Louis DUPUY

En ce qui concerne le calendrier, le site velo60.fr délivre les informations concernant l'UFOLEP oise. Pour les catégories, je crois qu'il existe une correspondance. Louis.

Réduire le nombre de coureurs par équipe, surtout dans les courses par étapes, me semble intéressant. Si on garde le nombre de partants, cela fera plus d'équipes au départ. Et ces équipes "moyennes", sans grand favori, pourraient plus facilement dynamiter la course sans risquer de tout perdre. Au contraire, elles gagneraient en notoriété et en sympathie auprès du public.

Bonjour Bernard, Peux-tu m'excuser de ne pas être spécialiste et de ne pas faire de recherches sur internet. J'ai simplement fait confiance à mon chirurgien qui jouit d'une bonne réputation dans la région. A mon départ, pour le retour à la maison, il m'a encore dit : "Avec ce que je vous ai mis, vous aurez du mal à la déboiter." Je suis peut-être un mauvais conseilleur mais je ne donne pas de conseil, je me contente de rapporter ce que les professionnels me disent et de faire part de mon expérience. "La prothèse des sportifs, ça n'existe pas." C'est peut-être exact, le terme officiel n'existe peut-être pas, je n'en sais rien. Mon opération date de fin novembre 2012. Le chirurgien m'a-t-il dit "prothèse des sportifs" ou "prothèse que l'on met aux sportifs" ? Pour moi, c'est la même chose. Et il m'a montré quelques modèles. Toujours est-il que malgré quelques imprudences involontaires, je n'ai jamais eu de problème.

Bonsoir Bernard, Malheureusement, je ne sais pas. Nous avons discuté de tant de choses que je n'ai pas pensé à poser cette question. Le chirurgien m'a montré plusieurs exemplaires de prothèse. J'ai trouvé celle-ci assez ramassée. Par la suite, sur les radios, il m'a montré l'endroit, juste à l'extrémité de la tige, où le fémur risque de casser en cas de chute. C'est un peu anxiogène au cours des compétitions mais je pense que, quel que soit le modèle, le risque est le même. C'est un problème de levier, la tige métallique étant plus rigide que l'os qui, contrairement à ce que l'on pourrait penser est légèrement flexible. Il m'est arrivé de chuter sans problème. Il est vrai que ce n'était pas directement sur la cuisse concernée.

Bonjour Gérard, Ayant subi cette opération, je suis tout à fait d'accord avec Jean-Philippe. Ayant fait part au chirurgien de mon intention de continuer à faire de la compétition et de ne pas me restreindre dans mes activités quotidiennes, parfois assez acrobatiques, ce dernier m'a proposé la pose d'une "prothèse des sportifs". L'avantage est qu'elle résiste bien à la luxation. L'inconvénient est qu'elle s'use plus rapidement. L'avantage d'une prothèse céramique est qu'elle est pratiquement inusable. L'inconvénient est qu'elle se casse plus facilement et que les éclats peuvent être très gênants. J'ai choisi la prothèse des sportifs. Je ne le regrette pas, ayant maintes fois sollicité involontairement et de façon excessive cette articulation. A chacun de peser le pour et le contre des différentes solutions. Ne stresse pas, c'est injustifié, et bon courage. Je ne connais personne qui regrette cette opération, bien au contraire. Louis.

En nocturne pour les téléspectateurs mais ça m'arrange, je pourrai rouler avant.

Sur Eurosport 1 à 18h30'. Si le programme Télé 7 jours est exact.

Je ne suis ni médecin ni entraîneur mais compte tenu de mon expérience, les chiffres énoncés ne me semblent pas du tout alarmants. Bien sûr, le cas de l'un n'est pas celui de l'autre. Pour la saison 2015, à 68 ans ma FC max était donc théoriquement de 220 - 68 = 152. Si je participe activement à une course, cela représente presque ma fréquence moyenne (145 à 150). Le maximum atteint dépasse largement les 160, exceptionnellement plus de 170. Et je suis loin d'être un coureur exceptionnel. Je me trompe peut-être mais je n'ai pas l'impression de me mettre en danger et je crois qu'ils sont nombreux à être dans mon cas.

Bonjour Jean-Pierre. Les cartouches à 1 euro sont-elles bien celles à 16 grammes ? Les pompes à main qui sont données pour un gonflage à 11 bars ont un petit diamètre et demandent plus de temps pour gonfler. Par contre celles qui ont un grand diamètre gonflent plus rapidement mais il est difficile d'atteindre des hautes pressions. Personnellement j'avais une pompe à 11 bars mais je commençais à gonfler avec celle de mon frère, plus grosse, pour terminer avec la mienne. Amicalement.

Bonjour, Les cartouches 16 grammes de CO2 permettent de monter haut en pression, instantanément et sans effort. L'investissement, avec régulation du débit, entre largement dans ton budget mais, ensuite, les cartouches coûtent environ 2 euros. J'en amène 2 avec 2 chambres de rechange pour les entraînements.

Tout à fait d'accord avec l'article de René Deruyk. J'ai bien connu cette époque bénie pour le cyclisme. Je voudrais seulement ajouter à toutes les raisons évoquées, aux quelles je souscris, la découverte par le grand public du dopage dans notre sport. Avant l'affaire Festina, mis à part pour quelques sports marginaux, par exemple le culturisme où cela était plus ou moins admis, ce fléau n'était pas connu à son niveau. Les instances dirigeantes, soucieuses de faire preuve de réactivité, ont mis en avant ce problème. La lutte et les sanctions, étaient nécessaires mais la sur-médiatisation nous a porté préjudice. L'information, dans la presse non spécialisée, au sujet du cyclisme, était avant tout basée sur le dopage. Chacun voulait laver plus blanc que blanc et cyclisme rimait automatiquement avec dopage. Combien de fois les cyclistes se sont faits traiter de drogués ou de dopés. La presse, voulant se montrer vertueuse, a consacré moins de place à notre sport et l'a souvent sali. Un exemple frappant : les chaines de TV Allemandes boycottant le Tour de France. Un tel traitement aurait-il été envisageable concernant le foot-ball ? Ce problème n'est qu'une partie du déclin du cyclisme, très bien décrit dans les messages précédents. Restons cependant optimistes, l'arrivée de champions Français compétitifs et la découverte que toutes les disciplines sont concernées redoreront peut-être un peu notre sport dans notre pays.

Oui Joachim. Le cas de l'un n'est pas celui de l'autre. Je comprend d'autant ton raisonnement que j'ai été dans ton cas a une époque et n'ai repris une licence qu'après une dizaine d'années. D'autres, assez nombreux et bien meilleurs (un certain René Quesnel avait remporté 5 courses en toutes catégories la même semaine) ont eu la même démarche que moi. Passion, quand tu nous tiens! C'est pourquoi je ne serais pas surpris qu'un jour ou l'autre l'appel de la compétition se fasse ressentir chez toi. Cependant, chacun réagit selon ses désirs et toutes les attitudes se valent. Nous n'avons signé de contrat avec personne et l'essentiel est de se sentir bien dans sa peau. Tu gardes toute mon estime en tant que cycliste passionné. Louis.

Salut Brice, J'ai dû mal comprendre. Dans un premier temps il annonce reprendre une licence compétition. C'est vrai que par la suite il précise : " Je ne reprends pas et je ne cours pas. Retourne lire." C'est sans doute toi qui a bien suivi. Pourtant j'ai toujours du mal à croire qu'un coureur comme lui puisse rester longtemps sans compétition. De nos jours, les possibilités, pour des coureurs moyens comme nous, sont tellement nombreuses. Amicalement, Louis.

Bonjour Joachim, Je ne peux que te comprendre. Pour ma part, j'ai arrêté le vélo en 1969, en pleine ascension. J'ai repris un dizaine d'années plus tard, en dilettante 4 ou 5 courses par an. En premier lieu sur les courses de "non licenciés", bientôt remplacées par des "cyclosportifs et vétérans". Puis par des "UFOLEP" déjà bien développées en Picardie. Là, j'y ai retrouvé énormément d'anciens coureurs de mon époque. Beaucoup étaient d'anciennes vedettes locales et régionales. Même Gestraud au championnat de France des plus de 60 ans l'an dernier. Il avait fini troisième d'un championnat du monde amateur, échappés à trois avec Jourden et Elena, l'année du sacre en pro de Behyet devant Van Looy. Je l'ai félicité pour sa carrière. Il m'a répondu qu'elle était derrière lui. Tous ces coureurs continuent à assouvir leur passion à un très modeste niveau. Mais les courses restent les mêmes, bien que moins rapides, et nous avons le plaisir de nous rencontrer chaque week-end. Toutes ces vieilles gloires ont connu un autre niveau et ne se prennent pas la tête. Nous restons dans le milieu, prenant toujours le même plaisir, sans pression, sachant que nous n'avons aucun avenir. Mais nous avons l'impression de rester jeunes. C'est tout le mal que je te souhaite. Te connaissant un peu grâce à ce forum, j'avais du mal à croire que tu puisses rester sans compétitions, à quelque niveau que ce soit. Amicalement, Louis.

Christian et Pierre t'ont donné les réponses. Cependant il ne faut pas oublier de régler les 2 vis qui servent de butée. L'une pour éviter que la chaine tombe entre les pignons et les rayons, l'autre pour éviter qu'elle tombe dans le vide après le petit pignon. Louis.

Bonsoir, Je suis en 53/39. Cassette course : 12 - 23. En Picardie, je n'utilise pas souvent les pignons de 12 et 23 dents. En plateau de 42, tu utiliserais sans doute plus le 23. Ma roue d'entraînement est en 12 - 28. Pour la montagne, ça va. Le cas de l'un n'est pas forcément celui de l'autre. Pour ma part, j'ai toujours mouliné.

Bonjour Pascal, Bien sûr que j'ai changé une quantité de boyaux. Quand j'ai débuté la compétition il n'y avait rien d'autre. J'ai vraiment été heureux quand les pneus vraiment destinés à la compétition sont arrivés. Mais en effet je me suis sans doute mal exprimé. C'est vrai que sur la route il suffit de remplacer le boyau percé par un autre. Là ou c'est beaucoup compliqué c'est quant il faut le réparer. En plus le boyau doit être bien collé sur la jante avec une colle qui colle bien les doigts. Et, contrairement à ce que certains faisaient pour être plus rapides en cas de crevaison, il faut bien les coller si on veut prendre les courbes, surtout dans les descentes, sans risque. Parfois les commissaires vérifiaient ces collages au hasard sur les lignes de départ.

Bonjour, Malheureusement, c'est certain que tu ne peux pas mettre de pneus sur tes roues. Surtout si tu ne fais pas de compétitions, je te conseille d'acheter des roues prévues pour pneus. La gamme est large et tu trouveras ton bonheur selon tes envies et ton porte monnaie. De même pour les pneus et chambres. En cas de crevaison, la réparation est beaucoup plus compliquée avec des boyaux. Impossible sur la route, tu devras avoir sur toi au moins 1 boyau de rechange. Bienvenue dans le monde des cyclistes. Louis.

Bonjour Alexandre, Tu as mis un bout de flanc de ton vieux pneu. C'est peut-être bien en attendant mais, crois moi, les patsch que je te préconise sont vraiment "miraculeux". Collés à l'intérieur du pneu, ce sont de véritables emplâtres et celui ci est comme neuf. J'ai usé presque jusqu'à la corde des pneus que j'aurais jetés neufs sans ces Repar'air. Ce sont des rustines à la fois souples et rigides qui ne sont pas assez élastiques pour se déformer et passer par le trou du pneu.

Le nom de ces kits de réparation est : Rep' air tubeless. VTT ou Route.

Il existe des kits de réparation destinés aux tubeless commercialisés par une grande marque de pneus pour cycles Française. Deux modèles sont proposés : pour VTT ou pour route. Les "patches", que j'appellerai rustines rigides ont un diamètre d'environ 2,5 cm pour le VTT et 1,7 cm pour la route. L'avantage, par rapport aux rustines, est que ces patches ne se déforment pas et n'ont pas tendance à passer à travers les coupures importantes. Attention de ne pas se mettre la colle spéciale sur les mains, elle est difficile à enlever. J'ai toujours ces deux modèles en réserve, à utiliser selon le diamètre du trou. Je les utilise souvent et en suis satisfait. Quoi de plus rageant que de devoir se séparer d'un pneu neuf haut de gamme à la première sortie ?

D'accord avec Rémi Rochelet. Par contre je ne suis pas tenté de "céder". Prendre ces "produits miracles" c'est encore ajouter à ce qu'on peut ingérer involontairement. Même chose pour les médicaments : uniquement ce qui est prescrit par le médecin et uniquement pour soigner efficacement le mal.

Jusque fin 2014 j'avais un vélo équipé Campa Record 10 vitesses avec des roues Shimano Dura Ace c24. J'ai acheté des pignons individuels Shimano, des entretoises Campagnolo 10V et cela m'a toujours donné satisfaction. Même, la dernière fois, avec les 3 derniers pignons solidaires Shimano. En fait, il n'y avait que 2 intervalles en Shimano.

Bien filmé. On retrouve tout à fait l'ambiance de nos courses de villages. C'est la base du cyclisme sur route. Tous les champions sont passés par là. Il y en a beaucoup tous les week-ends, pourvu que cela dure. A une certaine époque Poulidor, qui est un pur produit de ces courses, disait que cela ne le dérangerait pas si il devait à nouveau se retrouver chez les indépendants.

Bonjour Vincent et Gérard, Il est évident qu'il est difficile de trouver un réglage qui corresponde aux efforts à effectuer sur route qui sont d'ailleurs eux mêmes très différents selon les profils, le vent, etc... Cependant un compteur sur home trainer permet de comparer les performances d'un jour à l'autre. Bonne soirée, Louis.