Electrique ou mécanique

[Philippe LABADENS]

Allez, raconte...

 

Raconte quoi ? pris la main dans le pot de confiture, il va se faire oublier 2 ou 3 jours

[Patrick Friess]

On ne peut pas comparer uns sortie dans l'espace où le pilote doit évidemment rester à bord pour contrôler les événements et une sortie sur un corps céleste alors que le vaisseau est posé au sol et qu'il n'y a pas de manœuvre délicate à superviser. Et qu'en plus les deux doivent sortir...

[Georges IGOR]

Si on virait tous ceux qui ont volontairement pris un pseudo, donc sciemment violé le réglement, il n'y aurait sans doute plus que la moitié des membres sur ce forum

[Simon RANO]

c'est ce qu'on a du lui répondre, en plus de "et puis si t'es pas content, d'autres veulent ta place" 😃

fin de la minute "sans gravité"

place au 5ème round

[Jean ROULEUR]

C'est un forum vélo ?

 

[Georges IGOR]

Pour le nouveau DA Di2, technologiquement il n'y a rien à dire. Par contre mon inquiétude ou appréhension est plutôt qu'entre ce groupe, le SRM et les oreillettes que les pro deviennent complètement des pantins sans plus aucune réflexion et analyse. Ce sera les jambes et les 2 têtes. Un peu comme les pilotes de F1 quoi.

[Simon RANO]

L'histoire la plus triste c'est surtout Clifton Williams qui était programmé pour se poser avec Apollo 12 et Pete Conrad. Il est mort en se crashant au commande de son T-38 en voulant aller voir son père mourant du cancer, il a laissé une femme enceinte. 

😢

Collins, un vrais gregario pour revenir au vélo 

[Jean ROULEUR]

Le module lunaire ou LEM (pour Lunar Excursion Module) ou LM (pour Lunar Module)N 1 est le véhicule spatial utilisé dans le cadre du programme spatial américain Apollo (1961-1972) pour débarquer des hommes sur la Lune. Son rôle est de faire atterrir sur la Lune deux des trois membres d'équipage du vaisseau Apollo avec des équipements scientifiques, de leur permettre d'y séjourner de deux à quatre jours avant de décoller pour rejoindre le Module de Commande et de Service (CSM) resté en orbite lunaire et chargé de ramener l'équipage sur Terre.

Lorsqu'en 1961 le président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, fixe comme objectif à l'agence spatiale américaine d'envoyer des hommes sur la Lune avant la fin de la décennie, le programme spatial américain est encore balbutiant. Après avoir étudié plusieurs configurations pour le vaisseau spatial, la NASA choisit en 1962 d'avoir recours au LEM, module destiné au débarquement sur la Lune, malgré les interrogations que suscitent à cette époque le recours au rendez-vous orbital lunaire (LOR) que sous-tendait ce choix. Seule cette solution permettait en effet de tenir l'échéance fixée, en réduisant la masse à satelliser et en limitant les coûts et les risques techniques.

Le LEM comporte deux étages : un étage de descente dont le rôle principal est de faire atterrir verticalement le module lunaire grâce à un moteur à poussée variable et un étage de remontée doté de son propre moteur et dans lequel se situe la cabine pressurisée où séjournent les astronautes. Malgré la complexité de sa mission et une contrainte de masse très sévère (15 tonnes), le LEM a réussi à six reprises à amener sans défaillance grave et faire séjourner deux hommes dans un environnement lunaire particulièrement hostile et à l'époque mal connu.

La conception et la construction du module lunaire ont été réalisées sous la maîtrise d'œuvre de la société aérospatiale Grumman entre 1962 et 1969. Quinze modules lunaires ont été construits, dont dix ont volé et six atterri sur le sol lunaire au cours de la période 1969-1972. Le module lunaire de la mission Apollo 13 a permis de sauver l'équipage en se substituant au Module de Commande et de Service défaillant. Le programme Constellation qui devait permettre de débarquer des hommes sur la Lune à l'horizon 2020 a d'ailleurs repris une grande partie des solutions développées pour le LEM.

Sommaire

[Jean GUY]

Il ne faut pas faire de fixette sur un prétendu pilotage du coureur, car ce n'est pas comme cela que ça se passe.

Déjà, concernant le Di2, on garde le choix du mode de fonctionnement, et on peut changer en roulant (manuel, semi-synchro et full synchro). Ensuite, le SRM est utilisé la plupart du temps en course comme source d'information et d'analyse a posteriori, mais pas plus. J'imagine mal un mec ne pas s'accrocher dans un groupe à 150 bornes de l'arrivée sous prétexte que son SRM lui indique qu'il est dans le rouge. Ceci ne peut marcher que pour un Chris Froome dans une ascension finale, afin de bien gérer son effort et éviter les à-coups. C'est plutôt intelligent je trouve. Enfin, concernant les oreillettes, il ne faut pas croire non plus que le DS peut faire faire n'importe quoi aux coureurs par cet intermédiaire. Surtout que des oreillettes qui déconne, ça arrive plein de fois. Si le DS s'excite dans la voiture et donne des ordres idiots, il suffit aux coureurs de dire que la communication n'a pas fonctionné. Par contre, ça reste tout de même très utile pour communiquer certaines informations (le risque venant du fait que toutes les équipes ou presque donnent les bonnes infos au même moment, ce qui peut créer des chutes car tout le monde veut remonter en même temps.)

[Simon RANO]

Oui

désolé à tout le monde pour la gène,

je suis d'accord avec Jean Guy, c'est pas la technologie qui rend les courses chiantes c'est surtout la densité de niveau à l'echelon pro. L'entrainement est plus qualitatif, le reservoir de coureurs plus large (il y a mesme des africains en WT) et les prises de risques moins récompensées.

[Patrick Friess]

c'est ce qu'on a du lui répondre, en plus de "et puis si t'es pas content, d'autres veulent ta place" 

fin de la minute "sans gravité"

place au 5ème round

 

Doublement d'accord avec toi...

[Jean-Pierre COURQUIN]

au risque de me répéter je t'affirme que notre ami J.GUY possède un très très beau palmarès. et aussi une qualité que tu ferais bien de travailler "la modestie"

 

 

[Jean ROULEUR]

Avec son air de sainte nitouche, il provoque tout le monde et ensuite il s'etonne s'il se fait rentrer dedant.

 

[Jeff SKI]

Bon , je dois être le seul à ne pas connaître la vraie identité de Jean Guy... mais ça ne m'empéchera pas de dormir.

Sinon, je reste au dérailleur mécanique parce qu'avec tout ce que je roule, je passerais plus de temps à recharger la batterie qu'à pédaler! ;)

[Jeff SKI]

Je suis d'accord avec toi, je me suis fait faire un cadre sur mesure il y a quelques années et c'est une merveille, j'ai reporté la position au millimètre près sur un cadre acier et c'est bien aussi (moins raide même si plus lourd).

Je pense que je resterai en mécanique plus par philosophie que par utilité, le vélo est pour moi l'engin qui n'est mu que par l'énergie musculaire, le véhicule bio par excellence... (et puis j'ai même une montre mécanique, je crois que je suis un vieux hippie! 😆)

Quant aux disques... je n'en suis pas encore là!

[Jean ROULEUR]

J'ai la chance d'avoir une tres grande batisse du xviii eme siecle dans le massif de la Chatreuse, et pas besoin de montre mecanique.

J'ai un tres beau cadran solaire.

C'est super bien reussi

[Jean GUY]

Et moi une montre automatique qui a bientôt 30 ans d'âge et qui vaut le prix d'un très beau vélo. Mais j'ai aussi un Garmin, un Iphone, et j'ai deux vélos : l'un en transmission mécanique, l'autre en électrique. Et tout cela ne change pas grand chose, si ce n'est le plaisir qu'en en retire.

[Georges IGOR]

une aliante pour moi 🆒

[Jean-Louis AGUILAR]

+1😆

[Jean-Louis AGUILAR]

salut christian " le plus beau ici on cultive le piment le vrai ...😆