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Marathoniens ?


Sylvain KARLE

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Salut Sylvain et Jean-Marc,

Félicitations à Jean-Marc, pour moi ça c'est très bien passé aussi: 3h58m30s, mes 4h22 de Paris sont explosées.

J'ai enfin réussi à gérer le couple hydratation/alimentation qui m'avait posé tant de problèmes lors de mes deux premières expériences.

J'ai réussi à maintenir une allure régulière (- de 5 mn 40 s/km) malgré le fort vent, je suis passé au semi en 1h 58m30s, ce qui fait un deuxième semi en deux heures.

J'ai fini fatigué et les jambes lourdes mais ps détruit comme les deux premières fois.

Quel plaisir !!!

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Bravo Patrice belle gestion de course et belle amélioration .....prochain objectif ?

J'ai vraiment envie de refaire de Metz en 2013 , je vais recommencez déja par des distances + courtes et le semi de Thionville début Avril ou j'aimerais descendre sous les 1h40 .....

 

Récupère bien .... 

 

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Allez un petit CR de ma course d'hier en espérant donner envie à ceux qui hésitent:

Départ pour Toulouse samedi aprèm direction la "place du Cap" pur retirer le dossard, puis nuit dans la famille en balieure toulousaine.

Le lendemain réveil facile grâce au changement d'heure, puis métro et navette direction le stadium où le départ est donné à 8h 45. L'avantage logistique du marathon de Toulouse (contrairement à Paris) est qu'on peut rentrer et sortir de son sas de départ comme on veut. Du coup, j'attends le dernier moment pour enlever le "survet", je mets mon bonnet et mes gants et je suis prêt à braver le froid et le vent violent.

Le départ est donné, je me cale sur mon rythme de - de 5m40s/ km. Je cours juste devant le meneur d'allure 4 heures pour ne pas être gêné par le monde au moment des ravitos. Je fais attention à bien gérer le couple infernal pour moi hydratation/alimentation. Je le fais tellement bien que je dois à trois reprises faire des pauses techniques (pipi quoi!). Je perds quelques secondes à chaque fois mais je me dis qu'au moins, c'est le signe que je m'hydrate convenablement.

Les kms s'égrennent, le vent est souvent de côté. Quand il est défavorable les meneurs d'allure nous invitent à rester groupés et à l'abri derrière eux. Au bout de 13 kms nous sortons de Toulouse pour aller dans les communes de la banlieue nord. C'est mon ancien fief footballistique, aussi des copains se sont mis sur le parcours pour me voir. Ayant en méméoire la feignasse que j'étais sur un terrain (d'aucuns parleraient de libéro à l'ancienne), ils avaient déjà du mal à croire que je sois devenu cycliste alors marathonien... Certains voulaient le voir "pour de vrai"...

Je passe le semi en 1h58m34s ce qui est pile dans mes prévisions. Le retour vers la ville rose commence, le vent est plutôt notre allié. Je grignote à intervalles réguliers et je reste sur mes 5m35s à 5m 40 s par kms. Je commence à reprendre des concurrents qui ont ralenti ou explosé...

Puis nous prenons plein ouest et donc plein vent autour du 30 ème km juste le temps de revenir à Toulouse. Le passage à Borderouge est toujours électrisant, la place est pleine de monde et on fend littéralement le public. Ce public est nombreux sur les 10 derniers kms qui se courent dans le centre-ville. Au km 33, je me rappelle que c'est là que j'avais explosé l'an dernier, là je me sens encore bien...

J'ai cent mètres d'avance environ sur le meneur d'allure 4 h mais qui finit par me rattraper au 39ème. Là je m'accroche, ça commence à faire mal mais je reste dans sa roue... Il motive les troupes, invite ceux qu'on rattrape à s'accrocher (mais je sais par expérience que quand on n'a plus d'essence même un gros mental ne suffit pas). Au 41ème, il dit à ceux qui le peuvent de s'envoler,et comme je suis un garçon obéissant je m'exécute...

Le dernier km est toujours riche en émotion, le public est nombreux. Je tourne à gauche et je vois le Capitole. J'accélère un peu en voyant le chronomètre au loin (pour ne pas voitr le chiffre 4h). Puis je passe la ligne: 3h58mn31s, record explosé.

Je récupère, je m'alimente un peu. Je suis fatigué mais pas détruit comme lors de mes deux prmières expériences. Après avoir contemplé ma magnifique broloque je vais me couvrir, me réchauffer un peu, puis reprendre le chemin du retour des étoiles encore plein les yeux...

 

 

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J'essaye une version qui je l'espère sera plus lisible


 


Départ pour Toulouse samedi aprèm direction la "place du Cap" pur retirer le dossard, puis nuit dans la famille en banlieue toulousaine.


Le lendemain réveil facile grâce au changement d'heure, puis métro et navette direction le stadium où le départ est donné à 8h 45. L'avantage logistique du marathon de Toulouse (contrairement à Paris) est qu'on peut rentrer et sortir de son sas de départ comme on veut. Du coup, j'attends le dernier moment pour enlever le "survet", je mets mon bonnet et mes gants et je suis prêt à braver le froid et le vent violent.


Le départ est donné, je me cale sur mon rythme de - de 5m40s/ km. Je cours juste devant le meneur d'allure 4 heures pour ne pas être gêné par le monde au moment des ravitos. Je fais attention à bien gérer le couple infernal pour moi hydratation/alimentation. Je le fais tellement bien que je dois à trois reprises faire des pauses techniques (pipi quoi!). Je perds quelques secondes à chaque fois mais je me dis qu'au moins, c'est le signe que je m'hydrate convenablement.


Les kms s'égrènent, le vent est souvent de côté. Quand il est défavorable les meneurs d'allure nous invitent à rester groupés et à l'abri derrière eux. Au bout de 13 kms nous sortons de Toulouse pour aller dans les communes de la banlieue nord. C'est mon ancien fief footballistique, aussi des copains se sont mis sur le parcours pour me voir. Ayant en mémoire la feignasse que j'étais sur un terrain (d'aucuns parleraient de libéro à l'ancienne), ils avaient déjà du mal à croire que je sois devenu cycliste alors marathonien... Certains voulaient le voir "pour de vrai"...


Je passe le semi en 1h58m34s ce qui est pile dans mes prévisions. Le retour vers la ville rose commence, le vent est plutôt notre allié. Je grignote à intervalles réguliers et je reste sur mes 5m35s à 5m 40 s par kms. Je commence à reprendre des concurrents qui ont ralenti ou explosé...


Puis nous prenons plein ouest et donc plein vent autour du 30 ème km juste le temps de revenir à Toulouse. Le passage à Borderouge est toujours électrisant, la place est pleine de monde et on fend littéralement le public. Ce public est nombreux sur les 10 derniers kms qui se courent dans le centre-ville. Au km 33, je me rappelle que c'est là que j'avais explosé l'an dernier, là je me sens encore bien...


J'ai cent mètres d'avance environ sur le meneur d'allure 4 h mais qui finit par me rattraper au 39ème. Là je m'accroche, ça commence à faire mal mais je reste dans sa roue... Il motive les troupes, invite ceux qu'on rattrape à s'accrocher (mais je sais par expérience que quand on n'a plus d'essence même un gros mental ne suffit pas). Au 41ème, il dit à ceux qui le peuvent de s'envoler, et comme je suis un garçon obéissant je m'exécute...


Le dernier km est toujours riche en émotion, le public est nombreux. Je tourne à gauche et je vois le Capitole. J'accélère un peu en voyant le chronomètre au loin (pour ne pas voir le chiffre 4h). Puis je passe la ligne: 3h58mn31s, record explosé.


Je récupère, je m'alimente un peu. Je suis fatigué mais pas détruit comme lors de mes deux prmières expériences. Après avoir contemplé ma magnifique broloque je vais me couvrir, me réchauffer un peu, puis reprendre le chemin du retour des étoiles encore plein les yeux...

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Allez c'est mon tour comme promis.


@Patrice, chapeau pour l'amélioration du chrono!! Belle perf!


 


Marathon de Strasbourg 28/10/2012


6h15. Après une soirée tranquille, et mis la montre à l’heure d’hiver le réveil se fait facilement. J’ai mal dormi pourtant réveillé dès 2h30. Je me prépare consciencieusement et je descend prendre un bon petit déj’ pain aux céréales e confiture. Je remonte chercher mes affaires après avoir tergiversé sur la tenue la plus adéquate : il fait très froid et il y a un vent du nord est assez fort. J’opte finalement pour un maillot ML pour le haut et le reste en court (faut être maso quand même !).


7h15. Je rejoins mon cousin et nous attendons le tramway qui va nous amener à 10 mn du Zénith, lieu du départ de la course. Après 10/15 mn d’attente nous montons frigorifiés dans le tram. J’ai bien fait de prévoir mon coupe vent et une polaire pour le trajet.


Nous retrouvons d’autres coureurs avec qui nous lions conversation, et on se dit tous que la météo ne va pas nous faciliter la vie…Je profite du trajet pour m’équiper, ceinture avec gel et boisson, je revêts mon sac en plastique et j’installe ma musique.


7h45. Nous arrivons au terminus et nous nous rendons à pied au Zénith. Je me précipite vers la consigne (6ème sens qui m’arrangera bien la vie à l’arrivée, j’y reviendrai), il y a déjà la queue mais c’est raisonnable. Après une dizaine de mn d’attente viens mon tour. Surprise il n’y a que 2 bénévoles pour le recueil des sacs !!!!


8h00. Il reste à patienter avant le départ qui doit être donné à 9h00. J’en profite pour une pause technique, ça c’est la bonne surprise, on bénéficie des toilettes du Zénith (donc en nombre) ca évite le parcours du combattant que j’ai connu sur d’autre courses.


8h45. Annonce du départ du marathon dans le quart d’heure, horaire respecté donc. 10mn plus tard nouvelle annonce qui nous informe du report du départ du à l’engorgement à la consigne. Donc le départ ne sera donné que lorsque qu’il n’y aura plus personne à la consigne. Tu m’étonne !! près de 2 800 participants et seulement deux malheureux pour gérer tout ça !! Tu parles d’une organisation !! Mauvais point sur ce coup.


9h00. SURPRISE. Le départ est donné !!! Le temps de sortir du Zénith et de me rendre vers la zone de départ, c’est 3 mn que j’ai dans la vue d’entrée de jeu !! Je pars après le meneur des 5h00 !!!Inimaginable.


9h04. Je passe le tapis chronométrage. Il y a du monde et je passe mon temps à doubler, au premier km je passe le meneur 5h00. Km 3 je passe le meneur 4h30, et au km 5 je passe le meneur 4h00. Tout ça ne m’a pas aidé, dans les passages plus étroits il a fallu se livrer un jeu de zig-zag, qui ne m’a pas permis de me caler sur mon allure marathon (5’20“ au km). Pour ne rien arranger ça caille vraiment et je mets un peu plus de temps que prévu pour me réchauffer……


9h30. Le compte est bon j’arrive au premier ravitaillement légèrement en retard sur le tableau de marche (19“ de retard) !! Je ne m’arrête pas, premier gel et je bois. Le chemin s’éclairci, le peloton s’est étendu et je peux enfin avancer à l’allure que je suis fixée. Je déroule dans un joli passage dans les bois ou il fait meilleur (à l’abri du vent), c’est génial bonnes sensations, un métronome !


10h56. Passage au semi pile dans les temps (1h52), à la seconde près ! J’ai franchi le Rhin il y a 3 km dont le pont représente le premier des deux « petits coup de c…l, et depuis je prends un vent de face et très froid. Le passage à découvert le long du fleuve provoque une « bordure » comme en vélo les coureurs sont à la queue le leu !!! Impressionnant cette file continue sur plus d’un km. Oui il y a de longues, longues lignes droites !! Bon il y a des supporters qui nous encouragent en allemand et en français avec un bel accent !!!


Passage au 25ème km sans encombre, je me souviens qu’à Paris, en avril, c’est à partir de là que j’avais commencé à ressentir des douleurs dans les cuisses. Là rien tout est en ordre et je marche entre 5’20“ et 5’22“ au km. Me reste 17km ou je me dis que, bien que long, en gérant bien l’objectif que je me suis fixé finalement à 3h45’ pourrait être à portée.


Passage au 30ème km ça fait maintenant 11km que je prends (mais c’est pour tout le monde pareil) le vent dans la figure, c’est vraiment long et usant. Mais bon pas de « mur » gel, boisson et quelques abricots secs et je poursuis. Ca tourne comme une horloge comtoise !! Depuis 2 à 3 km je commence à doubler (lentement et avec patience) des coureurs, il y en a qui ont l’air de souffrir, ce n’est pas gai pour eux……et toujours ce vent froid.


Passage au 35ème km première alerte, je ressens une légère gêne à l’arrière de la cuisse droite. Je connais ce signe. C’est un peu comme le tic-tac du réveil qui annonce au Capitaine Crochet l’arrivée imminente du crocodile qui lui a bouffé la main ! Rien de grave mais je sais d’avance que je vais avoir des soucis d’ici quelques hectomètres ! Je prends la décision de ralentir légèrement et de dérouler un peu plus. Ca paye…………………sur le moment


Passage au 37ème km, ça s’est réveillé pour de bon cette fois, la contracture est là et bien là. Ca tombe d’autant plus mal que j’entame la rampe du second pont. Je réduis la foulée et je tire sur les bras. Ca passe et je reprends même pas mal de concurrents. La descente, en revanche, va s’avérer nettement plus compliquée. Là ou je pensais me relâcher, ça coince. Mais je ne suis qu’à 5km du but, m’en fous !! Je ne m’arrête pas et je continue à la même allure.


On longe les bassins le long du Rhin, je vois le panneau du 40ème km !! Un coup d’œil au chrono, j’ai environ 2’ de retard pour boucler les 3h45. J’essaie d’accélérer, mais non impossible, mes jambes ne suivent pas, j’ai des crampes partout ! Cuisse droite, mollet gauche, plante du pied gauche et même orteils gauches qui se « rétractent » !! C’est pas possible ça !! Pas maintenant d’autant que j’ai pris soin de m’hydrater régulièrement, toutes les 10’ !


Passage au 41ème km, plus qu’un petit km mais qui va être long !! J’ai mal aux jambes mais je truve la ressource de me relancer, j’ai l’impression de courir avec des poteaux, comme si j’étais privé d’articulation au genou !! Je vois ma femme qui m’encourage avant l’arrivée. Un sursaut d’orgueil je me lâche, enfin comme je peux, et j’arrive au sprint.


J’ai loupé les 3h45 à 1mn 40……après coup j’ai vu que j’avais repris environ 25“ sur le dernier km !!


Je franchis l’arche d’arrivée en 3H46mn40, super content, je fais 3’ de moins qu’à Paris 6 mois auparavant ! Médaille, ravitaillement, remise du coupe vent finisher. Un bon point là-dessus, c’est un Ascics marqué au nom du marathon. Pour ça l’organisation ne s’est pas moquée de nous !


Je cherche du regard, la consigne pour mettre des vêtements secs. Je ne vois rien. Je me renseigne. Première mauvaise surprise, ça se trouve dans un gymnase à 300m mais il faut le trouver !  Ca n’est pas indiqué (heureusement je connais un peu…..).


J’arrive au gymnase. Il y règne un désordre indescriptible !! Tout le monde se croise, il n’y a aucune séparation entrée/sortie. C’est la bousculade !


Deuxième mauvaise surprise, les sacs sont entassés en vrac et en désordre (c’est-à-dire sans succession des n° de consigne) et le pire accessibles à n’importe qui. Je me renseigne à nouveau (3ème fois quand même) et on me dit que les premiers n° de consigne sont au fond du gymnase. C’est là ou j’ai eu de la chance, car les premiers sont rangés en ordre. De fait j’ai la chance de retrouver mon sac facilement. Ce ne sera pas le cas pour tout le monde !


Finalement je me change et je vais rejoindre ma femme et attendre l’arrivée de mon cousin.


Ce que je retiens, en définitive, c’est que l’organisation du point de vue de l’information (mésaventure du déclenchement du départ), de la gestion de la consigne DESASTREUSE, n’a pas été à la hauteur, loin s’en faut !


Je modère parce que c’était la première édition et qu’il faut bien « essuyer les plâtres », que le nombre de participants était bien au-delà de ce qui était attendu (près de 3 000 au lieu des environ 2 000 à l’origine) et que le parcours, pour ce qui me concerne, était très agréable. A voir donc sur la prochaine édition


Et pour finir il faut que je règle ce problème de crampes, parce qu’au niveau ressource j’avais les moyens de pousser sur les 4/5 derniers km.

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et bien Patrice et J-Marc encore bravo vous avez assuré comme des chefs  !!!!! super d'avoir vos CR  et un mauvais point a Strasbourg pour l'organisation mais comme tu dis J-marc c'étais leur premier donc il y a rodage .... presque 3000 participants c'est vraiment trés bien car a Metz c'était 1300/1400 je crois sans les relais  ....

Bon j’espère être avec vous en 2013 sur marathon ,  je recommence a m’entraîner régulièrement depuis 3 semaines et je sens du mieux mais ça va etre long ....

Bonne récup a tous les 2, que prévoyez vous maintenant comme objectifs ?

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Bon pour l'instant récup puis dans quelques jours vélo en mode récupération. Pour ce qui est de la course à pied 4 semaines d'abstinence, puis on réfléchira à l'objectif 2013 en fonction de la motivation, un autre marathon ou plus long (et moins vite). A priori, c'est la deuxième option qui m'attire davantage mais on verra si je suis encore affamé de course à pied à la fin de l'année... Ca dépendra aussi de mon envie d'un vrai objectif cycliste, ça fait maintenant plus d'un an que je suis en mode "vélo-santé"...

Bonne continuation à toi Sylvain, en espérant te voir sur un marathon en 2013.😆

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Salut Sylvain,

Pour moi c'était repos aujourd'hui. En principe reprise footing léger mercredi. Prochain objectif càp la course de Saint Nicolas 10km le 25 novembre, puis le semi de Villers les Nancy en mars 2013 (assez dur c'est presque un trail), sans doute un marathon au printemps, en avril je pense faut que je regarde ce qu'il y a au programme pas loin d'ici. Ardéchoise en juin en principe le 234 km. Et l'objectif principal : marathon de BERLIN en septembre 2013! Celui là j'y tiens.

Voilà pour les grandes lignes, sinon si j'ai le temps un premier triathlon un courte distance début juillet, mais ç c'est si j'ai le jus! Et toujours du vélo pour le plaisir et la glisse!!

Sinon dans quelques années j'aimerais bien faire les 100km de Millau..........mais là ce n'est plus la même musique.

Allez bonne reprise à toi et fais toi plaisir, le marathon c'est vraiment génial, j'ai déjà envie de m'y remettre!

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Non ça a changé. Ca part de Villers Clairlieu, depuis le stade Roger Bambuck. Descente sur Clairlieu, direction Maron en montée, bifurcation à droite et entrée dans la forêt de Haye, là , après un passage sinueux en descente, succession de lignes droites et de montées et descentes (c'est long et un peu monotone), à nouveaux un peu sinueux et à nouveau entrée dans Clairlieu près du bassin de la Sance, là c'est carrément c...nt tu zig zag sans arrêt sur 1km, et le final remontée vers le stade qui fait bien mal si tu t'es cramé.

Cette année ça rentrait dans ma prépa mararthon de Paris. Il y a eu un temps de M....de pluie et froid. Pas un bon souvenir malgré les 1h52.

En même temps j'aime bien le côté un peu "trail".

La côte dont tu parles c'est la montée de l'avenue Paul Muller, celle là je la fait quand j'ai du renforcement musculaire à faire, et après je file sur le plateau de Brabois et je redescend par l'avenue du général Leclerc, ça fait un circuit de 10km que je boucle généralement en 46/47mn. Sinon je la tape aussi en vélo et là c'est dur parce que c'est au départ de chez moi.......et le 12% comme échauffement 🙁

Sinon dans le genre belle course, mais je pense qu'elle n'existait pas encore quand tu étais à Nancy, c'est le Trail des Lumières. Ca c'est sympa, tu pars à la nuit tombante pour 30 bornes à la frontale et à 90% en forêt! Le gros pied. Je ne l'ai pas fait cette année because Strabourg, il y a eu une météo de malade 18°C à minuit!! fin octobre!

 

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Alors dans l'ordre :

1/ oui semi et 10km

2/ n'existe plus depuis cette année (elle tombait à pâques et l'Est Répu ne la sponsorise plus depuis qu'il a été racheté par le Crédit Mutuel) et remplacée fin septembre par les "foulées de l'embanie" au même endroit 9,5km

3/ oui mais jamais couru

4/ oui semi et 10, couru le semi cette année en 1h47 (le passage dans le fort c'est sympa)

5/ oui je suis inscrit pour le 25 novembre

6/ oui fait partie du trophée sport loisir

7/ oui idem ci dessus

Et puis il y a le semi de Nancy depuis 6ans

Y'a de quoi faire de toute façon, c'est plutôt en cyclosportive que ça manquerait......

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Bien joué Patrice et Jean-Marc, bravo à vous deux pour vos chronos améliorés.

Pour ma part, j'ai raté mon objectif de l'année --> http://elsangliator.over-blog.com/article-cr-grand-raid-de-la-reunion-un-coup-d-epee-dans-l-eau-112117032.html

Dommage... mais on ne peut pas toujours "gagner".

Retour à l'entrainement, plutôt course à pied, peut-être bientôt ski de fond, et vélo si les conditions le permettent, ce qui n'est pas vraiment gagné ces temps-ci !

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Super CR et belle aventure!!

Ca a du être vraiment galère à gérer la pluie. Je pense que l'humidité persistante n'a pas aidé pour tes problèmes de pieds. Ca me fais penser à l'Ardéchoise 2011 grosse pluie mais on a fini.

Cela dit parfois un abandon est salvateur, il faut, comme tu l'as fait, en tirer les leçons.

J'ai vécu sensiblement la même chose lors de mon abandon à l'Ardéchoise cette année, même si j'ai mis la flèche pour accompagner mon copain, je pense que le 270 était un poil long pour nous, en tous cas à l'allure à laquelle nous étions partis. L'année prochaine ça ira beaucoup mieux!

Bonne continuation à toi. Et encore bravo.

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Joli récit en tout cas  Emmanuel, l'ultra c'est vraiment une autre dimension;c'est intéressant de voir que tous les paramètres en apparence "extra course à pied" ont ici tant d'importance; j'espère que tu as digéré cette relative  déception (que tu as l'air de prendre avec philosophie, "l'erreur est une étape sur le chemin de  la solution")et que tu repartiras bientôt vers d'autres aventures...😆

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