Thierry DUBAU Posté le 19 juillet 2012 Posté le 19 juillet 2012 Pau-Luchon 1983 (201 kms) : victoire de Robert Millar en 6h23 (le dernier de l'étape à 51')Pau-Luchon 1998 (196.5 kms) : victoire de Rodolfo Massi juste devant Pantani en 5h49 (le dernier à 31')Pau-Luchon 2012 (197 kms) : victoire de Thomas Voeckler en 5h35 (le dernier à 33') 😆😆
François BARTHOU Posté le 19 juillet 2012 Posté le 19 juillet 2012 Intéressant Thierry!"Les chaudières" de l'édition 1998 à ...14' de Voeckler c'est "significatif". D'autant qu'en 1998, il s'agissait de la première étape de montagne (10ème étape), donc disputée avec du jus !
André BERTHELOT Posté le 19 juillet 2012 Posté le 19 juillet 2012 <"Les chaudières" de l'édition 1998 à ...14' de Voeckler c'est "significatif".>C'étaient exactement le même parcours et les mêmes conditions de course ?
François BARTHOU Posté le 19 juillet 2012 Posté le 19 juillet 2012 Exactement le même parcours. Au niveau météo, 20° C, temps couvert avec plafond bas sur les sommet de cols.
François BARTHOU Posté le 19 juillet 2012 Posté le 19 juillet 2012 http://www.youtube.com/watch?v=ELlGVREfg24
Claude CARRIES Posté le 19 juillet 2012 Posté le 19 juillet 2012 comme ils etaient tous dopes et que les velos sont les meme c est que Voeckler est bien plus fort
Gilles PEYROU Posté le 19 juillet 2012 Posté le 19 juillet 2012 Vent très favorable dans toutes les montées visiblement pour cette édition 2012. En 1998, je ne me rappelle pas d'un tel vent favorable (jétais allé en vélo dans Peyresourde). Quand bien même, ça envoie. Le sport de haut niveau est bien médicalisé.
Marcel FERRAN Posté le 20 juillet 2012 Posté le 20 juillet 2012 Mais non voyons, c'etait pas les mêmes conditions meteo. En 98 les sommets etaient dans le brouillard et la route mouillée, on perd du temps en descente.
Cédric SAGANSAN Posté le 20 juillet 2012 Posté le 20 juillet 2012 Oui en 98 j'étais dans le tourmalet beaucoup d'humidté, je m'étais d'ailleurs gelé,mais bon sachant que voeckler à mené seul pratiquement après le tourmalet mieux que pantani ullrich...
André BERTHELOT Posté le 20 juillet 2012 Posté le 20 juillet 2012 Oui Isaac, c'est bien pour cela que je demandais si les conditions de course étaient les mêmes mais j'ai eu une réponse sur la météo 😄
André BERTHELOT Posté le 20 juillet 2012 Posté le 20 juillet 2012 "mêmes conditions de course" ne signifie pas uniquement le parcours et la météo mais également, et surtout, le déroulement de la course.Si ça part pépère, ils peuvent toujours rouler comme des malades ensuite, ça ne fera pas un temps record mais si ça part soutenu, même avec un fléchissement sur la fin la performance sera top.
Thierry DUBAU Posté le 20 juillet 2012 Auteur Posté le 20 juillet 2012 Je n'incrimine rien de façon "perfide"; je cherche juste à susciter le débat en livrant des chiffres à l'état brut.Je trouve néanmoins ces chiffres troublants. Entre 98 et maintenant on semble évoluer peu ou prou dans des dimensions athlétiques comparables, quoi qu'en disent les béni-oui-oui et les porteurs d'oeillères.
Marcel FERRAN Posté le 21 juillet 2012 Posté le 21 juillet 2012 En 1983, certes lesroutes des cols etaient goudronnées, mais pas comme aujourd'hui. Actuellement, cesont des "boulevards", la chaussée est en BB (béton bitumineux) appelé egalement tapis d'enrobés, comme sur les autoroutes..... Auparavant, c'etait "goudronné", revetement en gravillon, plus rugueux = moins roulant, et surtout moins uni = chaussée plus deformée qu'un tapis d'enrobé. En descente, il fallait tenir fermement le guidon, et parfois freiner. On ne pouvait atteindre les vitesses d'aujourd'hui, on subissait les deformations de la chaussée = on n'etait plus maitre de la vitesse
Bernard LUC Posté le 21 juillet 2012 Posté le 21 juillet 2012 et certains passages les routes des cols ont du etre elargies et certains virages coupés, non ? donc les coureurs peuvent descendre plus vite.
Marcel FERRAN Posté le 21 juillet 2012 Posté le 21 juillet 2012 ont du etre elargies et certains virages coupésElargis ou ameliorés, un peu lorsque c'est possible. Des virages coupés sur les cols, c'est beaucoup plus difficile. les virages suivent la topographie du terrain. Il est vrai que par endroit, on pourrait en coupant tout droit, maisça neserait plus une route, mais une piste de ski pour l'hiver!! çamonterait trop!! A ma connaissance je n'ai pas vu de virages coupés, dans les cols.En tous cas les coureurs peuvent descendre plus vite, la chaussée a elle ete bien ameliorée. D'ailleurs ce n'est plus des routes de montagne, mais des boulevards......
Gilles PEYROU Posté le 21 juillet 2012 Posté le 21 juillet 2012 Même en étant large, 2 min de gagnées dans la descente de l'Aubisque, 2 dans le Tourmalet, 1 dans Aspin et 1 dans Peyresourde, ça ne fait que 6 minutes de gagnées. Les autres c'est en montée 😛
Marcel FERRAN Posté le 22 juillet 2012 Posté le 22 juillet 2012 Les autres c'est en montée Ou ailleurs!!! Dansl'approche de l'aubisque!! si on part doucement ou à fond la caisse, ensuite entreSte-Marie et le bas d'Aspin(Payolle), et idem entre le bas d'Aspin(Arreau) et du PeyresourdeEnsuite les conditionsmeteo n'etaient pas les mêmes
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