Salut Joa, Quand je prends maintenant le départ d'une course ou cyclo, je me dis si tu termines sans te retrouver sur le toit, c'est déjà une victoire. Pas plus tard qui hier (course en 2 étapes), 100 pèlerins au départ, le matin course plate, total 70 au sprint et deux gamèles que j'ai pu éviter. L'après midi la deuxième parties avec des montagnes Russes et le final avec 2 belles bosses, c'était moins dangereux. D'une part j'ai fais la course plus sur le devant, du fait certainement de mon endurance, les moins en forme ce retrouvaient en queue (souvent novices), et d'autre part, la distance et la difficulté ont bien fait la sélection des adroits contre les maladroits. C'est dans ses conditions que j'ai toujours envie de continuer, et comme tu dis "se faire lâcher serait inacceptable", et ce jour là c'est pour cette raison que j'arrêterai de coursicoter.