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Qui a l'etd acte 2?


Cédric SAGANSAN

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bonjour à tous ,

il faisait presque beau par rapport à la pyrénéenne; ça doit être ma 8 ième participation  et la dernière remontait à 2005 et je vois une nette amélioration . Aucune attente au dossard, SAS de départ sans bordel, ravitaillement de très bonne qualité  ( de toute façon j'avais emmené le salé sandwich saucisson /jambon) avec énormément de bénévoles....douche chaude..... pour le repas , on s'en fout ...et un bon pain bagnat  à la mayo acheté sur place a fait l'affaire.

.....bon c'est vrai c'était encore un peu glissant ( avec la m^me bouse de vache à la mongie mais un peu moins épaisse qu'il y a quinze jours) et j'ai redoublé de prudence dans les descentes, et deux troupeaux de vaches dont une vraiment au milieu mais rien de dangereux car très bien signalé par un motard ......

Sinon coté "performance" je ne m'attendais à rien avec mon lumbago de début de semaine , mais l'avantage est que tu as tellement mal au dos qu'à aucun moment tu n'as  mal aux jambes (et je n'avais que 39*25 donc pas très "fluide".......bref je finis à peu près à la 420/430 ième à l'arrivée   et 501 en réel en 8h37........apéro bien arrosé en arrivant, repas et feu d'artifice à biarritz .....donc une belle journée

 

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39*25 finalement ce n'est plus raisonnable ....mais bon il y a 20 jours je n'avais que le 23 sur ma  cassette sram et je suis passé chez mon vélociste pour prendre une 12*25....comme il y a 10 ans (j'en ai 49 passée) et 10 kg en moins ....donc ma théorie 1 dent de plus/ 5kg + 1 autre dent/10 ans à partir de 40 ans ......ça me ferait donc 39*28 et ça me semble raisonnable

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Ciao Emile,

Pas pu vous voir hier, toi , JP et Eric car je suis arrivée à 17h30, mais j'ai fait un bout de chemin avec Pierre Gadiou (entre ARREAU et le dernier ravito que j'ai zappé: j'étais mieux à ce moment la: désolé Pierre je ne t'ai pas attendu à l'arrivée j'étais frigorifié...)

Super classement pour toi, Eris et JP!! je fini 2008 en 10h12 (4h46 de montée et 9h39 de roulage) mais je me suis arrété 2 grosse fois 10min à cause hypothermie (merci les pompiers à Argelès qui m'ont donné une couverture de survie bien utile pour la suite)

Sonia était à Argeles avec la femme d'Eric, elles t'on vu passé vers 10h30 un quart d'heure après Eric (je suis arrivé la 20min après, complètement gelé et trempé, j'en ai cassé un petit morceau de dent tellement ça claquait fort😛)

Sinon,bien trop froid et trempé dans les 2 premières descentes (comme tout le monde je crois...), et dire que j'avais tout laissé à Pau le matin pour ne garder qu'un coupe vent d'été 😲(A Optimisme quand tu nous tiens!!)

Bon, bref Etape un peu de guerrier (surtout dans la descente du Soulor et du Tourmalet en fait)

Pour le reste: un Tourmalet un peu en dedans (récup après ce premier coup de froid) et 2 descentes plaisantes (Les 2 dernières évidemment ==> sur la totalité je ne me suis fais doublé que 2 fois en descente (preuve que ça va beaucoup mieux de ce coté la): pour moi qui voulais le faire en 10h, et bien c'est presque fait, je suis quand même assez content d'être arrivé au bout en bon état (juste quelques petites crampes dans les descentes mais rien de méchant)

Pour l'organisation moi je dis très bien (je dois dire que le repas du soir je m'en fiche un peu après 10h00 moi je rentre au chaud😉)

A bientôt (je suis à Luchon pendant 4 jours, si je bouge vers PAU je te téléphone)

Recupères bien

Michel

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Salut J-Pierre

Je vois que la communauté "Immortelle" est rentrée à bon port et avec de bonnes perfs en plus, Bravo

 je crois que l'expérience de la Pyrénéenne t'a aidée à choisir le bon équipement au matin.

Toi qui n'aimes pas les descentes ça n'a pas du être marrant (Le Tourmalet à été particulièrement "merdique", mais personne ne m'a doublé la, je suis resté à gauche tout du long et à fond, moralité à St Marie une crise de claquage de dent au ravito je te dis pas...)

J'ai juste été trop optimiste au niveau meteo (c'est pas faute d'avoir préparer plusieurs options, mais le matin en mettant le nez dehors et au vue de meteociel j'ai été un poil Optimiste avec mon équipement digne d'une cannicule) ==> y en a qui on véçu 2011 et pas les autres

Bref c'est pas si grave j'ai fini en très bon état et en 10h12 chrono: de toute les façons fallait bien rentrer à Luchon alors...

Promis, la prochaine fois le petit sac à dos resté à l'hotel sera sur mon dos

A bientôt

Michel

 

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Si un peu quand même les 55 premieres bornes...😉

Bon effectivement une meteo previsible dans les Pyrénées mais que l'on refuse de voir venir (vu le temps de la veille et des prévisions pas si négatives), faisant faire de mauvais choix vestimentaires, mais quoi c'est le jeu non?

Bon je dis ça aujourd'hui, mais hier je me suis maudis 100 fois (merci à cette couverture de survie bien utile "bourée" sous le coupe vent light d'été "merdique")

Ceci dit, bien moins pire qu'à le pyrénéenne je crois.

Mais le plaisir de finir à été d'autant plus grand pour moi que les 60 derniers kilomètres à partir de St Marie ont été gérés parfaitement sans trop de souffrance et même avec un petit chrono du haut de Peyresourde jusqu'à la ligne (18 minutes avec un bon 40 et sprint sur le dernier kilomètre: on peut jouer en toute circonstances)

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Et voilà ! Pari tenu. Entre joie, fierté et déjà nostalgie du devoir accompli ! Mais ce ne fut pas si simple d'enchainer cet acte II après l'acte I à 6 jours d'intervalles, avec une semaine de boulot intense entre les deux... Et puis quel Acte II, quelle épreuve, comme si les cieux avaient décidé de tout faire pour nous compliquer la chose !

Mais la tenacité, la folie (un peu si quand même) ont eu raison des conditions climatiques. Que tous ceux qui n'ont pas pu finir, et que je salue au passage, me pardonne d'étaler ma fierté... Je les félicite d'avoir tout essayé. Un grand homme a dit : "le courage, c'est de savoir renoncer". Non je n'ai pas eu le courage de renoncer. Vous avez eu le courage de mettre pied à terre à temps sagement pour que l'irréparable n'arrive pas ! Bravo.

J'ai eu la lacheté de laisser parler mon ego pour aller jusqu'au bout de moi même et me prouver, quoi d'ailleurs ? Euh... rien. Je n'ai pas pris le grand plaisir que j'avais pris dimanche dernier, au lieu de ça, j'ai pris le stress et la peur de la chute, j'ai grelotté comme tous dans les descentes, et les faux-plats. Non je n'ai pas pris de plaisir. Je me suis enfermé dans mon exercice sportif, à scruter mon cardio, à mesurer mes temps, à m'alimenter quand et où il fallait... Vanité peut-être, que sais-je ? 

J'avais commencé cette journée par un optimisme béa, en faisant confiance à dame météo, qui avait prédit un temps calme. Pau, 15 degrés, je ne prends pas le coupe-vent, juste des manchettes. Grossière erreur !

Départ dans le deuxième sas, rapide, mais route sèche. En à peine plus d'une heure à vive allure nous sommes à Laruns au pied de l'Aubisque à presque 35km/h. Pour le moment, c'est idéal !

Et puis l'ascension de l'Aubisque se passe sans encombre jusqu'à Gourette, je ne m'enflamme pas, mais je monte plus vite que la Madeleine la semaine dernière. Est-ce l'effet du deuxième sas, mais j'ai la sensation de me faire moins doubler. L'analyse de mon ascension me montrera que c'est parce que je monte incroyablement plus vite (>1000m/h). A partir de Gourette le froid, l'humidité puis le brouillard et enfin la pluie nous accompagnent sur la partie finale dont j'avais un peu sous-estimé la difficulté (ma dernière visite ici date de plusieurs années).

L'enfer commence alors ! La route est gorgée d'eau et sans aucune visibilité, la route en balcon qui descend en direction du Soulor est une patinoire. Au premier passage canadien, le concurrent qui me précède se retrouve par terre !

La courte remontée sur le Soulor ne me permet pas de me réchauffer et c'est parti pour la longue descente vers Argeles. Je suis trempé, congelé, tout tremble, même après Arrens Marsous où nous retrouvons une route sèche, je suis scotché et n'avance plus. Ravitaillement copieux impératif à Argeles. Gentillesse des bénévoles, ils sont trois autour de moi pour m'embuquer, me cajoler. Pas le temps de trainer, il faut se remettre en route. Et on m'annonce du soleil derrière le Tourmalet ! J'en rêve déjà en espérant comme la semaine dernière que par magie les nuages vont se déchirer...

Hélas en direction du Tourmalet, le brouillard semble bien accroché à mi-pente. On verra bien ! Un petit paquet se reforme après le ravito en direction de Luz. Ca roule un peu trop vite à mon gout, car les muscles sont engourdis par le froid, mais je préfère faire l'effort pour rester au contact et ne pas me retrouver seul pour remonter l'interminable vallée, où on est toujours en prise. Luz, c'est parti pour la deuxième ascension, la plus sévère de la journée. C'est la quatrième fois en un mois que je grimpe ce versant. Je sais parfaitement comment je dois le gérer : en dedans jusqu'à Barèges, après il y a 2 km très durs avant le parking de la station de ski. Ensuite la nouvelle route offre un certain répis, il y a même un léger replat. Et puis c'est le final soutenu d'abord et ses 2 derniers redoutables kilomètres où on ne passe qu'en serrant les dents. La pluie fouette mon visage. J'aperçois la webcam sommitale et je fais un grand geste de la main créant l'ilarité les courageux spectateurs, mouillés comme nous, et gelés plus que nous !

Descente dantesque... Je me surprends tout de même à prendre des risques, je connais chaque virage par coeur et dans le brouillard je sais où prendre de la vitesse sans me mettre en danger. Merci une fois de plus mon choix jante alu + pneu. Je n'envie pas les malchanceux en boyaux tétanisés au bord de la route en train de réparer... In-ter-mi-na-ble descente. J'ai l'impression d'avoir plus froid que 2 semaines plus tôt lors de la Pyrénéenne où pourtant nous avions eu pluie et neige mêlées au sommet. Mais je suis moins couvert !

Ravitaillement impératif à Ste Marie où un bénévole veut me forcer à aller me réchauffer sous la tente ! Je n'arrive pas à m'arrêter de grelotter, je ne peux pas articuler une parole. Je sais qu'en repartant je vais pouvoir me réchauffer rapidement. Hum, les longs faux-plats et quelques raidards avant Payolle n'y suffiront pas. Le coeur ne veut pas monter tant que je n'aurai pas retrouvé mes calories. Et le brouillard et la pluie sont de retour. Non je n'aurai pas réussi à retrouver mon rythme avant le col d'Aspin. Ce n'est qu'une impression, facheuse, car je perds un peu le moral... Je crains une baisse de régime dans le final. Le dépouillement de mon ascension démentira cette impression puisque je suis encore au dessus de 950m/h, limite haute de mes capacités.

Je ne peux profiter de la magnifique descente du col d'Aspin dont j'aime -par temps sec- les épingles sinueuses... Il faut rester vigilant et anticiper chaque courbe avec doigté. Les prises d'angle doivent rester limitées. Tel le funambule sur son fil, nous glissons adroitement dans un équilibre totalement précaire, et fort heureusement, sans encombre  jusqu'au pied.

Arreau, pied de la dernière difficulté. 18 km au but, sommet du Peyresourde. Je retrouve l'énergie et le mental. Il doit faire moins froid, ou je m'y suis habitué. Je n'y pense plus. Nous sommes un petit paquet de 3-4 à se relayer à régime modéré avant d'attaquer les pentes plus sévères à 8 km du sommet. Je n'aime pas cette ascension, où on devine sans jamais voir l'objectif du col. La route large apparait faussement facile. Certaines pentes sont pourtant sévères, comme le rappellent les panneaux d'indication kilométrique. C'est mon point fort, le final, je me décide à tout donner. Le coeur monte, je reprends confiance, et le souvenir de l'ascension de la Toussuire dimanche dernier me galvanise. J'appuie, d'abord en souplesse 34x25, puis je me risque à me violenter un peu en tombant une dent tout en maintenant ma cadence de confort de 70t/mn. Je suis à bloc, maintenant je ne gère plus, je me fais enfin ce plaisir. Ce sont 8 km de grand bonheur que je m'offre, il faut bien ça, et je bascule au sommet euphorique. Une folle descente m'attend. J'en connais parfaitement chaque recoin. 5 km sous le sommet la route est sèche, le compteur indique 75km/h dans les longues lignes droites, je me fais là aussi ce petit plaisir.

Luchon, les barrières, les spectateurs massés qui nous acclament. Nous sommes trois, tels trois échappés, nous nous prenons au jeu d'un sprint fou. Je me fais distancé par le plus frais, mais je m'offre le second ! Ce n'était que pour la 263ème place au classement !

Bilan : 289/4400 à l'acte I, 263/3800 à l'acte II, j'attends avec impatience le classement du challenge Madone !

 

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Pour ma part, dans l'ordre, voici les galères :

- La sciatique qui se réveille dans l'Aubisque et qui me fera faire tous les autres cols en gérant les crampes de la jambe gauche (cuisse et mollet).

- Hypothermie dans les descente de l'Aubisque et du Tourmalet. Arrêt d'une demi-heure à Ste Marie de campan.

- J'ai plus pissé que bu !! 6 arrêts pour 5 bidons. Mais je ne supporte pas le froid d'où beaucoup de vaso-contriction. Arrêt pipi comique à St Marie : je tremblais tellement que je me suis à moitié arrosé...

- Nausées à partir d'Argelest-Gazost. Je ne vais pouvoir avaler que 3 gels et 1 bidon entre Argelès et Bordères. Tourmalet et Aspin ont été de longues galères parcourues à 8/9 km/h, sans force.

- Crevaison à 2 kms du sommet du Peyresourde.

 

Dès Argelès, je suis passé du mode "objectif performance" à "objectif finisher". C'est la satisfaction de la journée.

 

Ma piètre performance n'est pourtant pas imputable à toutes ces tracasseries. Dès l'Aubisque, alors que je suis encore bien, Pascalou, mon comparse pour cette affaire, me rattrape et me largue. Il est pourtant parti un sas derrière moi. Les 30 derniers jours, sans entraînements spécifiques, avec peut-être trop de courses, plus des pépins de santé (angine, insomnies), ont grandement préparé le terrain pour cette contre-perf. Je m'étais donné 9h comme objectif perso, tout en espérant faire autour de 8h30. J'en suis loin...

Faudra revenir pour revanche perso !

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Pour ma 1ère participation à l'EDT, j'en ais chier comme tout le monde. J'ai particulièrement horreur du froid et de l'humidité. Les descentes de l'Aubisque et du Tourmalet ont été stressante avec la flotte et le froid, ma vitesse de pointe a été de 40 km/h dans ces 2 portions, mains gelées je me suis fait doublé par plein de gars. Je suis pas super bon descendeur en plus donc là pour le coup j'en ais bavé.

Honnêtement il me tardait d'attaquer les montées pour me réchauffer, et j'ai franchement apprécier les 4 ascensions. Je connais le Tourmalet et l'Aspin, mais pas Aubisque et Peyressourde. J'ai trouvé ces 2 montées superbes et particulièrement l'Aubisque que j'ai bien aimé, Peyressourde aussi mais j'ai eu plus de mal avec les crampes sur les 2 dernières bornes.

Comme pas mal de monde je pense, j'ai été pas loin d'abandonner 2 où 3 fois et surtout à Argelès Gazost. Mais j'ai appelé ma copine et entendre sa voix me rassurer, me remonter le moral, et limite m’engueuler de pas abandonner, ça c'est le meilleur des remontants. Y'avait une belle banderole dans l'Aspin et ben y'a pas de doute avoir le soutien des siens c'est bien ça le plus beau.

Je me suis dit plusieurs fois aussi, que j'attendais tellement cette course, que je la prépare depuis tellement longtemps, 7 longs mois pour abandonner, non c'était pas possible de finir comme ça malgré les conditions.

Finalement je la termine, au courage, lessivé par ces crampes et ce froid. C'est la 1ère fois que je fais 200 bornes et plus de 5000 m de D+. Je dois vraiment apprendre à descendre mieux dans le froid ou sur le sec, parce que c'est dommage de perdre plein de places en descente alors que je double beaucoup en montée. Ma foi je vois que je tiens le coup un parcours dur et que j'aime la grimpette. Je me classe 1630 ème en 9h50m53s et 788 ème en 4h08m38s sur le challenge des grimpeurs.

Pour une 1ère je suis content, je reviendrai surement sur les prochaines, d'ailleurs j'en espère une dans les Alpes du sud car, c'est à domicile et il fait beau et chaud en principe ^^.

Enfin mention spéciale à tous les bénévoles qui font un travail énorme et qui ont été là toute la journée pour nous soutenir et nous ravitailler, vraiment bravo.

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Bonsoir,

j'etait de la partie ..

Quelle galère !! le matin au réveil , il faisait tellement beau que je n'ai pris que le gilet d'été ..le coupe vent , les manchettes sont rester dans la sac ..quel couillon que je suis ..

A ste marie de campan , j'ai cru que j'allait y rester dans cette tente ..mais que faire ? attendre le bus ...

Il n'y avait plus qu'à repartir ..

Pour ce qui est du classement:

1094° en 9h20' et 4h18' de montée ..

A l'an prochain

Au fait quelqu'un peut il me donner le dénivellé

 

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