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Rémunération Cyclistes


Nicolas SEVERIN

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16 ans entre les deux, mais pas avec la même femme. La seconde, beaucoup plus jeune. Ce qui prouve la santé du phénomène ;o)

Ses deux fils ont été et sont aussi coureurs cyclistes.

Le premier, avec qui j'ai couru, était l'un des meilleurs amateurs français pendant une dizaine d'années. Il a arrêté en 2006, est devenu kiné chez Agritubel, puis DS chez Veranda U. Je ne sais pas ce qu'il va faire prochainement, après l'arrêt de l'équipe.

Le plus jeune est aujourd'hui Elite. Il n'a pas fait encore grand chose, mais il est prometteur.

Ah, j'oubliais : j'ai eu l'opportunité de courir avec les trois Leveau ;o)

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Le col de faye c'est le plus nauvais souvenir de vélo j'étais échappé avec Vincent Lavenu dans la classique Laragne-Embrun en 1982 et grosse gamelle dans la descente juste avant de prendre la route du col du noyer " plus de son plus d'image " la seule course qui passait devant ma maison . Vincent Lavenu à gagné la course et à rappelé cette course sur France 2 en 2011 lors de l arrivée à Gap .
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Salut Rémy ;

Echappé avec Leveau :

- Il me propose d'acheter la victoire. Je refuse, il gagne. Rien à redire.

- Il me propose la victoire (y a la famille, les potes, c'est la course de mon club). Je refuse quand même, il gagne. Rien à redire.

- Il ne me dit rien et me laisse la victoire en douce. Je gagne. Qu'est-ce que je pouvais faire d'autre ?

- Il ne me dit rien et il gagne. Rien à redire.

Dans tous les cas il faut rester fidèle à soi-même. Ca sert à quoi de se mentir ?

Concernant la victoire, j'ai connu, même si c'est à un niveau bien plus modeste. Mais les frissons, non. La première fois, j'ai compris à 500m de la ligne que c'est moi qui allais gagner et ça m'a en quelque sorte privé du plaisir de la victoire. Sur le coup j'ai été super content, mais 200m plus loin je me disais que je me serais attendu à davantage d'émotion. La seconde fois, ce fut du soulagement car il me fallait rentrer dans les 5 pour marquer les points qu'il me manquait pour monter dans la caté supérieure et alors qu'il ne restait que 2 courses dans la saison. Ca arrive au sprint et je gagne, après un gros boulot toute la course, y compris sur le sprint, des cadets de mon club venus me prêter main-forte. Un cri de rage sur la ligne, davantage le résultat du soulagement d'avoir assuré et de ne pas avoir fini par terre (je déteste sprinter). Je crois que j'ai trop intériorisé que je cours au plus bas de l'échelle pour avoir de grosses joies sportives. En tout cas à vélo.

Cordialement, FB.

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Ca sert a quoi de se mentir, c'est "ta " conclusion sur les possibilités que tu énumères . Mais 1 il ne te propose rien, donc le 2 tombe a l'eau. 3 et 4 il ne te dit rien et personne ne ment a personne et surtout pas a  soi même. Il faut que tu saches que quand on veut gagner alors qu'on ne peut pas , c'est celui en etat de faiblesse qui le demande et c'est la moindre des choses.

Donc je reprends

1 Tu lui demandes de pouvoir gagner (et de tes raisons on s'en fout et du montant aussi), il te repond oui ou non. L'histoire est terminée, pas de 2 ni de 3 et 4. Tu elabores des trucs sans queue ni tête. Tu prends le problème a l'envers. Tu ne te ments pas , tu as envie de gagner, tu fais parti des deux meilleurs de la course et tu le sais , tu poses un billet sur la table ou non, un point c'est tout en aucun moment tu te ments, tu décides d'une action ou pas. Cette action tu peux la considerer comme un besoin pour "ton club" pour " ta caté", pour "ton patron", pour "ta belle blonde"ou pour simplement comme tu le dis "assurer".

Quand a dire que tu cours au bas de l'échelle pour avoir les joies qui se meritent , là, tu te discredites vraiment, tu as une pietre opinion de toi même. Trouve le moyen d'être joyeux dans la vie et tu le seras à vélo.

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