Damien PAPILLON Posté le 29 décembre 2018 Posté le 29 décembre 2018 Je tombes dessus par hasard c'est sympa 😆
sorin PHILIPPE Posté le 29 décembre 2018 Posté le 29 décembre 2018 Un vrai bonheur de revoir ces étapes notamment De Las Cuevas.
Damien PAPILLON Posté le 29 décembre 2018 Auteur Posté le 29 décembre 2018 j'ai pris beaucoup de plaisir à revoir cette étape, De Las Cuevas très fort. J'avais 14 ans donc pas le même regard que ce soir.
Eric HENNUY Posté le 29 décembre 2018 Posté le 29 décembre 2018 J'en profite pour rappeler que c'est la cyclosportive Isard-Bahamontès qui a la première exploité la montée d'Hautacam et l'a fait connaitre à de plus illustres organisateurs...En 1994 j'y avais participé et on été fiers que le TDF y arrive en haut😇On peut faire le même parallèle avec la Planche des Belles FIlles en Haute Saône.
Eric HENNUY Posté le 29 décembre 2018 Posté le 29 décembre 2018 Elles ne sont pas si vieilles que çà, la preuve elles grandissent encore, l'arrivée est jugée de plus en plus haut!😉Par contre, d'accord, elles se font grimper à tout berzingue🤐
Jean-claude TENDIL Posté le 29 décembre 2018 Posté le 29 décembre 2018 J'y étais aussi mais il me semble en 1992 pour le trophé d'or , bref , peut-être ma mémoire .Bjorn Riis au Tde F sur la plaque ça c'est sûr , c'était la grande époque de l'EPO .
Jean-Pierre MARTINEZ Posté le 30 décembre 2018 Posté le 30 décembre 2018 Pour ta gouverne,c'est presque tous les jours de vacances que l'équipe vintage repasse ces étapes.Avant hier c'était 1997,avec virenque comme invité et juste l'année avant l'affaire Festina,A noter que malgré quelques rappels à cette affaire Virenque est resté digne.Etape que virenque avait remporté.Hier j'ai revu avec plaisir cette étape avec l'arrivée à Hautacam,le passage dans ma ville de Tarbes et surtout les petites routes (où ça roulait à 55-60 k/m) ,et pourtant pour les avoir prises en coures ou à l'entraînement,je n'ai jamais roulé à cette vitesse,car de Tarbes à Hautacam c'est tout en faux plat montant. Par contre je ne me souvenais plus de la victoire de Leblanc,qui soit dit en passant est celle d'un succeur de roue ,m:ême s'il a consenti a prendre un relais de 100m au maître Indurain.Belle course par contre de De las Cueva que je voyais finir 2eme au général ,Hélas il manquait quelques secndes. Un très beau moment de course hélas terni par ce P.Chène qui hurlait comme un barjot au micro,ça fait rien on regarde avec plaisir et nostalgie,surtout quand je compare les positions des coureur à cette époque, sur les vélos qui me faisaient rêver,avec les positions des coureurs d'aujourd'hui,qui ne ressemblent à rien.Bref une autre époque.
Jean KERDUDO Posté le 30 décembre 2018 Posté le 30 décembre 2018 Il manquait que le S o l e i l pour la victoire de Luc Leblanc ! 🆒
Damien PAPILLON Posté le 30 décembre 2018 Auteur Posté le 30 décembre 2018 Merci pour l'info, je ferai + attention la prochaine fois. P Chène un peu fou c vrai, les vélos me font rêver aussi, j'aimerai en posséder un. On voit que Indurain avait une petite bague pour rehausser sa potence, et De Las Cuevas à un vélo avec une dominance de gris par rapport à mes souvenir des maxi sport bleu et gris ( peut être un vélo spécifique) si quelqu'un à des infos?
Michel CLAMOT Posté le 30 décembre 2018 Posté le 30 décembre 2018 Leblanc gagne, mais heureusement que Indurain, fait tout le boulot sur la totalité du col pour revenir sur pantani et ensuite mener train d'enfer pour creuser les écarts avec ses poursuivants au classement, leblanc était plus frais qu'indurain. Mais quelle puissance au train l'espagnol..!
Damien PAPILLON Posté le 30 décembre 2018 Auteur Posté le 30 décembre 2018 Il y a pas mal d'histoire de ce genre avec Luc Leblanc
Jean-claude TENDIL Posté le 30 décembre 2018 Posté le 30 décembre 2018 Je crois que c'est sur cette montée que Leblanc dit à Indurain "Pantani mal , Pantani mal" pour le motiver et creuser l'écart .Quand tu joues le tour la règle c'est de laisser l'étape , bon là Leblanc , n'a pas bien aidé Indurain .
Jean-Pierre MARTINEZ Posté le 31 décembre 2018 Posté le 31 décembre 2018 Hier encore ,Tour 1993,victoire de Chiapio au val d'ouron,avec une super remonté de fignon,et devant ,encore Indurain avec l'italien dans la roue et rares relais,mais pas d'hésitation pour baiser le basque au sprint ,Indurain n'était pas content,et chène de dire le résultat est conforme à l'esprit sportif?Vraiment il était nul ce chène.
Julien JAMET Posté le 31 décembre 2018 Posté le 31 décembre 2018 Chêne nul. Thierry Adam nul. Patrick Chasse nul etc ..... Personne ne trouve grâce aux yeux de téléspectateurs. Ben, allez y les gars commenter une course de velo pendAnt 5h ..... C'est si facile
Eric HENNUY Posté le 31 décembre 2018 Posté le 31 décembre 2018 Jean Pierre, Jaca- Val Louron c'était en 1991, pas 93😉FIgnon était revenu de loin dans le Tourmalet, avait flingué son maillot jaune Leblanc dans l'Aspin, mais été resté à distance du duo Indurain - Chiappucci, lachant Mottet à la fin. Le seul qui avait limité les écarts dans les derniers km c'était Bugno qui avait monté Val Louron le plus rapidement. Si il avait accompagné Indurain et Chiappucci, le sort du Tour aurait pu être différent...Dans le remontée de la vallée du Louron il vallait mieux être deux: je pense qu'Indurain était heureux à l'arrivée à Val Louron, c'est pour çà qu'il à levé la main; à lui le maillot jaune et à Chiappucci la victoire.C'était le début du règne du grand Miguel pour 5 ans.Quant à Chiappucci il réalisa un plus grand exploit encore l'année suivante en 1992 lors de l'étape St Gervais-Setrières avec un cavalier à partir du pied de l'Iseran. Cette étape comportant le plus important dénivelé de toute l'histoire du Tour.
Bernard PIGUET Posté le 1 janvier 2019 Posté le 1 janvier 2019 MERCI pour l'info, mais si mes souvenirs sont bons, ils nous l'ont passée l'an dernier (OUI on peut le dire), dans l'attente d'une étape en direct. Et j'avais regretté une PUB ou autre, ou plutôt le reportage commence, et ils sont déjà dedans, et je n'avais pas pu les chronométrer. Mais qu'importe, car l'arrivée n'est jamais au même endroit, car les cyclosportifs avaient inaugurés cette redoutable ascension en 1986, pour découvrir que c'était plus difficile que l'Alpe d'Huez.
Jean-Pierre FOURNIER Posté le 1 janvier 2019 Posté le 1 janvier 2019 j ai vu quelques étapes de ce genre , les gaillards se tapaient des étapes de 250 bornes ,quasiment tous les jours , maintenant 2018 il n y a que des petits jarrets .....ils montaient nettement plus en force que maintenant
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