"Mon interrogation ,qu'est-ce attire si facilement un si grand nombre de cyclistes sur ces epreuves alors que les cyclosportives de second rang ( rien de péjoratif ) ont du mal à mobiliser ?" toutes les pistes avancées sont pertinentes; ajoutons une question: qu'est-ce qu'une cyclo "de second rang"? comme cela a été dit, malgré la convivialité, l'intérêt des parcours, une organisation sans failles, peut-être tout simplement une cyclo qui souffre de l'absence d'un certain côté "mythique", qui fait rêver et flatte l'ego de tout homo sapiens, et en particulier dans ce sport: les dossards de l'EDT sont quasiment vendus durant le 1er mois (malgré les tarifs, comme cela a été de multiples fois souligné), parce que justement ça s'appelle "EDT", avec tout ce que cela signifie: gros barnum médiatisé, route fermée, vivre un peu ce que vivent les pros, cols et grimpées "historico-mythiques" (notion bien sûr subjective, mais Izoard, Galibier, Tourmalet, Ventoux, "ça cause"), etc... et de plus, il faut ajouter l'attrait de tels barnums auprès des cyclistes étrangers, qui représentent une grosse proportion des inscrits dans ces "grosses épreuves"...