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Jean-Luc LEMOINE1639476353

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Tout ce qui a été posté par Jean-Luc LEMOINE1639476353

  1. Bonjour, Il existe une méthode simple pour régler les cales, quelles que soient les chaussures, afin que l'axe du gros orteil soit au droit de l'axe de la pédale. Voici le lien pour la documentation d’explication :http://www.pile-poil.net/Telechargerdivers/Chaussurescalespedales.pdf Vérifie.
  2. Maths pures et maths appliquées n'étaient pas ensemble. Mon doctorat me sert bien, presque tout le temps. Je ne comprends pas pourquoi tu parles d'inutilité. Mon calculateur est un assistant et non une fin en soi. Depuis plus de 10 ans il a rendu bien des services et il en rend encore. Le modèle théorique (ou mathématique) qui réussirait à simuler un corps humain n'est pas encore né et je pense qu'il ne verra jamais le jour dans un état parfait. Pourtant les mathématiques servent beaucoup à approcher le réel (sciences mathématiques et physiques se complètent à merveille).
  3. Bonjour Bertrand Je ne suis pas pessimiste, bien au contraire, mais je connais bien les problématiques de recherche opérationnelle. (modestement, mais ça permet de situer mon niveau de compréhension, je suis ingénieur ENSEM et docteur es sciences mathématiques pures et mathématiques appliquées). Tout le problème est de collecter les informations provenant d'un être humain, et ça c'est une autre histoire. La biomécanique n'est pas une mécanique à cinématique "exacte" d'une part et le corps humain possède une infinité (certes limitée) de solutions pour passer une puissance maxi avec une efficience globale. Tu vois déjà un gros problème arriver: Infini et Limité ... la plupart des gens ne comprennent déjà pas cela. Je confirme donc mon propos: aucun logiciel ne peux donner l'optimum. Il s'agit tout au plus d'un accélérateur de compilations de contraintes et une aide considérable pour calculer vite et bien une grosse quantité de choses, mais certainement pas un outil absolu. L'humain expérimenté a et aura encore toute sa place pour aller au bout. Jean-Luc LEMOINE
  4. Bonjour Bruno, C'est vrai qu'avec un ordinateur et du blabla on peut toujours raconter n'importe quoi. Du reste on peut toujours raconter n'importe quoi sans rien aussi. Un programme informatique n'apportera jamais l'optimisation maximum sous contraintes multiples. Mais si la démarche est sérieuse, l'ordinateur apporte sans conteste à l'ergonome une assistance à l'optimisation en prenant de nombreux paramètres en compte, tout en lui laissant les derniers ajustements de jugement. Certains réussissent d’ailleurs toujours à se passer d'ordinateur, mais pour avoir fait longtemps les 2, je peux te dire que je ne peux plus me passer d'ordinateur, notamment s'il faut restituer tous les détails de l'etude de façon parfaite (pile-poil). Jean-Luc LEMOINE
  5. Bonsoir Miguel En fait les discussions de ce genre proviennent de ce qu'on amalgame un peu tout en m^me temps. Pour clarifier il faut toujours partir du principe simple suivant. 1) On s'occupe d'abord du cycliste, de sa position la plus adaptée en fonction de sa morphologie, de sa pratique, de ses attentes et de ses contraintes. C'est ce qu'on appelle une étude posturale qui va permettre de déterminer dans quelle position le cycliste aura toutes les chances de passer son style, sa puissance, sa coordination musculaire, tout en étant attentif à son confort, sa sécurité, sa santé et sa pénétration dans l'air. La position ainsi déterminée par les cotes de position est indépendante du vélo ! Ici donc on ne parle pas de vélo, on parle uniquement du cycliste et de sa position pour une pratique optimum. Cette position évolue avec les paramètres du départ, mais eux seulement. En principe pour une m^me pratique, une même morphologie; les mêmes contraintes et les mêmes attentes, la position n'a pas lieu de bouger, même avec la mode et autres considérations "de gourous". 2) On s'occupe seulement ensuite du vélo, notamment de sa géométrie utile, sur la base du cahier des charges de choix et de réglage que fournit l’étude posturale. En effet le vélo doit permettre le réglage aux cotes de position, sans recours à des bizarretées mécaniques, et en assurant au vélo sécurité, équilibre et performance mécanique. En perdant de vu cette méthode tout s'en trouve mélangé. Ton vélociste aurait dû discuter avec toi d'abord de ta position et non du vélo, pour ensuite seulement argumenter sur telle ou telle particularité mécanique respectant ta position. Mais dans 90% des cas on parle du vélo sans parler du cycliste. On aime parler du beau vélo avec les dernières techniques utiles ou non, mais pas forcement du bon vélo, celui qui sera bien adapté au cycliste.
  6. Bonsoir Miguel En fait les discussions de ce genre proviennent de ce qu'on amalgame un peu tout en m^me temps. Pour clarifier il faut toujours partir du principe simple suivant. 1) On s'occupe d'abord du cycliste, de sa position la plus adaptée en fonction de sa morphologie, de sa pratique, de ses attentes et de ses contraintes. C'est ce qu'on appelle une étude posturale qui va permettre de déterminer dans quelle position le cycliste aura toutes les chances de passer son style, sa puissance, sa coordination musculaire, tout en étant attentif à son confort, sa sécurité, sa santé et sa pénétration dans l'air. La position ainsi déterminée par les cotes de position est indépendante du vélo ! Ici donc on ne parle pas de vélo, on parle uniquement du cycliste et de sa position pour une pratique optimum. Cette position évolue avec les paramètres du départ, mais eux seulement. En principe pour une m^me pratique, une même morphologie; les mêmes contraintes et les mêmes attentes, la position n'a pas lieu de bouger, même avec la mode et autres considérations "de gourous". 2) On s'occupe seulement ensuite du vélo, notamment de sa géométrie utile, sur la base du cahier des charges de choix et de réglage que fournit l’étude posturale. En effet le vélo doit permettre le réglage aux cotes de position, sans recours à des bizarretées mécaniques, et en assurant au vélo sécurité, équilibre et performance mécanique. On perdant de vu cette méthode tout s'en trouve mélangé. Ton vélociste aurait dû discuter avec toi d'abord de ta position et non du vélo, pour ensuite seulement argumenter sur telle ou telle particularité mécanique respectant ta position. Mais dans 90% des cas on parle du vélo sans parler du cycliste. On aime parler du beau vélo avec les dernières techniques utiles ou non, mais pas forcement du bon vélo, celui qui sera bien adapté au cycliste.
  7. Bonsoir Miguel En fait les discussions de ce genre proviennent de ce qu'on amalgame un peu tout en m^me temps. Pour clarifier il faut toujours partir du principe simple suivant. 1) On s'occupe d'abord du cycliste, de sa position la plus adaptée en fonction de sa morphologie, de sa pratique, de ses attentes et de ses contraintes. C'est ce qu'on appelle une étude posturale qui va permettre de déterminer dans quelle position le cycliste aura toutes les chances de passer son style, sa puissance, sa coordination musculaire, tout en étant attentif à son confort, sa sécurité, sa santé et sa pénétration dans l'air. La position ainsi déterminée par les cotes de position est indépendante du vélo ! Ici donc on ne parle pas de vélo, on parle uniquement du cycliste et de sa position pour une pratique optimum. Cette position évolue avec les paramètres du départ, mais eux seulement. En principe pour une m^me pratique, une même morphologie; les mêmes contraintes et les mêmes attentes, la position n'a pas lieu de bouger, même avec la mode et autres considérations "de gourous". 2) On s'occupe seulement ensuite du vélo, notamment de sa géométrie utile, sur la base du cahier des charges de choix et de réglage que fournit l’étude posturale. En effet le vélo doit permettre le réglage aux cotes de position, sans recours à des bizarretées mécaniques, et en assurant au vélo sécurité, équilibre et performance mécanique. On perdant de vu cette méthode tout s'en trouve mélangé. Ton vélociste aurait dû discuter avec toi d'abord de ta position et non du vélo, pour ensuite seulement argumenter sur telle ou telle particularité mécanique respectant ta position. Mais dans 90% des cas on parle du vélo sans parler du cycliste. On aime parler du beau vélo avec les dernières techniques utiles ou non, mais pas forcement du bon vélo, celui qui sera bien adapté au cycliste.
  8. Bonjour Jean-Batiste, Le coup de pedale, c'est la signature du cycliste. Aucun cycliste n'a le même coup de pedale. Le coup de pedale idéal est le resultat d'angulations complexes et d'une coordination musculaire spécifique, essayant du mieux possible à appliquer des forces constament perpenticulaires aux manivelles, en appui et en tirage. Il existe de nombreux tutos, mais ils n'apportent pas grand chose sans pratique et apprentissage" sensitif". L'apprentissage du bon coup de pedale se fait sur plusieurs années ... avec a chaque sortie l'envie d'améliorier en "visualisant" son geste. Pour commencer, ne pas essayer de le faire à des fréquences de pedalage trop élévées, en ayant dès le depart la bonne position en vélo. Confusius: "le bon geste dans la bonne position". Le bon coup de pédale est directement dépendant de la bonne position pour le faire (angulations). Etudie en premier ta position. Hs, Rs. Pratique ensuite avec des braquets courts, mais pas trop. Regle tes cales pour que t'axe de pedale passe au droit de l'axe de ton gros orteil, et pédale "avec les talon" pour solliciter tous tes muscles, y compris les molets, les fessiers, les lombaires ... Bon apprentissage Jean-Luc LEMOINE
  9. Bonjour Jan-Pierre Il ne s'agit pas de confondre le coup de pedale et le reglage de cales, le dernier influençant le premier mais n'etant pas le seul element du coup de pedale. Le reglage de cale doit être fait de telle sotre que l'axe du gros orteil soit au droit de l'axe de pédale. Ainsi réglé, on peut tout aussi faire de la pointe que du talon en fonction de la coordination du mouvement. La latitude de mouvement est donnée par la Hs et les capacités angulaires de la cheville. En fonction du recul de selle, le cyclsite ajuste le point mort haut, l'objectif etant pour d'excecuter une "ove" parfaite avec l'axe de sa cheville en mobilisant ses muscles de façon à appliquer une force constament perpendiculaire à la manivelle. C'est très compliqué à simuler en mathématique (embiélage complexe à degré de mouvement à la fois infini et limité). Pour simuler le mouvement j'utilise par exmple les courbes de bézier pour les angles Manivelle/Metatarse, et simulation sur ordinateur pour la "chevoïde" (l'ove de la cheville) Jean-Luc LEMOINE
  10. Bonjour, Chaque cycliste à un coup de pedale unique (sa signature). Le coup de pedale est le resulat de la coordination musculaire des groupes de propulsion qui varient d'un cycliste à l'autre en fonction de ses aptitudes musculaires et gestuelles. L'avantage d'une cheville assez souplle est la mobiliastion de plus de muscles et donc plus de force, si la puissance suit. Pour bien se rendre compte du phénomène il suffit de pedaler avec "le sentiment de pedaler avec le talon", la cheville est alors mobilisée et on ressent instantannément plus de force appliquée. Ainsi pedaler de l'arrirère, talon bas, comme grimpait Indurain, donne tout de suite du couple. Reste a avoir la puissance ... et ça c'est une autre histoire. Jean-Luc LEMOINE
  11. Bonjour Charles, Avec les cotes que tu indiques, sans correction morphologique puisqu'il n'y a pas assez d'information, une première approche dirait : manivelles de Ma= 172.5 et hauteur de selle Hs=74.8. Pour l'etude en reference il y a manifestement une erreur au niveau de la Hs. Jean-Luc LEMOINE
  12. Bonsoir Dominique, Cela ne suffit pas comme information, il faut connaitre le coup de pedale des 2 cyclistes et les marques de pedales. Jean-Luc LEMOINE
  13. Bonjour Lionnel, La hauteur de selle depend au moins de 5 paramètres importants : 1) le coup de pedale 2) la longueur de manivelle 3) l'entrejambe 4) les ecarts morphologiques entre cuisse et tibia 5) La longueur du pied 6) l'ecart ergonomique induit par la fixation pedale chaussure, et le réglage effectif du pedalage Avec ce que tu donnes comme information, je te préconiserais au moins 73.1 de Hs, mais cela ne suffit pas pour te repondre plus précisement. Par ailleur le mouvement de pedalage étant "circulaire", la notion de point mort haut ou bas est un faux sens. Il vaut mieux parler de cycle de forces et de seuils de coordination musculaire. La verticalité n'est liée qu'a la pesanteur. Jean-Luc LEMOINE
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