Emile ARBES

Salut Mimi, La forme à l'air d'être là, le plus dur maintenant c'est de la conserver, cela tombe bien il reste 15 jours pour refaire du "jus" avec des petites sorties cool. @+ Mimile

BRAVO J-P, Tu en as eu du courage (et ceux qui ont terminé), j'ai pensé à vous sur le chemin du retour dimanche de l'Ariège !! Tu vas devoir reprendre des calories d'ici 15 jours en espérant que le temps sera bien meilleurs. A bientôt. Amicalement. Emile

Comme d' habitude quand elle se termine à Bielle je loge au gite Oustalous au village Les Cabannes, cela me permet de m'échauffer avant le départ et d'être sur place à la fin de l'épreuve (après la descente). Je pars du gite à 7h, il fait une température agréable, pas besoin de vêtements supplémentaires pour rejoindre mes collèges d'Eco-Cyclo sur le départ. M. Salvéta en est la marraine et nous donne le départ dès 8h. Le départ n'est pas trop rapide, mais l'attroupement se resserre et provoque des tentions et après le ressenti de la Québrantahuesos je redoute la chute, heureusement rien d'anormal ne se produit. Après un resserrement au village de Celles, le peloton s'étire avant d'aborder la première difficulté de la journée le col de la Lauze. L'allure devient maintenant rapide, je ne peux suivre le rythme, et je monte à ma main, mais que la route est longue.... La bruine fait son apparition j'en regrette de ne pas avoir retiré mes lunettes de soleil ce qui rend la visibilité réduite et j'aborde la descente dans de mauvaise condition en queue de groupe et pas trop dans mon assiette. En bas de cette descente, pas de répit la montée de Monségur se dresse immédiatement. Je ne suis pas dans l'allure et grimpe les 4 km en comptant les km. Dès le sommet franchi (enfin), je me lance dans la descente avec espoir de retrouver un semblant de groupe. En bas de celle-ci nous nous trouvons une demi-douzaine a nous relayer dans l'espoir de rejoindre un groupe de devant. Rien de probant car dans les lignes droites rien à vue. Un groupe de 10 reviennent de l'arrière, puis un autre bien plus important. Notre grupetto maintenant roule fort ce qui permet de rejoindre un petit groupe. J'en profite pour bien m'alimenter, les côtes de Sarnac, Charcany, Py, Raissac et Nalzen s'avalent grand plateau (50). Au niveau de la boisson je suis à sec, je ne me suis pas arrêté au dernier ravito avant d'aborder la rampe de Cazenave car c'était envahie par des concurrents de la Montagnolle et je ne voulais pas quitter mon groupe. Un pote m'a dépanné provisoirement, et par la suite en doublant un cycliste de la Montagnole m'a proposé de faire un échange d'un bidon vide contre un plein qu'il a sorti de sa sacoche du guidon, l' aubaine pour moi, grand merci à lui. Comme cela j'ai pu gravir dans de bonnes conditions le col du Pas de Souloubrie. Je monte bon train (pour moi), et je plonge dans la descente très rapidement (je l'a connais parfaitement) pour rejoindre les Cabannes ou mon épouse me ravitaille. Bidons, Sandwich jambon (que c'est bon) et deux gels coups de fouet, et j'en profite pour uriner (1ère fois que cela m'arrive). Je repars pour en finir avec cette montée terrible. Elle s'effectue normalement mais sans répit, la majorité de la montée avec le 34/23, je double un a un des concurrents de la Montagnole (gros dossards), mais très peu de l' Ariègeoise. Heureusement le temps est idéal, pas trop chaud ce qui me permet de ne pas faire d'arrêt pour la boisson, mes deux bidons y ont suffi. Dès le sommet franchi, je ne tarde pas car la météo avait annoncé des orages, et je redescends aux Cabannes. Comme je n'ai pas pris de repas la haut, j'en profite pour faire une pose au ravito du pied de la montée pour manger du salé, l' appétit étant revenue. Bonne journée en somme, pas d'ennuis, très bonne organisation, je ne me lasse pas d'y participer (15ème participations). Bilan; 6h24'30", 146ème place au scratch et 3ème de ma caté. Moyenne annoncée pour 160,8km 24,00km/h.

Oui Georges, celui de 63.....toute une histoire ! Il faudra patienter 3 semaines🙄.

Merci Daniel et Bernard, Cela va être difficile maintenant de faire mieux. Le prochain un PALOMA. Bonne soirée. émile

Bonsoir Michel, Non le cadre n'était pas neuf. Il était peint en violet et blanc. L'ancien propriétaire avait essayé de le moderniser en perçant le tube horizontal pour le passage de la gaine du frein AR et soudé le support des leviers de vitesses, du travail de sagouin! J'ai du faire rattraper tout cela, d' abord au décapage, soudure des trous et meulage des embouts de leviers, ponçage, épargne des chromes, peinture et pose des décalques. Cordialement. émile

Bonsoir Daniel, Je n'étais pas libre, j'espère que l'année prochaine la date ne coïncidera pas avec la Québrantahuesos. Je vais me rattraper à Marmande le 12 aout. Amicalement émile

Bonsoir Christian, Il n'y a pas a dire mes ces italiennes (bicyclettes) sont très belles... Je ne saurai pas les départager ! Amicalement. Emile

Freddy, celui-ci 😉 http://velosvintage.over-blog.com/article-velo-bianchi-campagnolo-1974-60038065.html a+ émile

Bonsoir Serge, Merci pour ta visite et ton compliment. Emile

Bonsoir Michel, Merci. Je me suis également posé la question, peut être pour graisser le jeu de direction intégré comme tu dis ? Bonne soirée émile

Bonjour Henry, Il y en a qui les torsadaient (comme tu dis), d'autres qui les passaient par l'AR ou même classique comme celui-ci. En cyclo-cross elles étaient en deux parties et rivetées de par et d'autre de la pédale. En général sur les pédales Campa avec des courroies de qualité épaisse elles ne glissaient pas. @+ l' Ami émile

Merci Xavier, Bonne soirée émile

C'est un Bianchi de 1967, réplique de celui utilisé cette année là par GIMONDI Félice . A voir sur mon blog: http://velosvintage.over-blog.com/ Bonne visite, n'oubliez pas le guide 😉. Ciao Emilio

Oui Guillaume, ça existe toujours, j'en fais parti je ne suis pas le seul, sur la Québrantahuessos on était 8 pour faire la morale à 11 000 pélerins. Heureusement que certains respecte l'environnement et c'est bien aussi de les féliciter. Ce samedi j'ai terminé tout égosillé .

Salut Eric, Je suis venu vous voir dans la montée du col de Marie-Blanque, c'est de celui là que tu veux parler je suppose, mais ne t'en prends pas aux gars de la Béarn-Cycle Espoir, ce sont des traces du passage de la Québrantaheusos 10 000 gaziers hier samedi !! Cela devrait être nettoyé comme l'an dernier dans les jours qui viennent, du moins je l'espère. a+ émile

Adïu Henry, Pour le CR, je vais essayer de faire plus précis. Cette année le départ avait été avancé à 7H30 au lieu de 8, donc levée plus tôt 3h45' car je m'y suis rendu depuis mon domicile, 1h35' de trajet par le Somport, il fait dans le piémont 15°, au sommet de col 11°. La journée se présente sous de bons hospices, le ciel est bien dégagé (contrairement aux 2 dernières éditions). Avec mes compares de l' Ecco-Cyclo nous avons le privilège de partir en première ligne avec les ex-pro ; Rubiera le parrain de l'épreuve, Indurain, Olano, et Escartin. Dès le départ, le rythme est élevé mais avec des ralentissements intempestifs qui malheureusement ont provoqués de nombreuses chutes dont j'ai été victime, mais sans dommages, ce qui n'a pas été le cas pour certains. Dans le premier col, le Somport, le peloton s'étire, c'est vrai que dix mille participants sur des routes larges cela est très imposant. Dès le sommet franchis, je l'ai monté à ma main (la route est longue), je plonge dans la descente une trentaine de km, la vitesse est impressionnante, mais j'en profite qu'en même pour bien me restaurer. Le temps est frais, mais la route sèche et bien sécurisée. A l'amorce du 2ème col, le Marie-Blanque le groupe dont je fais parti c'est recomposé, a vu d' oeil 1000 concurrents. Le changement de direction via Escot s'étrangle et réduit la vitesse pour en poser les pieds à terre, rien de catastrophique et dans la bonne ambiance. La montée se passe plutôt bien, a partir de la borne bleu, je mets tout à gauche 34/25, évidemment , je rétrograde, mais rien d'anormal, il faut bien que je me rende à l'évidence je n'ai plus 20 ans. Au sommet un tapis contrôle notre temps de passage, pour moi 3h22'35" km 108. Dans la descente que je connais par coeur j'enchaine bien les courbes, zappe le ravito du plateau du Bénou car mon pote Jean-Michel de Bielle me ravitaille dans une courbe large sans danger pour les autres concurrents à la sortie de Billhère en Ossau ( deux bidons, banane, sandwich jambon-beurre, pattes de fruits). Je repars au milieu de la troupe (une) pour aborder la pleine de la Vallée d' Ossau afin de nous rendre à Laruns, au pied du col du Pourtalet . Au croisement de l'embranchement du col d' Aubisque sur la droite nous prenons l'autre itinéraire Espagne, col du Pourtalet 29km de montée irrégulière. Le pieds est plutôt facile, mais la vitesse à laquelle nous l'avalons n'est pas une sinécure. Je prends mon rythme sans me préoccuper des autres. Au ravitaillement de Fabrèges je refais les niveaux, et je croise Rubiera qui n'a pas l'air dans son assiette et nous trinquons un verre de Coca qu'il rejette à moitié !! je le laisse à son sort, et repars pour en terminer avec ce foutu col, pas dur en temps normal, mais avec les enchainements c'est autre chose... Au sommet toujours autant de monde, cette année les organisateurs ont posés des barrières pour contenir la foule, on se croirais participer au TDF ! Jean est la haut et m'encourage, ouf, le plus dur est fait. La descente se passe bien, route large, rapide et bien enrobée. Un petit groupe c'est reformé une dizaine environ, et a la sortie du tunnel nous traversons le village d' Escarilla pour contourner le lac par la gauche afin d'aborder la dernière difficulté de la journée le col d'Hoz de Jaca 2,5km avec un pourcentage élevé. Dès le sommet franchi la descente ultra rapide et sinueuse nous emmène sur la voie principale de Sabinanigo via la traversée tunnel à la sortie du barrage. Reste maintenant 25 km l'allure est rapide, mais n'empêche pas un gros groupe de fondre sur nous pour rallier l'arrivée. Content d'en finir en sept heures environ. Douche, repas, récupération du diplôme avec la breloque gravée. Très bonne organisation autour du Président Fernando ESCARTIN, une épreuve que je recommande, a faire au moins une fois. Petit bémol, le non respect de l'environnement par la grande majorité des concurrents, mais un nettoyage effectué après l'épreuve sur mon chemin du retour (col du Pourtalet), plus de traces de notre passage, un miracle!

Salut Jean, Le sourire ou la grimace , merci pour tes encouragements. Belle journée, pas mal de gamelles, je n'ai pas pu en éviter une, heureusement j'étais presque à l'arrêt, quelques petits bobos sur le genou rien au vélo. Je termine pas trop entamé contrairement aux deux dernières éditions. - 2009 : 6h 58' 58" - 2010 : 7h 07' 19" - 2011 : 7h 12' 14" - 2012 : 7h 1' 57" 205 km - 3279m - 29,15 km/h Adichats Emile PS: 1h06 pour faire 29km 😲

Salut J-P, Tu sais on a été a contre courant du soleil d'ouest en est, donc pas facile de te donner un temps 🆒. Sérieusement, il faudrait que l'on compte en roulage, car avec les interview💋, les arrêts ravito, un accident de stationnement de la voiture, une descente merdique du Tourmalet dans les gravillons, les troupeaux et le brouillard, des photos, pas facile de savoir, peut être parmi nous quelqu'un saura te renseigner. Je peux te dire que j'en avais plein les bottes (chaussures) à Luchon! Je pense qu'il faudra compter un minimum de 8h, dans des bonnes conditions de météo. A + l'ami. émile

Bonjour Michel, Apparemment cela va mieux, tu as des projets et c'est t'en mieux. Pour ta sortie de 5 cols, tu veux ma peau😛, cela dépends de la date, tu me diras. A+ Mimi. émile

Salut Michel, Je n'en doutais pas que tu les aimais les Pyrénées!! Avec ta forme du moment cela devrait très bien ce passer pour toi. Il te faudra bien gérer le départ jusqu'à Laruns après c'est une succession de montées et de descentes, mis a part les faux plats avant le Tourmalet et le Peyresourde. Depuis la reco, j'ai fait une longue sortie samedi (Espandelles et retour pour aller voir la RDS) hier petite sortie jusqu'aux Eaux Bonnes, puis demain 1h cool. J'espère que cela va tenir. A bientôt l'ami, bises à la famille. émile

Salut Cédric, Comme je n'ai pas de compteur, a la louche il doit y avoir 5000 je pense. a+

Jean-Marc, Le premier tunnel, le plus long, en légère courbe qui est dans le noir (on y vois qu'en même je te rassure), il est dans un faux plat descendant et il faut pédaler. Le 2ème je n'en ai pas parlé il est très court. a +

Bonjour Damien, Je te félicite pour cette belle vidéo très bien filmée. Tu es un très bon ambassadeur des Pyrénées qui donnerons certainement envie de venir découvrir cette (très) belle région montagneuse, n'est ce pas Michel... Amicalement. émile

Après R.Couderc et R.Chapatte le dernier dinosaure s'en est allé....