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Emmanuel LIEUTIER1639476531

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Tout ce qui a été posté par Emmanuel LIEUTIER1639476531

  1. Non pas de soucis avec les patins Campa rouge je ne vois pas trop la différence. Sous la pluie le premier tour de roue est toujours pas très réactif, mais avec l'alu c'est pareil. J'ai fait pas mal de cyclo montagnarde (ardéchoise sous la pluie, ariégeoise XXL, Marmotte, EDT) et pas de problème. Il y a certaines légendes qui persistent.
  2. Après avoir testé les roues artisanales en 38 et des casses de rayons à répétition (4fois tous les 1000 km environ) Je suis passé aux Bora ultra 35 et j'en suis très content. Par rapport à mes Shamals, le Velo et plus agile et réactif. Dans les épingles de cols, on sent le Vélo léger (à part quand je suis cuit, mais là, c'est pas la faute des roues) On voit aussi une grosse différence dans les descentes où le vélo est agile et le plaisir top.
  3. L'une n'empêche pas l'autre, Comme c'était le cas pour moi en 2015 et 2016 et le sera encore en 2017 avec peut-être la Marmotte des Pyrénées en plus
  4. Fait le 11/09/2016 en vacances au pays Basques https://www.relive.cc/view/708520309
  5. Si c'est pas indiscret, tu fais combien de courses par saison ?
  6. Moi c'était ma troisième EDT (2014,2015 et 2016). Pour ma première participation pour Pau - hautacam, j'avais trouvé que l'organisation était top, la dotation fournie, un ravito très fourni et varié à l'arrivée et un parcours hors du commun. L'année dernière la dotation était un peu plus light et quelques bug dans l'organisation ( pas de ravito à l'arrivée malgré la chaleur, parking voiture situé sur le parcours....) mais un parcours sélectif et magnifique. Cette année, c'était un peu la cata, je passe sur les problèmes de communication déjà sité (un coup le chrono fini à Joux plane, un coup à Morzine). Ma journée de samedi fut une grosse galère, arrivée à Megève à 14h45, je mets beaucoup de temps pou arriver à l'altiport. Il y a plein de Velo qui montent et avec toutes les voitures qui descendent, la montée fut laborieuse. La récupération du dossard se fait rapidement je passe ensuite au point info. J'ai pris la navette pour laisser la voiture à l'arrivée, l'hôtesse me dit que le bus ne s'arrête pas à Sallanches lieu de l'hôtel. Je décide de laisser le vélo au parc et de partir à Morzine poser la voiture. Je ferai le tour du village plus tard. Je pars à Sallanches pour récupérer ma chambre, il y a beaucoup de circulation, je perds encore du temps. Le passage à l'hôtel et bref et direction Morzine. Les soucis commencent, arrivé à Cluses, il y a une braderie et le centre ville est fermé. La route est bouchée, on avance au pas. L'heure défile, la dernière navette est à 18h à Avoriaz, alors que le GPS affiche arrivée à Morzine 17h55. Je suis obligé de prendre beaucoup de risques pour doubler les voitures qui n'avancent pas et j'arrive à Avoriaz à 17h58. Le bus est là, quasiment plein, je ferme la voiture en vitesse, pas le temps de vérifier si je n'ai rien oublié. Le retour en bus fut interminable, du coup nouveau stress, le village ferme à 20h, je n'y serai jamais à cette vitesse. Contrairement à ce que m'a dit l'hôtesse, le bus s'arrête à la gare de Sallanches !!!!! Arrivée au centre de Megève à 20h15, le chauffeur m'indique qu'il ne va pas plus loin et qu'il ne monte pas au village. La galère continue, heureusement, le chauffeur est sympa et fait le tour de ses collègues et trouve un mini bus qui veut bien me monter. Au passage on récupère 2 autres personnes en galère comme moi, arrivée en haut, il reste plus que nos 3 vélos, le village est fermé. J'arrive à l'hôtel assoiffé à 21h30... Le course elle, se passera sans encombre, mais c'est court 4h09.... Heureusement qu'ils ont finalement chronométré jusqu'au bout, la descente ne présentait pas de danger particulier. Si je fais le ratio plaisir / stress et budget, le compte n'y est pas contrairement à la Marmotte. Les prix augmentent et les prestations baissent pas sur que j'y sois en 2017, à moins que le parcours me fasse envie et qu'il soit dans les Pyrénées qui sont beaucoup plus prêt de chez moi.
  7. J'ai posé la question par mail à ASO. Voici leur réponse : Bonjour, Nous vous confirmons que le chronomètre débutera au départ à Megève et s'arrêtera à l'arrivée à Morzine, vous proposant ainsi une portion de 122km chronométrée. Sportivement,
  8. Non, j'étais dans un groupe d'une dizaine c'est passé sans problème. Comme l'alpe d'Huez n'était pas très loin, on ne l'a pas fait à bloc non plus. Le revêtement est bon, la route pas très large par endroit, mais comme la route était fermée, no problem.
  9. C'était excellent, la météo a été bonne (il a fait un gros orage vers 14h30 mais j'étais en train de manger sous le chapiteau) Le parcours est vraiment magnifique avec 3 cols hors catégorie et un 1 ère. C'est bien organisé, avec énormément de bénévoles. On verra dimanche, mais je pense qu'elle sera la plus belle de cette saison qui compte pour l'instant une quinzaine de cyclos dont le Ventoux Granfondo, ardéchoise, ariégeoise XXL....
  10. La descente était déjà dangereuse l'année dernière au moment du choix du parcours et ils savaient déjà qu'ils auraient 15000 inscrits. Si je suis moniteur de ski et que je pense que mon groupe n'est pas très expérimenté, je ne les fais pas passer par la piste noir verglacée. Que la route de la Ramaz soit impraticable, ils n'y peuvent rien mais je suppose que l'intérêt économique est passé avant l'intérêt sportif.
  11. C'est pour ça que s'ils jugent que la descente c'est dangereux, alors ils prennent une étape avec arrivée au sommet. Un an sur deux, l'arrivée de l'ariégeoise se fait après une descente, il n'y a pas plus d'accidents dans la dernière que celles en cours de parcours. Sur l'étape de 2015, il y a eu un accident dans la première descente du Chaussy, qu'est-ce qu'on fait ? On supprime toutes les descentes ? On croirait que c'est une rando cyclotouriste....
  12. Le problème, c'est que depuis le début (dit au téléphone par ASO) la descente de Joux plane ne serait pas chronométrée. Ce qui empêche tout prolongement. La question que l'on peux se poser, c'est si une arrivée en descente c'est dangereux, pourquoi choisir ce type d'étape pour l'étape du tour ? Déjà le kilométrage est réduit par rapport à ce qu'ils annoncent (seul ce qui est chronométré doit être pris en compte) J'espère que ça leur servira de leçon.
  13. J'ai eu un mail d'ASO, la sortie de morzine en direction de Thonon sera possible. Seule l'entrée dans Morzine sera interdite à partir de 12h.
  14. Je viens d'envoyer un mail à ASO pour voir si on peut repartir de morzine ( vers thonon) avant la réouverture de la route. Parce qu'avec ce parcours, à 11h30 on est arrivé et comme j'ai 6h de route, je ne vais pas passer plus de temps à attendre que sur le velo.
  15. Sauf que s'ils arrêtent le chrono au sommet de Joux plane, ça fait 110 km, soit la distance des petits parcours de cyclo prêt de chez moi. Heureusement que je viens d'enchaîner l'ardechoise, l'ariégeoise XXL et la Marmotte. Si je m'étais préparé comme certains sur cet unique objectif, j'aurai vraiment les boules. Déjà que faire 1200 km aller-retour pour 110 km ca me dégoûte un peu...
  16. Déjà, il y a modification et bien plus que 3 cols. http://www.letapedutour.com/fr/course/challenges-sportifs
  17. Si tu veux de bons ravitos, c'est plus l'ardechoise que l'étape du tour qu'il faut faire. Tu auras tous les produits régionaux (fromage, charcuterie...) en plus tu l'as fait en plusieurs jours sans chrono et sans stress.
  18. L'an dernier, un seul arrêt au sommet du glandon avec 2 bidons de 750ml.
  19. Visiblement, il y en a qui y vont pour pique niquer.
  20. Qui te dit qu'il n'ont pas un itinéraire bis ? On le saura uniquement si la ramaz est interdite. Il ne vont pas communiquer tant que rien n'est officiel.
  21. On peut suivre l'étape du tour de France en direct sur écran géant. Sûrement le plus grand village exposant présent sur une cyclo. Bien plus important que celui de l'ardéchoise ou Marmotte. L'ambiance y est très sympa, pour ceux qui habitent pas loin et qui dénigrent l'EDT, vous pouvez quand même venir , c'est gratuit....
  22. Puisque tu le demandes, je me lance, Les prévisions météos n'étaient pas très optimistes pour la journée du samedi. Arrivée le vendredi soir de Perpignan, nous logions à Ax les Thermes. Un gros orage avec du tonnerre éclate en soirée. Là en se dit qu’il vaut mieux que ce soit maintenant que dans la descente du Pailhères… Samedi levée à 5h00 pour un départ à 6h, le ciel est très nuageux mais il ne pleut pas, ouf (ça sera le cas toute la course). On laissera les voitures aux Cabannes près du village VVF et à deux pas de l’arrivée. L’échauffement se fera en se rendant sur Tarascon. J’ai le dossard 88, donc prioritaire et mes amis qui m’accompagnent et qui sont inscrit sur la petite Ariégeoise vont se placer dans leur sas. Etends un peu en avance, je vais rouler un peu avant de prendre position sur la ligne de départ. Il est 8h, le départ est donné. Je reste positionné toujours dans les cinquante premier, la route est large et sans difficulté pendant les 20 premiers kilomètres. Juste avant le village de Nalzen, il y a une petite bosse de un kilomètre, mais pas de soucis, elle passe sans problème sur la plaque. Prochaine difficulté, le col de la croix des morts au kilomètre 38. Pas de doute, il va y avoir un premier essorage. Comme prévu, le peloton s’étire est forme des petits groupes. Après le sommet, la tête de course temporise, ce qui permet un regroupement des petits groupes éparpillés dans la montée. Ce scénario se reproduira dans la prochaine côte qui n’est que de deux kilomètres mais avec du 13% sur le bas. On arrivera au bas du Pailhères avec un groupe relativement nombreux. Voilà Usson et le début des difficultés, on emprunte la déviation que je ne connaissais pas, je suis toujours passé tout droit (comme pour le tour de France). Ce détour rallonge un peu mais les pourcentages s’en trouvent moins élevés. Le peloton s’étire rapidement et définitivement. Maintenant, c’est chacun pour soi jusqu’au sommet. Je bascule avec un groupe d’une dizaine, certains s’arrêtent au ravito, moi je fais la descente que je connais un peu. Au bas du Chioula, on se retrouve à cinq dont l’espagnol Victor Del Corral vainqueur de l’Ironman de Nice. Au début de la descente du col de la Marmare, on rejoint le parcours de la Mountagnole. Ce qui va rendre cette descente assez périlleuse, elle est déjà étroite, avec du gravier et de la mousse sur le bitume. Il faut se faufiler entre ceux qui ne descendent pas très vite et essayer de ne pas se faire lâcher par les concurrents de l’Ariégeoise. Après la descente, il y a une partie vallonnée assez casse pattes avant la dernière descente et l’arrivée aux Cabannes. Nous sommes plus que trois, Victor prend à droite et ne fera pas Beille (il se classera 8e au scratch). Voilà la dernière ascension, que je redoute car je l’ai toujours trouvé plus dure que la Pailhères. Un copain de mon club doit me passer un bidon au début de la montée. Je suis à sec, et je ne le vois pas, je commence à douter. Heureusement, il est un peu plus haut. Les forces sont déjà pas mal entamées, les jambes ne sont pas les mêmes qu’au mois de mai lors de la reconnaissance. Au milieu de l’ascension, le quadriceps gauche commence à être douloureux lorsque je me mets en danseuse, les crampes ne sont pas loin. Je mets tout à gauche est je sers les dents. Dans ces moment-là, il faut déconnecter le cerveau et penser au moment où on aura franchi la ligne. Sur le haut de Beille, la route est mouillée, il y a du brouillard. Heureusement le dernier kilomètre est plus facile, le chrono s’arrêtera sur 6:34 :36 à la 41e place au scratch et 7e de la catégorie. Place maintenant à la récup, pour la Marmotte samedi prochain…
  23. Puisque tu le demandes, je me lance, Les prévisions météos n'étaient pas très optimistes pour la journée du samedi. Arrivée le vendredi soir de Perpignan, nous logions à Ax les Thermes. Un gros orage avec du tonnerre éclate en soirée. Là en se dit qu’il vaut mieux que ce soit maintenant que dans la descente du Pailhères… Samedi levée à 5h00 pour un départ à 6h. On laissera les voitures aux Cabannes près du village VVF et à deux pas de l’arrivée. L’échauffement se fera en se rendant sur Tarascon. J’ai le dossard 88, donc prioritaire et mes amis qui m’accompagnent et qui sont inscrit sur la petite Ariégeoise vont se placer dans leur sas. Etends un peu en avance, je vais rouler un peu avant de prendre position sur la ligne de départ. Il est 8h, le départ est donné. Je reste positionné toujours dans les cinquante premier, la route est large et sans difficulté pendant les 20 premiers kilomètres. Juste avant le village de Nalzen, il y a une petite bosse de un kilomètre, mais pas de soucis, elle passe sans problème sur la plaque. Prochaine difficulté, le col de la croix des morts au kilomètre 38. Pas de doute, il va y avoir un premier essorage. Comme prévu, le peloton s’étire est forme des petits groupes. Après le sommet, la tête de course temporise, ce qui permet un regroupement des petits groupes éparpillés dans la montée. Ce scénario se reproduira dans la prochaine côte qui n’est que de deux kilomètres mais avec du 13% sur le bas. On arrivera au bas du Pailhères avec un groupe relativement nombreux. Voilà Usson et le début des difficultés, on emprunte la déviation que je ne connaissais pas, je suis toujours passé tout droit (comme pour le tour de France). Ce détour rallonge un peu mais les pourcentages s’en trouvent moins élevés. Le peloton s’étire rapidement et définitivement. Maintenant, c’est chacun pour soi jusqu’au sommet. Je bascule avec un groupe d’une dizaine, certains s’arrêtent au ravito, moi je fais la descente que je connais un peu. Au bas du Chioula, on se retrouve à cinq dont l’espagnol Victor Del Corral vainqueur de l’Ironman de Nice. Au début de la descente du col de la Marmare, on rejoint le parcours de la Mountagnole. Ce qui va rendre cette descente assez périlleuse, elle est déjà étroite, avec du gravier et de la mousse sur le bitume. Il faut se faufiler entre ceux qui ne descendent pas très vite et essayer de ne pas se faire lâcher par les concurrents de l’Ariégeoise. Après la descente, il y a une partie vallonnée assez casse pattes avant la dernière descente et l’arrivée aux Cabannes. Nous sommes plus que trois, Victor prend à droite et ne fera pas Beille (il se classera 8e au scratch). Voilà la dernière ascension, que je redoute car je l’ai toujours trouvé plus dure que la Pailhères. Un copain de mon club doit me passer un bidon au début de la montée. Je suis à sec, et je ne le vois pas, je commence à douter. Heureusement, il est un peu plus haut. Les forces sont déjà pas mal entamées, les jambes ne sont pas les mêmes qu’au mois de mai lors de la reconnaissance. Au milieu de l’ascension, le quadriceps gauche commence à être douloureux lorsque je me mets en danseuse, les crampes ne sont pas loin. Je mets tout à gauche est je sers les dents. Dans ces moment-là, il faut déconnecter le cerveau et penser au moment où on aura franchi la ligne. Sur le haut de Beille, la route est mouillée, il y a du brouillard. Heureusement le dernier kilomètre est plus facile, le chrono s’arrêtera sur 6:34 :36 à la 41e place au scratch et 7e de la catégorie. Place maintenant à la récup, pour la Marmotte samedi prochain…
  24. Tu seras dans le deuxième sas. Sas 0 de 1 à 999 Sas 1 de 1000 à 1999 Perso, j'aurai le 304 :-)
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