Jacques VANDEWIELE Posté le 14 mars 2022 Share Posté le 14 mars 2022 Un peu plus de 80 coureurs à l'arrivée de Paris-Nice. Près de la moitié à abandonné ! Il n'y a pas eu de chutes spectaculaires et pourtant ils sont très peu , beaucoup moins qu'habituellement à terminer l'épreuve. Parcours trop exigeant à cette période de l'année ? La pandémie est-elle en cause ? Certains DS avaient annoncé la couleur . Pourquoi ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard LUC Posté le 14 mars 2022 Share Posté le 14 mars 2022 beaucoup ont chopé et/ou se sont transmis un virus grippal Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume LEROYER Posté le 14 mars 2022 Share Posté le 14 mars 2022 Il y a 8 heures, Jacques VANDEWIELE a dit : Un peu plus de 80 coureurs à l'arrivée de Paris-Nice. Près de la moitié à abandonné ! Moins que ça, même, 59 arrivants, c'est le record depuis 1985 (58). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jacques VANDEWIELE Posté le 14 mars 2022 Auteur Share Posté le 14 mars 2022 Je viens de le lire dans une revue axée cyclisme qu'un genre de virus grippal affecte une grande partie du peloton. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jacques VANDEWIELE Posté le 14 mars 2022 Auteur Share Posté le 14 mars 2022 Voici ce que j'ai pu lire e.a. dans "Cyclisme Revue.be" Outre ce virus grippal, qui a également touché de nombreux coureurs sur Tirreno-Adriatico, certains pensent également que l’adoucissement des mesures sanitaires a mené à ces contaminations plus rapides. Ou encore que le système immunitaire des cyclistes est moins résistant à certains virus après deux ans de Covid-19. « Les coureurs sont à nouveau en contact avec d’autres germes « classiques » contre lesquels ils n’ont pas eu à se battre ces deux dernières années », résume le manager de Quick Step-Alpha Vinyl Patrick Lefevere à Het Nieuwsblad. Ce dernier évoque également la météo particulièrement froide sur les dernières étapes de Paris-Nice et de Tirreno-Adriatico. « Quand vous arrivez par avion d’Espagne ou des Émirats Arabes Unis, c’est le chemin le plus couvert vers la maladie », ajoute-t-il. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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