Aller au contenu

Alain COLLONGUES

Membre
  • Compteur de contenus

    198
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Alain COLLONGUES

  1. J’utilise beaucoup Openrunner pour tracer des parcours et les exporter ensuite dans un GPS en mode TRACK. Pas de problème à ce niveau. Toutefois une question m’intrigue concernant le fichier .gpx ainsi généré par Openrunner. Si on examine son contenu avec un éditeur de texte comme Bloc-Notes on voit nettement après l’en tête le descriptif de chacun des trackpoints avec la latitude, la longitude, l’élévation et une donnée « time » d’horodatage. A quoi peut bien correspondre ce temps pour un parcours qui n’a pas encore été fait ? Le time du premier trackpoint est clairement la date de création du fichier, mais celui des autres trackpoints ? Mystère complet pour moi. Ces temps correspondent à une vitesse de déplacement très lente (6 jours pour 120 bornes environ). Y a-t-il quelque part un paramètre Openrunner qui gèrerait cette vitesse disons prévisionnelle ? Si quelqu'un a une réponse...
  2. Bonjour, C'est cette dernière phrase qui me fait réagir : "un VTTiste a été retrouvé dans un trou grâce à son GPS", car elle contribue à une espèce de paranoïa. C'est absolument impossible qu'un GPS seul permette de localiser qui que ce soit. Ce qu'on appelle communément un GPS est uniquement un récepteur. Le satellite émet et le GPS reçoit. Et l'information ne circule que dans ce sens. Le GPS n'émet pas le moindre signal, même en direction d'un satellite. Maintenant si le GPS est couplé à un téléphone portable, il est sûr que l'opérateur téléphonique peut le localiser, mais le GPS lui-même n'y est pour rien. Il n'entrave en aucune façon notre liberté individuelle contrairement à une idée trop répandue.
  3. Christian, Pas sûr du tout qu'ils soient dans l'ordre que tu souhaites. S'ils commencent tous par Epernay tu as intérêt à modifier le nom qui apparaîtra dans Ou aller. Si tu remontes dans les premiers posts sur ce sujet, tu verras que j'ai expliqué comment faire pour modifier ce nom. Voici un copier/coller de ma réponse sur cette question : Il est possible de modifier ce nom pour le rendre plus parlant. Pour cela il faut modifier le .gpx du parcours dans le PC avant de le copier dans le Garmin. Ouvrir le .gpx avec Bloc Notes. Le nom qui sera affiché dans le Garmin est celui qui apparaît sous la ligne <trk> entre <name> et </name> et il suffit alors de le modifier (sans caractère exotique ni symbole). Comme l'affichage à l'écran du GPS est limité à 19 caractères il ne sert à rien qu'il soit plus long. Il doit être non ambiguë et parlant même tronqué à ses 19 premiers caractères. Pas compris la deuxième question.
  4. Bonsoir Christian, Tu ne peux mettre qu'un fichier .gpx à la fois parce que, comme il s'appelle toujours "export" le GPS croit que c'est le même que tu as corrigé et il écrase le précédent. Il suffit, lorsque tu es dans le fichier de téléchargement et avant de le copier dans le répertoire GPX de le renommer (clic droit sur export et "Renommer" dans le menu contextuel) d'un nom propre à chaque parcours. Ce nom de fichier est nécessaire pour que le GPS se repère dans leur gestion, mais ce n'est pas celui qui apparaîtra lorsque tu iras dans "Parc enregistés" où, comme tu l'as remarqué, tu auras automatiquement (nom du lieu de départ , OR et n° du parcours Openrunner).
  5. Pour charger un parcours à partir d’Openrunner, que ce soit un parcours que l’on a créé soi-même ou un parcours public mis à disposition de tous, ne pas utiliser la fonction de Transfert direct dans le GPS, mais préférer la fonction « Export GPS », en mode GPX-TRACK. L'onglet EXPORT GPS est en bas de la page entre SERVICES et TRANSFERT GPS Plus frustre, ne demandant le chargement d’aucun plugin, la fonction « Export GPS » est aussi plus sûre. Pour info, en mode GPX-TRACK c’est la totalité des points, ceux que l'on a placés et ceux, beaucoup plus nombreux mais invisibles, que le calculateur d'itinéraires a ajoutés, qui seront exportés. Si l’on choisissait le mode GPX-ROUTE, Openrunner exporterait uniquement le départ, l'arrivée et 49 points correspondant à des changements de direction, soit 50 segments en vol d’oiseau du départ à l’arrivée. Dans ce cas c’est ensuite le GPS, utilisant son propre calculateur d’itinéraires, qui tracerait un parcours de point en point. Calé sur sa cartographie, il risquerait de différer de celui tracé sous Openrunner. L’exportation se fait automatiquement dans le répertoire des téléchargements du PC. Déplacer ensuite le fichier nommé « export.gpx » dans un répertoire du PC dédié aux parcours pour les garder en archive, et le renommer. Enfin brancher le GPS éteint sur un port USB du PC et copier le fichier renommé dans le sous-répertoire « New Files » du disque fixe du Garmin Edge 800 ou 810 pour pouvoir l’utiliser plus tard en trace du parcours à suivre. Pour le 510 je ne sais pas le nom du sous-répertoire, mais ca doit être aussi « New files ». Les fichiers ainsi exportés apparaîtront ensuite sur l’écran du Garmin dans « Parc. enregistrés ».
  6. Bonjour Jan, Non je n'ai pas de problème en exportant un fichier vers le 705 depuis Openrunner en mode GPX-TRACK. J'ai, par exemple, exporté dans le répertoire GPX du Garmin le fichier de l'aller de Paris-Brest-Paris qui fait 2036 Ko et celui du retour qui fait 2000 Ko. Pas de blocage. Pour fixer les idées je dirai que l'ordre de grandeur est à peu près le suivant : - si le fichier initial .gpx des waypoints pèse, par exemple, 5 Ko (environ 25 waypoints placés par l’utilisateur, ce qui correspond à un parcours simple, d’environ 250 kilomètres empruntant des routes principalement départementales), alors le fichier .gpx des trackpoints obtenu par exportation en mode TRACK pèsera environ 0,5 Mo, soit 100 fois plus (5000 trackpoints générés par le calculateur d’itinéraires, soit une moyenne de 200 trackpoints pour 1 waypoint). Je ne connais pas les outils de GPsies et pour moi le format .tcx est surtout le format dans lequel le GPS enregistre le parcours réalisé (dans le répertoire Historique) et non celui du parcours préparé sous Openrunner. Il comprend comme le .gpx les coordonnées (latitude, longitude, élévation) de milliers de points, mais en plus pour chaque point, il a enregistré aussi le temps depuis le départ, la distance parcourue et l'altitude donnée par l'altimètre. Il est environ 5 fois plus gros que le .gpx initial. Pour moi les problèmes surviendraient plutôt dans l'autre sens, c'est à dire en exportant un .tcx du Garmin vers Openrunner pour récupérer un .gpx. Le fichier récupéré est alors trop gros et non modifiable facilement. Cordialement.
  7. Et les femmes ? Le record féminin date de 1938 et il est toujours détenu par Billie Fleming (née Billie Dovey). Il est de 29 603 miles soit 47 642 km, selon les infos Wikipédia. En 2014 une interview de la dame, qui était alors centenaire, est parue ici : http://www.cyclingweekly.co.uk/cycling-weekly/billie-fleming-happy-100th-birthday-121964 Une tentative de Kajsa Tylen pour améliorer le record est en cours depuis le 01/01/2016. Elle se présente ici : http://www.ayearinthesaddle.com/#!about-me/cjg9 On est bien sûr loin d'Abraham, mais faut le faire quand même...
  8. Avais-tu remarqué que Steven Abraham savait aussi varier les plaisirs et qu'il en avait profité pour intercaler dans son kilométrage une participation à Paris-Brest-Paris qu'il a accompli tranquillement en 87h33 (plaque n°T166). A noter que c'était son 6ième Paris-Brest, puisqu'il était déjà là en 1995, 1999, 2003, 2007 et 2011. Il est encore jeune (né le 26/08/1974) et s'il n'a pas d'accident et continue comme ça, c'est lui qui détiendra un jour le nombre record de PBP. Devant il y avait un phénomène qui s'appelait Lenhard, mais derrière il y en avait un autre qui s'appelait Abraham. Pas mal, non ?
  9. Oui Patrick c'est exactement ce que tu dis : il garde 49 points quelle que soit la taille du fichier enregistré. Par exemple je viens d'essayer avec le fichier d'un brevet de 600 km. Il comportait 8824 trackpoints générés par le GPS en roulant (en mode dit intelligent et non à raison d'un par seconde) et après la manip le fichier réduit en comptait 49.
  10. @ Patrick et @ Michel, J'allais justement poster pour vous dire que ça marche très bien. C'est moi qui affichais la trace dans un trait trop fin et ne la voyais pas... Là je trouve que c'est vraiment fortiche et c'est un gros inconvénient qui disparaît. En fait la cinquantaine de points qui ont été conservés (selon quels critères ou quel algorithme ? Mystère) correspondent un peu à des waypoints que l'on aurait placés si on avait tracé le parcours sous Openrunner au lieu de l'enregistrer sur le terrain.Mais comme vous l'avez noté, si on s'appuie sur eux pour demander au calculateur d'itinéraires de tracer un parcours, il n'est pas du tout sûr que l'on récupère un parcours exactement identique à celui qu'on avait enregistré sur le terrain. En tout cas c'est beaucoup mieux que de bidouiller dans les fichiers .gpx et de se planter. Merci encore pour ces échanges.
  11. Merci Patrick. Pour moi ça marcherait presque. Par exemple sur un circuit de 85 km en faisant la manip (importer du GPS vers OR, exporter d'OR vers le PC, importer du PC vers OR) en mode GPX-TRACK je récupère 1482 points. En mode GPX-ROUTE pour le même circuit je n'en ai plus que 49. Il est d'ailleurs clair que selon le mode d'exportation, les fichiers export.gpx n'ont pas du tout la même taille (170 Ko en GPX-TRACK et 14 Ko en GPX-ROUTE). En revanche je ne sais pas dire selon quel critère il a sélectionné les points qu'il a conservés et surtout, bien qu'il n'y ait pas de message d'erreur, je ne parviens pas à lancer le calculateur d'itinéraires pour qu'il joigne les 49 points restant. Une autre solution encore plus bidouillage est d'aller supprimer des coordonnées de points dans le fichier export.gpx, une fois celui-ci ouvert avec Bloc-Notes par exemple. Evidemment il faut savoir lesquels et qu'ils soient regroupés, par exemple les 100 premiers ou les 200 derniers. Mais ça marche, je l'ai utilisé pour fusionner deux parcours qui passaient par un même point, l'un pour le début et l'autre pour la fin.
  12. Merci Michel de mettre l’accent sur un vrai problème, qui est de modifier un parcours importé dans Openrunner depuis le répertoire Historique du Garmin, et donc constitué des milliers de trackpoints, créés sur le terrain par le GPS. Si on veut modifier un tel parcours importé, il sera encore possible, quoique très laborieux, de supprimer ou d’ajouter des points, mais il ne sera plus possible de recourir au calculateur d’itinéraire, au motif qu’il comporte trop de points et que s’affichera le message : « Le nombre de points intermédiaires est limité à 120 ». Ces portions corrigées ne pourront donc plus être tracées qu’en mode « vol d’oiseau ». Enregistrer puis exporter le parcours ainsi modifié dans le répertoire du Garmin pourra aussi poser un problème, et il arrivera, lors de son chargement en .gpx, qu’on le récupère avec le message Garmin : « Itinéraire tronqué ». Sauf erreur de ma part ces difficultés à modifier proprement un parcours du répertoire Historique du Garmin sont un défaut gênant, dans la mesure où, par exemple, il est fréquent que, lors d’une reconnaissance à vélo, on effectue des essais de routes nouvelles, qu’on aimerait effacer ou corriger facilement ensuite, avant d’ «officialiser» le parcours enregistré. Si quelqu’un a des éclaircissements ou des solutions…
  13. Bonjour Philippe, Oui il y a quand même quelques cas où la fonctionnalité de Transfert Direct dans le GPS fonctionne. Mais c'est souvent plus sûr de passer par l'Export qui via le PC permet en plus d'y archiver le parcours. Pour les cartes, il est légal de télécharger les cartes OpenStreetMap, à partir du site. Pour cela il faut d'abord s'acheter une carte micro SD vierge de manière à y stocker les cartes, par exemple une petite SanDisk de 32 Go à vingt euros, mais une plus petite suffit. Ensuite sur le site (http://garmin.openstreetmap.nl/) choisir les cartes "Routable Bicycle". Sélectionner le pays. Cliquer ensuite sur le bouton "Download map now" puis sur le fichier gmapsupp.zip pour le charger dans le répertoire PC des téléchargements. Ensuite l'installer sur le GPS : décompresser le fichier .zip que l'on vient de téléchargerinsérer la carte micro SD dans le lecteur du Garminbrancher le Garmin sur le PC (inutile de l'allumer)créer un dossier "Garmin" à la racine de la carte (s'il n'y est pas déjà)déplacer le fichier gmapsupp.img dans le dossier GarminJ'ai cru comprendre qu'on aurait tout le temps de reparler de cela en Touraine dans la nuit du solstice d'hiver...
  14. Bonjour Christian, Je pense que c'est plus à moi qu'à Philippe que tu répondais, mais ce n'est pas grave. C'est surement ça, le fichier .img de la carte n'est pas une simple image mais est beaucoup plus riche d'informations et c'est de là que viennent les messages et les flèches de direction. En exportant un parcours d'Openrunner vers le Edge 705 en mode GPX-TRACK, je récupère un fichier .gpx et une fois installé dans le GPS, je suis guidé avec les changements de direction. Je ne pense pas que ce soit différent avec le 800 et que ce soit seulement les .tcx qui soient guidés.
  15. Bonjour, La génération des messages d’alerte reste pour moi le plus « magique » dans le fonctionnement du GPS. Disposant d’un fichier .gpx de la trace qui ne comporte qu’une suite de latitudes et longitudes et d’un fichier .img de la carte qui n’est qu’une image statique, comment fait-il pour générer les messages d’alerte ? Je comprends bien qu’à partir du disque fixe du GPS où est stockée la trace et de la micro SD où est stockée la carte, il les monte en mémoire vive pour les fusionner et afficher un écran où elles sont superposées. Je comprends aussi que le positionnement satellitaire lui permet de placer exactement à chaque instant la portion de carte qui nous contient. Mais pour les messages ? Je suppose qu’il y a aussi un fichier de messages et de flèches de direction, mais comment trouve-t-il le bon message et la bonne flèche à placer, lorsqu’il y a un changement de direction, un rond-point à contourner, une bifurcation… ? Si quelqu'un peut l'expliquer, merci d'avance.
  16. Oui ce sera pareil : un retour automatique à la carte avec un message et la grosse flèche de direction. A la différence de toi j'ai l'habitude de rouler non pas avec l'écran 1 affiché, mais avec la carte et la trace. Je ne vais que de temps en temps à l'écran 1. Ca me permet de vérifier que le petit triangle est bien toujours sur la trace (et dans le bon sens). De plus comme je fais souvent de la grande distance et que je veux économiser la batterie, je désactive l'option du GPS qui recalcule le parcours pour nous ramener sur la trace si on l'a quittée. En effet dans ce cas il recalcule tout et ça fait mal à la batterie.
  17. Merci Christian pour ces explications qui complètent ce que l’expérience du GPS m’a appris. Tellement habitué à tracer mes parcours avant de partir je n’ai en fait jamais utilisé le Garmin comme on utilise un GPS de voiture, c'est-à-dire pour qu’il nous guide par lui-même jusqu’à une adresse. Mais tu as raison, c’est possible, et pour qu’il sache où aller il suffit de lui donner des waypoints. Je pense toutefois que quand tu dis qu’une route est un ensemble de waypoints ce n’est pas tout à fait exact, dans la mesure où il y a, en plus d’un ensemble au sens mathématique du terme, une relation d’ordre entre les waypoints, à savoir l’ordre dans lequel on veut les passer. L'ensemble de ces échanges montre bien à quel point les explications "officielles" tant Openrunner que Garmin sont très insuffisantes pour qui veut un peu comprendre comment ça fonctionne.
  18. Le plus simple est de faire des essais et de comparer. On trace un parcours sous Openrunner et on l'exporte, une fois en mode GPX-TRACK et une fois en mode GPX-ROUTE. A chaque fois on récupère dans le répertoire des téléchargements du PC ou du MAC un fichier export.gpx et on compare la taille de ces fichiers. Que constate-t-on ? Supposons qu'on ait tracé un parcours de 250 km avec 25 waypoints. Le fichier export obtenu en mode GPX-ROUTE fera environ 5 Ko. Le fichier export obtenu en mode GPX-TRACK fera environ 500 Ko, soit 100 fois plus. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'en mode GPX-TRACK, en plus des 25 waypoints, on aura 5000 trackpoints générés par le calculateur d'itinéraires. Ce rapport de 200 trackpoints pour 1 waypoint est tout à fait normal. A noter que si on fait ce parcours en vélo et que le GPS l'enregistre on récupèrera dans le sous répertoire Historique un fichier .tcx qui sera lui encore cinq fois plus gros, soit 2500 Ko. Pourquoi? Parce qu'en plus des 5000 trackpoints il contiendra pour chacun le temps depuis le départ, la distance depuis le départ et l'altitude. Ceci pour dire, à moins que quelque chose ne m'échappe, qu'exporter dans son GPS le petit fichier des seuls waypoints ne me semble pas servir à grand chose, sauf si on demande au GPS de remplacer Openrunner et de calculer lui-même un parcours à partir de ceux-ci. J'avoue que je n'ai jamais essayé de procéder ainsi et que je préfère nettement avoir fait ce calcul au préalable sur le PC, sous Openrunner grâce au calculateur d'itinéraires.
  19. Bonjour Philippe, En fait je suis tellement content du Garmin 705 que j'ai donné le 810 que j'avais acheté à mon fils et que je ne l'ai pas sous la main. Je pense toutefois que sur le plan de l'organisation des fichiers ils sont proches. En effet tu as deux supports physiques qui sont reconnus lorsque tu connectes ton Garmin à ton ordinateur : le disque fixe du Garmin et la carte micro SD. Personnellement sur cette carte je n'ai que la cartographie et rien d'autre. Lorsque je recopie un parcours après sa création sous Openrunner, c'est toujours dans un sous répertoire du répertoire Garmin du disque fixe que je le place. Ce sous-répertoire sur le 705 s'appelle GPX et sur le 810 NEW FILES. Donc je te confirme qu'en le plaçant là, tu verras ton parcours apparaître dans Parcours enregistrés (et non dans Courses). Je viens d'essayer en créant un sous-répertoire GPX (mais pour toi c'est NEW FILES), dans la carte micro SD et en y recopiant un parcours. Ca marche aussi et il apparaît comme les autres dans les parcours enregistrés. Donc tu fais comme tu veux, mais je pense qu'en le plaçant sur le disque fixe le temps de calcul sera un peu moins long qu'en le plaçant sur la micro SD. AC
  20. Tu charges la trace. C'est à dire que, une fois ton parcours Openrunner tracé, tu utilises la fonction Export en mode GPX-TRACK. Elle t'enverra un fichier "export.gpx" dans le répertoire de ton PC où tu reçois tous les téléchargements. Ensuite tu connectes ton GPS au PC via le port USB. Le disque fixe du GPS t'apparaît alors comme une mémoire externe et tu recopies ton fichier "export.gpx" dans le répertoire GPX (si c'est un Garmin 705) ou NEW FILES (si c'est un Garmin 800 ou 810). Ton parcours dans ton GPS apparaîtra alors sur l'écran du Garmin dans "Parc. enregistrés". N'utilise pas la fonction de Transfert direct dans le GPS qui cafouille un max et demande un plugin. La méthode que je t'indique est plus frustre mais plus sûre. Enfin si tu chargeais la route (en mode GPX-ROUTE) tu n'aurais que le parcours à vol d'oiseau, donc sans intérêt pour être guidé ensuite.
  21. Si je peux me permettre voici quelques explications : La route est constituée de waypoints. Ce sont les points que l'on place soi-même sous Openrunner. On ne peut en placer que 120 par parcours et c'est bien suffisant. Ils constituent un fichier .gpx. La trace est constituée de trackpoints. Ils peuvent être créés de deux façons : - sous Openrunner en utilisant le calculateur d'itinéraires. Ce sont des points invisibles qu'Openrunner place entre les waypoints mis par l'utilisateur pour suivre une route. Il peut y en avoir plusieurs milliers et ils constituent aussi un fichier .gpx, mais beaucoup plus gros. On peut dire qu'il est le prévisionnel du parcours - en roulant avec le GPS qui va enregistrer, par exemple toutes les secondes, les points par lesquels on passe. Il y en a aussi plusieurs milliers et ils constituent un fichier .tcx. A la différence des trackpoints placés par le calculateur qui ne contiennent que latitude et longitude, ceux placés en roulant contiennent en plus la distance et le temps depuis le départ ainsi que l'altitude. On peut dire qu'il est le réalisé du parcours. Un exemple concret que vous pouvez parfaitement tester par vous-même : Si on place seulement un waypoint de départ à Brest et un d'arrivée à Strasbourg, la route sera un vol d'oiseau de 905 km entre les deux villes et le fichier .gpx de la route ne contiendra que deux points. Si on demande à Openrunner d'utiliser le calculateur d'itinéraire pour construire une trace entre les deux villes il générera 30505 trackpoints et construira une trace de 1077 km et le fichier .gpx de la trace contiendra 30505 points. Pour les visualiser c'est simple, il suffit d'exporter depuis Openrunner la trace en mode GPX-TRACK dans le répertoire des téléchargements du PC, puis de l'importer dans Openrunner, après y avoir supprimé le parcours courant. En visualisant la trace et en zoomant suffisamment, on voir apparaître tous les trackpoints que le calculateur d'itinéraires a placés. Il faut bien comprendre que le calculateur d'itinéraires est une routine Google Maps à laquelle Openrunner envoie toutes ses requêtes. C'est elle qui place les milliers de trackpoints et ils sont simplement joints par des milliers de segments de droite sur un fond de carte pour visualiser le parcours. Donc route ou trace ce sont toujours des segments qui relient des points, simplement ils sont des milliers plus nombreux pour une trace que pour une route.
  22. Pour le Edge 705 il faut les recopier dans le répertoire nommé GPX. Ils s'afficheront ensuite dans "Parc. enregistrés" avec le nom créé automatiquement qui est : " --Lieu du départ--OR-xxxxxx:" Il est possible de modifier ce nom pour le rendre plus parlant. Pour cela il faut modifier le .gpx du parcours dans le PC avant de le copier dans le Garmin. Ouvrir le .gpx avec Bloc Notes. Le nom qui sera affiché dans le Garmin est celui qui apparaît sous la ligne <trk> entrer <name> et </name> et il suffit alors de le modifier (sans caractère exotique ni symbole). Comme l'affichage à l'écran du GPS est limité à 19 caractères il ne sert à rien qu'il soit plus long. Il doit être non ambiguë et parlant même tronqué à ses 19 premiers caractères. Si vous avez d'autres questions sur le 705...
  23. La question est pourquoi le cervelet est à ce point perturbé qu'il fait mal son boulot et n'ajuste plus bien les actions musculaires correctives. Peut-être la déshydratation, mais sur un PBP et après 800 ou 1000 bornes ça me semble curieux. Elle aurait dû se se produire beaucoup plus tôt. Après tant de bornes l'équilibre est bien établi et je ne pense pas trop qu'on risque encore de se déshydrater. Un copain kiné pense plutôt à une vascularisation insuffisante au niveau des cervicales. Les défauts des vertèbres cervicales comme des becs de perroquet et la position prolongée sur le vélo pourraient légèrement comprimer des artères et provoquer une diminution du flux sanguin, d'où le problème de mauvaise irrigation du cervelet. Il faudrait pour essayer de le vérifier faire un doppler de la carotide et des artères cervicales. Ensuite si l'hypothèse se confirmait, pas de solution miracle. Peut-être modifier légèrement la position, mais dans quel sens ? Surtout un travail de fond de plusieurs mois avec un renforcement des muscles cervicaux serait nécessaire. Le problème est que pour en mesurer ensuite l'efficacité il faudrait tester en vraie grandeur et donc s'envoyer au minimum un brevet de 600... Bon voila où en est la réflexion sur ce sujet. Je trouve toutefois curieux, compte tenu du nombre de gars qui penchent sur la fin de PBP, que la littérature médicale ou sportive soit muette sur cette question. Mais peut-être que j'ai mal cherché. Bravo pour ton PBP. Passer sous les 50 heures à 65 ans, c'est extrêmement rare. C'est du même niveau que Talabardon qui à 60 ans bouclait en 45 heures.
  24. Après des échanges avec plusieurs,correspondants, c'est un médecin spécialisé en gériatrie et également cyclo au long cours, qui m'a fourni ce que je pense être la meilleure explication. La voici donc : Vous avez remarqué que même en fermant les yeux vous savez où est votre corps ou vos membres dans l'espace. De la même manière debout quant vous soulevez une jambe, le tonus musculaire du tronc renverse le poids du corps sur l'autre jambe. Le corps c'est magique. Cela est dû à une sensibilité appelée sensibilité proprioceptive qui se décompose en consciente (passage par le cortex et donc notre volonté) et inconsciente qui passe par le cervelet (quand on boit trop, le cervelet trinque et le corps ne marche plus droit !) Le tronc (l'axe du corps) est géré par la sensibilité inconsciente. Sur un vélo, comme lors de marche ou course prolongée, on assiste à une sur-stimulation de la sensibilité inconsciente (comme l'oreille interne et la vue lorsqu'on monte sur un bateau = mal de mer). Le cerveau et le cervelet n'arrivent plus à gérer et les actions correctrices musculaires pour être "droit" ne sont plus ajustées. Le problème est donc d'abord neurologique. Tout ce qui est mauvais pour les neurones accentue ce phénomène. En dehors de maladie (Alzheimer, Parkinson), de médicaments (neuroleptiques et apparenté), on retrouve l'âge, la déshydratation... Par contre , l'impossibilité de relever sa tète, de freiner d'une main, etc... sont liés à une fatigue musculaire (phénomène de tétanisation= sur-stimulation) et seront améliorés par un entrainement musculaire, la préparation physique générale étant la clé des sports de grande endurance. En conclusion il me semble pour notre problème qu'il n'y a malheureusement pas grand chose d'autre à faire que de dormir pour reposer le cervelet et le laisser se reconnecter au cerveau. On constate d'ailleurs après Paris-Brest et une bonne nuit de sommeil que le phénomène disparaît très vite. Ce n'est hélas guère compatible avec les exigences de délai de PBP...
  25. Pour moi le plus étonnant, c'est qu'il ait non seulement un gros moteur, mais aussi un super-estomac. Rouler à 32 à l'heure (sa moyenne jusqu'à Brest) en avalant des croissants et des bananes, ce n'est pas à la portée de tout le monde. Par ailleurs les allemands grâce à un gars comme Claus Czycholl qui les a amenés à la longue distance depuis seulement une quinzaine d'années ont une vraie culture de l'autonomie. Si vous voulez en savoir plus sur cette approche de Paris-Brest, je vous conseille le film d'une demi-heure de la télévision allemande ici : http://www.ndr.de/fernsehen/sendungen/sportclub/radsport-paris,sportclub6932.html C'est remarquable, mais bien sûr c'est en allemand.
×
×
  • Créer...