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Pronostic 2022 - Tour du Pays Basque
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ ROGLIC PRIMOZ 2/ HIGUITA SERGIO 3/ MARTINEZ DANIEL PHELIPPE 4/ YATES ADAM 5/ VINGEGAARD JONAS JOK/ VLASOV ALEK TEAM GRAND EST -
Pronostic 2022 - Tour des Flandres
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ VAN DER POEL MATHIEU 2/ POGACAR TADEIJ 3/ PIDCOCK THOMAS 4/ LAPORTE CHRISTOPHE 5/ STUYVEN JASPER JOKER / KASPER ASGREEN T GRAND EST -
Pronostic 2022 - Gand-Wevelgen
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ JAKOBSEN FABIO 2/ VAN AERT WOUT 3/ MERLIER TIM 4/ KUNG STEPHANE 5/ GROENEWEGEN DYLAN JOKET TRENTIN M TEAM GRAND EST -
Pronostic 2022 - E3 Saxo Bank Classic
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ VAN AERT WOUT 2/ ASGREEN KASPER 3/ STYBAR ZDENEK 4/ STUYVEN JASPER 5/ LAPORTE CHRISTOPHE JOKER/ ANTHONY TURGIS TEAM GRAND EST -
Pronostic 2022 - Tour de Catalogne
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/YATES SIMON 2/ VALVERDE ALEJANDRO 3/ PORTE RICHIE 4/ QUINTANA NAIRO 5/ WOODS MICHAEL JOKER ALMEIDA JOAO TEAM GRAND EST -
Pronostics 2022 - Milan - San Remo
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ POGACAR TADEIJ 2/ VAN AERT WOUT 3/ PEDERSEN MADS 4/ JAKOBSEN FABIO 5/ KRISTOFF ALEXANDER JOKER/ DEMARRE ARNAUD TEAM GRAND EST -
Memoire pour les anciens et connaissance pour les jeunes...... Je m'en souviens parfaitement, malgré que ce soit loin.....Le fameux pack de fer...des avants d'enfer et un tracteur redoutable......avec des arrières de feux.. Histoire de grand chelem - 1977, quinze gladiateurs et une horde sauvage SPÉCIAL GRAND CHELEM - En 1977, la France remporte le deuxième Grand Chelem de son histoire avec Jacques Fouroux comme capitaine et un paquet d’avant qui marche sur tout le monde. Les Bleus réussissent l’exploit de n’encaisser aucun essai et de n’effectuer aucun changement sur l’ensemble des quatre matchs. C’est certainement le plus beau roman du rugby français. Le tournoi 1977 est devenu une histoire légendaire, tant on peut se demander si cet exploit a vraiment eu lieu comme il a été conté. Les nouvelles générations qui découvrent ce récit d’une incroyable quête ont certainement du mal à y croire. Tout est romanesque en ce temps-là, tout est passion, démesure et camaraderie. Le premier rassemblement improvisé dans un restaurant de la place de la Bastille avec huîtres et champagne au menu, le premier match au Parc des Princes, le forfait de Novès, l’avertissement de Fouroux, la horde sauvage, l’appendicite de Paco, une défense intraitable, l’absence des hymnes à Dublin. Les rebondissements sont légions, les anecdotes exceptionnelles. Après le gueuleton initial pour souder le groupe et parler stratégie entre deux godets, l’histoire débute par le forfait du jeune ailier toulousain Guy Novès deux jours avant le premier match face au pays de Galles. Celui qui deviendra l’entraîneur français le plus titré doit renoncer à sa première sélection. Il ne le sait pas encore, mais une cheville douloureuse va le priver du deuxième grand chelem de l’histoire du XV de France. Jean Luc Averous prend sa place. La France commence par battre le pays de Galles à Paris, au Parc des Princes. C’est une grande première. Les Français marquent deux essais grâce à des Toulousains : le premier par Jean-Claude Skrela, le futur sélectionneur des Bleus, et le second par Dominique Harize. Les Bleus s’imposent 16 à 9. Lors des hymnes, les partenaires du demi de mêlée chantent la Marseillaise à plein poumons. Les Gallois reconnaissent avoir pris dès les premières notes. "Ne changez rien à la composition d'équipe" Les Français font peur. Les avants sont denses et leur jeu intense. Une symphonie qui permet de prendre Twickenham sur le score de 4 à 3, grâce à un essai de François Sangalli. La victoire tient du miracle et les Britanniques parlent maintenant de la horde sauvage qui a fait plier les Anglais. La Rose écrasée, la France peut rêver à son exploit. L’Ecosse, qui se présente à Paris, est d’ailleurs laminée par des Bleus déchainés (23-3), inscrivant quatre essais par Alain Paco, Dominique Harize, Robert Paparemborde, Roland Bertranne. Cette équipe de France n’a pas encore effectué le moindre changement. Après trois matchs, le comité de sélection veut faire des changements en raison de la fatigue de certains joueurs. Jacques Fouroux, le capitaine, prend la parole au banquet organisé au Grand Hôtel de l'Opéra après le succès face aux Écossais. Devant l’auditoire, le Gersois pointe le président de la fédération, Albert Ferrasse et prévient les sélectionneurs : "Ne changez rien à la composition de l'équipe qui vient de battre l’Écosse et je vous promets qu'on fera le Grand Chelem." Le petit caporal vient de faire la composition d’équipe et évite à Gérard Cholley d'être puni pour un coup de poing. Mais, les rebondissements ne manquent pas avant de partir pour Dublin affronter l’Irlande. Le talonneur Alain Paco fait une crise d’appendicite. Il refuse de se faire opérer, prend quelques antibiotiques, quitte l’hôpital au bout de trois jours pour rejoindre les Bleus. A Dublin, à Lansdowne Road, stade mythique avec son train passant sous la tribune et ses supporters chantant fièrement debout sous la pluie et face au vent dans des virages sans siège, l’Irlande refuse de jouer les jouer les hymnes pour ne pas entendre le "God save the Queen". A la place de La Marseillaise, le chœur des Esclaves, extrait de l'opéra Nabucco, de Verdi résonne dans le vestiaire et chauffe les Bleus, eux qui n’ont plus gagné en Irlande depuis dix ans. Jean-Michel Aguirre et Jean-Pierre Romeu sont solides face aux perches et Jean-Pierre Bastiat inscrit le seul essai de la rencontre (15-6). Les quinze hommes qui ont battu les Gallois en ouverture du Tournoi sont tous là et lèvent les bras au ciel. Ils viennent de remporter le deuxième Grand Chelem de l’histoire du rugby français. Sans l’aide d’un seizième homme mais surtout en n’encaissant aucun essai en quatre matchs ! On ne peut donc regretter qu’une seule chose : que Netflix n’existait pas en ce temps-là. Il aurait été si facile de faire de ce Grand Chelem une série à succès. En 77, il y avait Gérard Lenorman qui donnait ses clés pour chanter au comptoir. Et c’était déjà pas mal. Le groupe Première ligne : Gérard Cholley, Alain Paco, Robert Paparemborde Deuxième ligne : Jean-François Imbernon, Michel Palmié Troisième ligne : Jean-Pierre Rives, Jean-Claude Skrela, Jean-Pierre Bastiat Demi de mêlée : Jacques Fouroux (cap) Demi d’ouverture : Jean-Pierre Romeu Centres : François Sangalli, Roland Bertranne Ailiers : Jean-Luc Averous, Dominique Harize Arrière : Jean-Michel Aguirre Résultats France – Pays de Galles : 16-9 Angleterre – France : 3-4 France – Ecosse : 23-3 Irlande – France : 6-15
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Pour le plaisir, aux souvenir des anciens et à la découverte pour les plus jeune...Une belle histoire de notre 1er grand chelem..bonne lecture.. Histoire de grand chelem - 1968, un triomphe baroque et foutraque pour la France TOURNOI DES SIX NATIONS - Le premier Grand Chelem français de l'Histoire ne fut pas une marche implacable mais une série de quatre victoires sur le fil du rasoir avec pas mal de réussite et avec une équipe totalement bouleversée. La France a réussi son premier grand chelem en 1968, au terme d’un parcours totalement foutraque. Il s’est terminé dans la "cour de ferme" de Cardiff, c'est-à-dire dans un cloaque innommable avec un essai contesté du capitaine Christian Carrère, venu suivre un drop curieux manqué de Lilian Cambérabéro qui était passé sous la barre. Hors-jeu ? Pas hors-jeu ? La presse galloise se déchaîna mais l'arbitre écossais avait levé le bras. Victoire des Français 14 à 9. Le match avait été assez terne c’est vrai, et les maillots tout maculés d’une épaisse bouillasse. De toute façon, ce triomphe fut une suite de quatre matchs gagnés sur le fil du rasoir avec une belle dose de réussite et de mansuétudes arbitrales. Il y eut aussi cet incongru match amical de Grenoble à mi-parcours qui a tout bouleversé. En marge des JO de Grenoble, le XV de France affronta une sélection du Sud-Est, et baissa pavillon. On se doute bien que la motivation n‘était pas la même d’un camp à l’autre, mais les sélectionneurs choisirent quand-même d’incorporer une partie des vainqueurs en sélection nationale pour les deux derniers matchs. Parmi eux les frères Cambérabéro, Lilian et Guy, meneurs de jeu de La Voulte, ils avaient été virés après le premier match gagné de justesse en Ecosse. Avec Carrère, ils sont restés dans la mémoire collective comme les porte-drapeaux de ce tournoi foutraque et génial qui remboursait les injustices du passé. Pas d'entraîneur 27 joueurs y ont participé alors que les remplacements n’étaient pas autorisés et seuls quatre joueurs ont disputé les quatre levées en intégralité. Walter Spanghéro, Elie Cester, André Campaès et bien sûr le capitaine Christian Carrère. Il avait 24 ans et jouait à Toulon troisième ligne-aile, joueur de classe à tous les sens du terme. " Il avait su créer une vraie ambiance.Et il essayait de s’occuper de chacun d’entre nous. Nous étions loin du professionnalisme, mais il discutait avec des partenaires pour qu’on puisse avoir, par exemple, une voiture dans de bonnes conditions " se souvient Jean Gachassin, feu follet d’une équipe qui… n’avait pas d’entraîneur. Ça paraît fou... Les choix tombaient comme un verdict prononcé par un nébuleux comité de sélection : " Nous étions livrés à nous-mêmes. On répétait nos gammes sous la coupe du capitaine. Le président de la FFR venait manger avec nous et quelques élus s’occupaient des questions d’hôtel et de déplacements. " Les quatre matchs de ce Grand Chelem de 1968 mériteraient chacune un roman. En Ecosse (8-6), ils furent assiégés mais bénéficièrent de la maladresse du buteur Stewart Wilson. Face à l’Irlande (16-6), ils furent dominés devant, mais les deux meilleurs Irlandais Ken Kennedy et M.G. Molloy furent frappés par de grosses blessures (genou et péroné) mais terminèrent le match avec des bandages et en boitant bas. Mais, personne ne peut le contester, les deux essais français furent très jolis (Campaès et Dauga). Contre l’Angleterre, les Français dominent la touche, mais les Anglais sont les plus brillants ballon en main, mais l’arbitre M. Laidlaw (seizième homme) leur refuse deux essais : le premier à West pour un en-avant, le second à Savage pour un "rampé" qu'il aurait pu considérer comme un "glissé". Ceci dit , le coup de pied de recentrage de Campaès pour Gachassin méritait bien le déplacement. Et il y eut donc pour finir ce déplacement à Cardiff pour finir, l’essai contesté de Carrère et deux pénalités faciles manquées par l’arrière adverse Doug Rees. Ceci dit Lilian Cambérabéro avait su exploiter un bon côté fermé sur passe de Michel Greffe, l’un des "promus" de Grenoble, un numéro 8 d’1m 78. Mais de ce Grand Chelem, on se souvient aussi de la grande bringue qui suivit, un monument du genre. Le talonneur Michel Yachvili se souvient " Nous allions souvent rue Princesse, notamment chez Tony. Le patron nous avait dit : "si vous gagnez, vous serez mes hôtes." Les festivités furent exceptionnelles, très longues puisque moi, je ne suis revenu dans mon club de Tulle que le… jeudi matin. ". Dans les différents établissements du quartier, chez Castel par exemple, les joueurs croisèrent d’autres célébrités venues les féliciter comme la regrettée et bien nommée… France Gall : " Une photo est sortie où elle est avec Walter Spanghéro et moi… " 6 Nations - Walter Spanghero (France) lors du Cinq Nations 1968Midi Olympique LES 27 CHELEMARDS Avants : André Abadie, Aldo Gruarin, Jean-Claude Noble, Michel Lasserre ; Michel Yachvili, Jean-Michel Cabanier ; Elie Cester, Benoit Dauga, Alain Plantefol, Jean Salut, Jean-Jacques Rupert, Michel Greffe, Walter Spanghéro, Christian Carrère (capitaine). Demis : Jean-Henri Mir, Jean Gachassin, Lilian Cambérabéro, Guy Cambérabéro. Trois-quarts : Pierre Villepreux, Claude Lacaze ; Bernard Duprat, André Campaès, Jean-Marie Bonal, Claude Dourthe, Jean-Pierre Lux, Jean Trillo, Joseph Maso. LES RÉSULTATS Ecosse-France : 6-8 France-Irlande : 16-6 France-Angleterre : 14-9 Galles-France : 9-14
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Pronostic 2022 - Paris-Nice - Prono 3
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
PIERRE ROSEC Tout le monde se joint à moi pour te dire que nous te croyons!!!!!!!!👍😉 -
Pronostic 2022 - Paris-Nice - Prono 3
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ Mc NULTY BRANDON 2/ ROGLIC PRIMOZ 3/ ALMEIDA JOAO 4/ MARTINEZ DANIEL 5/ YATES SIMON JOKER/ QUINTANA NAIRO TEAM GRAND EST -
Pronostic 2022 - Paris-Nice - Prono 2
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
je tente une échappée, le wkend s'annonce hard pour les leaders.. 1/ POEL WOUT 2/ PACHER QUENTIN 3/ MC NULTY BRANDON 4/ MADOUAS VALENTIN 5/ FERNANDEZ RUBEN JOKER/ TURGIS ANTHONY TEAM GRAND EST -
Pronostic 2022 - Paris-Nice - Prono 1
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1 /BISSEGER STEFAN 2/ ROGLIC PRIMOZ 3/VAN AERT WOUT 4/ KUNG STEFAN 5/ DENNIS ROHAN JOKER/ HAYTER ETHAN TEAM GRAND EST -
Pronostic 2022 - Tirano-Adriatico CG
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ POGACAR TADEIJ 2/ VINGEGAARD JONAS 3/ EVENEPOEL REMCO 4/ LOPEZ MIGUEL 5/ CARAPAZ RICHARD JOKER/URAN RIGOBERTO TEAM GRAND EST -
Pronostic 2022 - Paris.Nice CG
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ ROGLIC PRIMOZ 2/ MAC NULTY BRANDON 3/ VLASOV ALESANDER 4/YATES ADAM 5/ QUINTANA NAIRO JOKER/ POELS WOUT -
Pronostic 2022 - Strade Blanche
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
1/ ALAPHILIPPE JULIAN 2/ POGACAR TADEJ 3/ BENOOT TIESJ 4/ COVI ALESSANDRO 5/ GORGL MICHEL JOKER/ VALVERDE ALEJANDRO TEAM GREND EST -
Pronostics 2022: Omloop Het Nieuwsblad
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
Bjr tous 1/ WOUT VAN AERT 2/ COLBRELLI SONNY 3/ ASGREEN KASPER 4/ PIDCOCK THOMAS 5/ GILBERT PHILIPPE JOKER SENECHAL FLORIAN TEAM GRAND EST -
Inscription Trophée Crepel - Equipes 2022
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Pierre ROSEC dans Les pronostics
HELLO la Compagnie, pas facile ce nouveau site, ça va être folklorique pour se connecter, va y avoir des retards🥵............... Malgré que je sois bien pris par des obligations, je vais essayer de suivre le prono .....Donc, pas d'équipe pour moi cette année, je jouerai en individuel..... A BIENTOT SUR LES ONDES........ -
Braquets minimes et cadets
Claude GONZALES a répondu à un(e) sujet de Serge MASSELOT dans Discussions Route
Les braquets ont été limités dans les années 69/70 - Je m'en souviens bien - Pour les cadets c'était max 50x16 et minimes 46x16 - Auparavant, ils étaient libres et les gros braquets utilisés 52x14 - 53x13 ... - Chez les jeunes en pleine croissance, on s'était rendu compte que pas mal avaient des soucis de santé dont au niveau cardiaque ; les têtes pensantes en avaient conclus qu'il s'agissait des braquets qui ne correspondaient pas à l'âge...Donc, il a été décidé de limiter les braquets....Voila en gros pour l'histoire, ce que j'ai toujours entendu dire...j'étais minime à cette époque.... En ce temps là, les braquets étaient vraiment limité en la matière, puisque nous avions des cassettes de 5 pignons, pour certains de 4, les départs étant soit de 13, soit de 14 , soit de 16.....tout était un bloc...Pour les plateaux on avait le 45/50 ou 45/52 , plus tard le 42......c'était une autre époque... Actuellement, tout cela a très bien évolué et il est exact qu'avec des cassettes de 11, voire 12 vitesses et les compacts, le choix est très élargie et qu'il serait plus judicieux d'arrêter de limiter les braquets qui, à mon avis , n'a plus de sens.....? -
Faudra bien confirmer sur les 2 prochains tournoi des nations.....je pense qu'avec tous ces jeunes, équipe, réservoir et ceux qui montent, nous avons de quoi faire peur aux autres nations fortes pendant quelques temps..... Ceci dit, les blacks arrivaient en fin de leur saison et de leur tournée depuis fin aout..... Pour la coupe du monde, toutes les belles équipes seront prêtes..... Les filles ont été monstrueuses également samedi aprés midi.....maintenant faut quelles mettent fin à cette série de matchs perdus contre les Anglaises.....
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Je dirai même, belle et grande victoire des bleus avec un trés beau score, il faut également féliciter nos petites poulettes qui ont mis sur le derrière les filles blacks, 2 matchs consécutifs et avec la manière...Bravo les filles et les garçons..........2 trés beaux matchs ( je n'ai pas vu Hèlène)??.... Maintenant, vers le tournois de 6 nations, et haro sur les Anglais (es)......?
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Sur et certains Luc, les mauls existaient , je me souviens quand je jouais dans les années 70..... Le jeu du rugby est que l'on doit éviter l'adversaire, ce que faisait souvent les arrières, mais fallait aller chercher la balle des mains des adversaires, d'où les cubes devant qi allaient la chercher......... La percussions existaient au niveau des gros de devant mais pas comme maintenant...A l'heure actuelle, se sont des bulldozers avec leur masse musculaire et leur explosivité....C'est pour ça, que certains impacts sont très dangereux pour l'homme et c'est bien qu'il y est des régles pour sécuriser les joueurs.... Amuse toi à regarder, en temps perdu, sur You tube des vidéos de matchs des années 70 et tu verras, je crois qu'il y en quelques unes des années 60....et regarde bien.....
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Sur et certains Luc, les mauls existaient , je me souviens quand je jouais dans les années 70..... Le jeu du rugby est que l'on doit éviter l'adversaire, ce que faisait souvent les arrières, mais fallait aller chercher la balle des mains des adversaires, d'où les cubes devant qi allaient la chercher......... La percussions existaient au niveau des gros de devant mais pas comme maintenant...A l'heure actuelle, se sont des bulldozers avec leur masse musculaire et leur explosivité....C'est pour ça, que certains impacts sont très dangereux pour l'homme et c'est bien qu'il y est des régles pour sécuriser les joueurs.... Amuse toi à regarder, en temps perdu, sur You tube des vidéos de matchs des années 70 et tu verras, je crois qu'il y en quelques unes des années 60....et regarde bien.....
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Luc, les mauls ont toujours existés, les cocottes aussi, la cocotte a remplacer la tortue dont des équipes étaient spécialisées dans le genre....Les gros amas de joueurs étaient nomme empilage et j'en oublie, le mot ruck c'est rajouté à la langue du rugby.....Le jeu actuel s'apparente au XV d'époque et du jeu à XIII..... Les ascenseurs en touche étaient interdits également, le joueur devait sauter tout seul, sans l'aide de personne..... Le physique des joueurs et les règles ont évolués et changés depuis....
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Jean, je te laisse apprécier cette petite lecture de 2 mn, extrait de Midi Olympique (journal quasiment du sud ouest)......Je n'en suis pas l'auteur??.......sans chauvinisme.......bonne lecture... L’AS Béziers a régné sur le rugby français des années 70, autour d’une génération dorée et d’un entraîneur hors-pair : Raoul Barrière. Il sut forger un style tellement novateur pour gagner et suscita les jalousies. Treize titres majeurs en treize ans. Ces chiffres, dans leur brutalité, disent tout de la domination de l’AS Béziers à l’époque où la télévision passa du noir et blanc à la couleur. Dix fois, les Héraultais ont brandi le Bouclier de Brennus, à Lyon, à Bordeaux puis au Parc des Princes. Trois fois, ils ont embrassé le Du-Manoir (grosse importance en ces années-là). Sur dix-huit finales majeures, ils n’en ont perdu que cinq, quatre en fait car un Du-Manoir leur fut refusé après un nul face à Narbonne en 1978. Plus fort encore, en 1971-1972, l’ASB a vécu une saison à zéro défaite : en 1976-1977, elle n’a perdu qu’un seul match et a fini la saison lesté d’un quintuplé extraordinaire?(championnat, Du-Manoir, bouclier d’automne, titres juniors Crabos et Nationale B). Le club est aussi resté invaincu pendant onze ans et demi à domicile (1969-1981). Cette équipe était une vraie machine de guerre comme le rugby français en a rarement produit (seuls Lourdes et Toulouse à notre sens peuvent rivaliser). Au fil des victoires, les Héraultais s’étaient forgé un avantage psychologique qui balayait les obstacles. Au-delà des chiffres, Béziers c’était aussi des gueules, un peu effrayantes, le visage dur d’Alain Estève, la chevelure et la moustache de Michel Palmié, la détermination d’Armand Vaquerin. Même Olivier Saisset, qui passait pour un homme instruit, ne faisait pas rigoler. à les voir débouler des vestiaires, on comprenait ce qu’avaient ressenti les Français face aux invasions vikings, même si leur capitaine et stratège, Richard Astre, n’avait rien d’un guerrier qui part à l’abordage mais plutôt du dompteur d’un pack de fauves. Mais l’aventure du « Grand Béziers », nous l’avons surtout apprécié avec du recul, des années après, en mesurant l’injustice des clichés qu’on faisait circuler à son sujet. On entendait parler d’un pack énorme et impitoyable, d’une équipe qui « ne faisait pas de jeu » ou qui « cachait le ballon » (critique suprême et tarte à la crème). Les Biterrois étaient tellement forts qu’ils suscitaient la jalousie, notamment dans un certain « Sud-Ouest » drogué à l’idéologie du jeu basco-landais. Nous avons mis des années à dépasser les préjugés et à comprendre que Béziers, c’étaient des avants terribles mais aussi une méthode et une façon de jouer révolutionnaire. Un rugby qui avait dix ans d’avance, au bas mot. Et aussi des trois-quarts qui marquaient des essais. Et même un arrière, Jack Cantoni, qui réussit en finale 1971, sous la pluie de Bordeaux, la relance la plus limpide de l’histoire soutenue par un ailier René Séguier dont le « cad-deb’ » n’avait rien à envier aux plus purs attaquants bayonnais ou montois. Les victoires et l’insolente domination suscitaient l’aigreur des foules, un peu comme en cyclisme quand, à la même époque, Eddy Merckx encaissait les bordées d’injures des spectateurs français La composition d’équipe par vote Notre admiration différée fut encore plus intense quand on prit conscience d’une chose?: c’est que cette « machine de guerre » était composée à 80 % de joueurs du cru. Ils avaient tous, ou presque, appris le rugby aux alentours de la sous-préfecture. Cela fait presque sourire aujourd’hui de voir qu’Alain Estève (de Castelnaudary, via Narbonne) était considéré comme un étranger, tout comme Richard Astre et Jack Cantoni (de Toulouse). Ils étaient passés entre les mains d’un entraîneur hors pair, Raoul Barrière. Cet ancien pilier international fut à l’origine de tout. Il avait hérité d’une génération exceptionnelle, championne de France Reichel en 1968. à partir de ce matériau doré, il sut enclencher une dynamique qui dura quinze ans et qui se perpétua même après son départ, en 1978. La façon de jouer révolutionnaire, c’était la sienne. Comment la résumer?? Une sorte de « conservation » du ballon avant la lettre (le mot n’existait pas encore), où les avants essayaient de franchir tout de suite la ligne d’avantage en restant debout au moyen de petites passes courtes à l’intérieur puis les trois-quarts prenaient le relais. à ceux qui ne visualisent pas bien, on recommande la finale du championnat 1978 face à Clermont -son épilogue surtout- cette machinerie qui se met en route, avec une amplitude et une majesté qui a très peu vieilli pour faire gonfler le score. À ceux qui veulent comprendre Béziers, on conseillera d’abord de ne pas confondre le fond et la forme. La rudesse des avants était une façade ou plutôt un socle qui empêchait l’adversaire de tricher et de pourrir les ballons. Qui se souvient que le colossal Alain Estève était surtout un formidable joueur de rugby, rapide, adroit et collectif?? Son coach avait su déceler ces qualités en lui. Il fallait le faire. Qui se souvient que Barrière fut un entraîneur curieux de tout?? Toujours prêt à une innovation pour améliorer tel ou tel détail?: la sophrologie, les entraînements filmés, les axes de poussée en mêlée, les discussions collectives aussi. « Il était très attaché à la notion de modernité. N’oubliez pas que nous étions dans une atmosphère post-soixante-huitarde. Tous les joueurs pouvaient participer à la construction de notre jeu et s’exprimer. à un moment donné, les joueurs votaient même pour la composition d’équipe », nous expliqua un jour Richard Astre. Le troisième ligne centre Yvan Buonomo nous avait confirmé?: « On essayait, nous testions plein de trucs et tout le monde apportait sa pierre à l’édifice. Mais ce ne fut pas si facile car il lui a fallu trois ans pour forger notre style et notre sens du collectif, fondé sur le soutien et la conservation du ballon, qu’il ne fallait surtout pas faire tomber. » L’AS Béziers fascinait aussi parce qu’elle était une conjonction de personnalités pas toujours accordées entre elles. On disait que les joueurs n’étaient pas forcément tous amis et ils n’en rajoutaient pas dans ce registre. Mais ils étaient tous tendus vers la victoire, comme des professionnels qu’ils n’étaient pas encore.
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Il ne faut pas comparer avant et maintenant, les joueurs n'ont plus la même vie, avant c'était un ou deux entrainements par semaine aprés le boulot et aprés c'était soupe de pastis, comme les 3eme mi temps ou les gars se mettaient minable....L'alimentation et les préparations n'avaient rein à voir... Si on comparait le contraire, est ce que les joueurs actuels auraient supportés les conditions de vie des anciens...Boulots parfois dur dur , entrainement, match et fiesta.....auraient-ils la capacité de tenir le choc....????