la liberté, camarade, la liberté...partir où tu veux, quand tu veux, revenir parfois quand bon te semble, sans avoir à te justifier... et oui, parfois, prendre des litres d'eau sur la courge, mais ne pas renoncer pour autant ,en attendant des jours meilleurs... et puis, évoluer dans des paysages somptueux, lever la tête et "bouffer" de l'espace, oxygéner les poumons ...et le cerveau...sentir que l'on est "en vie" , bien plus qu'en passant son samedi après-midi à pousser un caddy dans une grande surface déshumanisée...euuuuuh, j'ai dû oublié quelques trucs, mais voilà en gros pourquoi je prends encore du plaisir sur le vélo , même si l'hiver semble parfois "interminable"... Cordialement! Eric