernier CR de la saison. Je n'avais pas posté pour le trophée de l'Oisans et ses 4 épreuves : Vaujany, Prix des Rousses, Marmotte et grimpée de l'Alpe. Je vais donc me rattraper avec ma dernière épreuve de la saison, la "Larra-Larrau", en Navarre. Déjà, lors de l'inscription, je suis surpris de la dénomination. En effet, outre Pyrénées, nos voisins nomment les cyclosportives "marchas cicloturistas". mais renseignements pris, il s'agit bien de cyclosportives, avec chrono, classements, trophées etc... comme en France donc. Je me rend donc sur place vendredi 12 septembre, au volant de mon van. Route magnifique. Je me pose sur un parking à l'entrée du bourg d'Isaba. Je vais récupérer ma plaque de cadre avec puce, et vais "débloquer" une quarantaine de mn pour tester les jambes. N'ayant pas du tout roulé depuis le dimanche précédent et la 2° étape du tour des Landes, je ne sais pas où j'en suis. Les sensations sont correctes. Sans plus. Je casse la croûte et passe une bonne nuit. Au réveil, je suis surpris par la température. Il fait beau, mais le mercure n'affiche que 7°C. Petit déj au "sportdej", et go, sur le vélo pour un semblant d'échauffement. Sur la ligne, je me positionne 20 bonne mn avant le départ. A noter la présence de quelques pros de l'équipe Euskadi, et du grand Miguel Indurrain (qui ne prendra le départ que 30 mn plus tard pour la boucle de 100 km). Nous sommes presque 600 au départ de la grande boucle, ils seront environ autant sur le 100 km. pas de doute, il s'agit bien d'une des plus importantes épreuves du calendrier Pyrénéen Espagnol. 9h02, le speaker donne le départ. M'attendant à un départ "a bloc", comme dans les cyclosportives Françaises, je suis tout d'abord surpris par le rythme. Un petit 30-35 km/h sur les quelques km de plat/faux plat qui nous séparent du début de la première difficulté. Je reste tranquilou devant le peloton, en compagnie d'un pro d'Euskadi et du Directeur sportif des sub-23 de Caja Rural, lui même "élite amateur" Espagnol. Nous discutons tranquillement. Un gars tout seul quelques dizaines de mètres devant semble avoir des fourmis dans les jambes. Je me redemande si on n'est pas dans une cyclotouriste... Rapidement, les premières rampes du col de la Pierre St Martin me prouvent le contraire. le rythme est pour le moins soutenu, et su je m'accroche aux meilleurs pendant les 3 ou 4 premiers km, je dois rapidement me rendre compte que je ne suis pas à mon meilleur niveau, et que si j'insiste à ce rythme, je vais exploser... Je laisse donc filer les 25/30 premiers, et reste à mon rythme, relayé de temps en temps par un autre concurrent. Nous sommes suivis par un groupe d'une vingtaine d'unités. la montée de La Pierre dans ce sens, si elle est nettement plus abordable que par le versant Français, n'est tout de même pas à prendre à la légère. Il y a quand même au cours de l'ascension une portion de 7,5 km pendant lesquels la pente ne descend jamais au dessous des 7%. Pour donner un ordre d'idée, on doit être sur une montée comparable en difficulté avec celle du Télégraphe. le descente qui s'ensuit est longue et très rapide. Heureusement que le froid s'est rapidement dissipé. A noter un dépassement hasardeux en slalomant entre un camping car et une vache... Notre groupe se disloque au gré des allures adoptées par les uns et les autres, mais se reforme rapidement dans la vallée, entre Arrette et Lanne. Il est maintenant temps d'aborder la 2° difficulté du jour, à savoir la terrible montée vers la station de ski nordique d'Issarbe. Il s'agit sans doute de la montée la plus dure de la journée, avec un peu plus de 12 km à 8,4% de moyenne, dont 10 km à quasiment 9%, et une portion de plus de 3 km où la pente ne descend jamais à moins de 10%. Rajoutez à cela un revêtement très moyen, et vous avez une idée du chantier. Je fais un bon début d'ascension, faisant rapidement exploser mon groupe. Après quelques lacets, je me rend comte que je suis seul. En me retournant quelques centaines de mètres plus loin, je me rend compte que 2 concurrents se sont extirpés du groupe, et grimpent à bonne allure. J'en profite pour ralentir l'allure le temps qu'ils me reprennent. Nous finissons la montée ensemble, reprenant au passage quelques concurrents, dont le DS des sub-23 de Caja Rural, qui a sauté de devant au début de l'ascension, et nous dit que devant, ils sont déjà loin. Nous terminons à bonne allure la montée. Un peu moins de 51 mn d'ascension pour ma pomme. Je m'arrête au ravito le temps de remplir un bidon. Je me dis rapidement que j'aurais aussi dû remplir le 2°, mais il est trop tard. Nous plongeons dans la descente vers St Engrace, et si les vitesses maxi lors de la descente de La Pierre St Martin ont été élevées, elles sont carrément hallucinantes lors de cette descente. Je dépasse à au moins 2 reprises le 90 km/h ! Pas rassuré, mais la route est sèche, et j'ai fait de beaux progrès en descente. Ca se déroule sans encombre. Un groupe se reforme encore en bas de la descente, avant d'aborder le plat qui nous conduit à l'auberge de Logibar et à l'entame du port de Larrau. Je suis en terrain connu, ayant déjà plusieurs fois posé mes roues sur ces routes, lors de courses FFC qui arrivent à Larrau. Nous sommes maintenant dans le Port de Larrau. 15,3 km d'ascension à 7,9% de moyenne. Au passage, le col d'Erroymendi et ses presque 11km à plus de 9% de moyenne dont 5 km à plus de 10%... Après 2 cols costaud, autant dire que ça va piquer. Je suis tout d'abord surpris du rythme que j'arrive à imprimer lors de 3 premiers km qui nous amènent à Larrau. Je me paye même le luxe de m'arrêter remplir mon 2° bidon d'eau à la fontaine de l'entrée du village. A la sortie du village, la pente est un peu plus cool. Sachant qu'après, c'est terrible, j'en profite pour tourner un peu les jambes. S'en suivent ensuite les 5 km précités, qui sont atroces. Si mon allure du début de l'ascension a été bonne, je subis alors un gros coup de moins bien. Je ne franchirais le col d'Erroymendi qu'en 56 mn. Ce qui suit alors est un brin plus facile, avec 2 km de légère descente coupée de faux plats montants. On a de la chance, il n'y a que peu de vent. Oui, mais voilà, il reste encore 2,3 km d'ascension pour passer le port de Larrau. Ce n'est rien me direz-vous... Sauf que le dernier 1,3 km est à 11,5% de moyenne ! Le sommet me fait l'effet du sommet du Galibier. On le voit nettement depuis les lacets qui le précèdent, et on se rend compte qu'il est beaucoup plus haut. Et que ces derniers hectomètres, les jambes déjà pleines de toxines, seront terribles. Ce sommet n'arrive jamais ! Ca y'est, je suis dans la descente. Je l'avale rapidement, enchaînant les virages et les bouts droits le plus vite possible, mais avec la sensation d'être toujours en sécurité. J'enchaîne ensuite avec l'Alto de Laza, et ses 3 km à 6 petits %. Mais ils font quand même mal aux cannes. La fin est en faux plat descendant. Je suis en compagnie d'un concurrent du grand parcours, et d'un autre de la petite boucle. Si ce dernier roule sacrément, l'autre ratonne tant qu'il peux, et je devine qu'il va essayer de me sauter sur la ligne. Je me marre intérieurement. Nous sommes alors repris par un groupe de 7/8 unités qui nous avalent et nous dépassent. Je trouve un peu d'énergie pour sauter dans leur roues, et prend même quelques relais dans les derniers 5 km. L'un d'eux est fort. Le final est une bosse de 300 mètres, qui me permettre de flinguer tout ce petit monde "pour le sport". A l'arrivée, on se sert la main et on rigole, sauf le gars qui ratonnait précédemment, visiblement déçu. Pour ma part, je me suis régalé lors de cette épreuve magnifique. Sans doute une des plus belles auxquelles j'ai participé. Ma préférée niveau paysages. J'y reviendrai sans doute. Au bilan, 5h32, 24 mn derrière le premier, aux portes du top 30. Vu ma forme, et mon manque de motivation du moment, c'est déjà mieux que ce que je pensais faire. Ca y'est, maintenant, fini le "métier", et place aux excès !!! C'est bon la coupure ! 😃

Oui, cette montée d'Issarbe est vraiment super. Très dure pendant 4 km, sans être impossibles pour autant. Juste une petite critique sur la qualité du revêtement... Mais bon, on ne peut pas tout avoir...

En même temps, ça permet de (re)faire le parcours quand t'en rates une (comme moi avec la Pierre Jacques)... Et puis le coin est tellement beau, et les paysages tellement spectaculaires qu'on comprend les organisateurs.

Salut ! Aphanize, je l'ai passé depuis Ahuski, mais par Mendive, juste descendu. C'est vrai que ça doit piquer en montant... Et quand tu penses que par Béhorléguy c'est pire...

À ajouter depuis hier et ma participation à la Larra-Larrau : - la Pierre St Martin par Isaba - montée à Issarbe par Lanne - Col d'Erroymendi et dans la foulée le port de Larrau - Alto de Lazar depuis Ochagavia Et sans les avoir grimpé, mais franchi en descente, le Soudet et Suscousse.

Ça c'est sur... Quand tu fais un tour de manège dans la roue d'un cador de DN2, tes cuisses s'enrappellent... Pour ma part, hier, fin de saison sur la très belle cyclo Navarraise la Larra-Larrau, avec au programme les cols de La Pierre St Martin, Issarbe, Port de Larrau et Alto de Lazar... Je posterai demain dans le sujet approprié.