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Comment redonner de l'intérêt aux courses


Olivier LEBOEUF

Messages recommandés

Voir le sujet en actualité sur le site.

On y retrouve :

- l'idée de Tinkoff d'entrée payante aux courses sur circuits/ tronçons qui permettraient de faire payer l'accès...🤑

- l'indemnisation aux clubs formateurs. N'était ce pas le cas auparavant?🙄

- l'amélioration de l'identification des coureurs. Sur certains maillots, il ne reste plus guère de place.😕

 

Mais à priori, rien sur la crédibilité du cyclisme... Bien dommage si c'est le cas.📢

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Virons les oreillettes et on retrouvera :

- des schémas de courses moins stéréotypés.

- des échappées qui auront plus de chances d'aller au bout.

Peut être ajouter quelques bonifs sur le parcours pourque les grands se découvrent avant le dernier km du dernier col.

Le cyclisme est devenu trop monotone ces derniers temps. Surtout sur les grands tours et notamment le TDF, où après l'échappée "publicitaire" de quelques coureurs, les cadors se jouent la gagne sur le dernier KM. Plus besoin de rester des heures devant la TV pour assister à une course palpitante 😠.

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Mouais, les oreillettes, c'est un faux débat. Ces dernières années, elles n'étaient présentes que dans les courses World Tour. Cela ne résoudra pas la problématique des courses ennuyeuses. Dans les années 90, le problème était déjà là alors qu'il n'y avait pas d'oreillette. 

 

Tinkof réfléchit uniquement avec l'objectif économique. Il veut gagner de l'argent.

Alors qu'il faudrait rendre les courses plus attrayantes pour avoir de meilleurs audiences, ce qui conduira à plus de sponsors, plus d'argent pour les organisateurs qui pourront en reverser une part plus importante aux équipes...

 

La première chose à faire, c'est réduire le nombre de coureurs par équipe. 6 sur les courses World Tour, 5 sur les autres. Avec le professionnalisme, les équipiers sont devenu trop forts. Il faut donc en avoir moins. On se retrouvera plus vite avec les leaders esseulés et ils hésiteront moins à attaquer s'il n'y a plus d'équipier pour rouler sur eux.

 

Mais cela ne peut s'inscrire que dans une réforme globale, car il faudrait des équipes avec moins de coureurs (20 à 25 pour le world Tour), et ça, pas sûre que les cyclistes pro soient près à l'accepter.

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interdire les oreillettes ne changera rien. les équipes embrayeront un peu plus tot et ou laisseront moins d écart avec les échappées. la stratégie globale ne changera pas.

limiter le nombre de coureur par équipe a une chance très très très faible à de faire changer les choses. car meme avec moins de coureurs par équipes s'il y a 4 ou 5 sprinteurs qui veulent en découdre  ça fait potentiellement beaucoup de monde pour rouler derrière les échappés.

je pense que c'est le profil du parcours qui decide. mais on ne peut pas faire que des courses pour  grimpeur, il en faut pour tout le monde.

 

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Pour moi y a pas photo, il faut virer les oreillettes! Certes cela serait moins serein psychologiquement pour les directeurs sportif et les coureurs. Mais cela mettrait du piment dans la course. Personnellement je ne regarde plus une étape de plat sur le tdf. Je m'ennuie, le peloton joue avec les échappées, et dans les derniers km après une gestion des écarts quasi chirurgicale il fond sur sa proie. Depuis combien de temps n'a t'on pas vu une échappée au long court arriver au bout? Cherchons bien. Je me rappelle De jacky durand, cédric vasseur, ... Et depuis l'avènement des oreillettes plus rien. Et je me demande si laurent jalabert(1995) ou claudio chiapucci(1992) auraient pu faire leur échappée historique sur le tdf avec la présence d'oreillette? A méditer.🙄

 

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C'est peut-être à cause des oreillettes que je regarde rarement du cyclisme sur route à la télé, je trouve ça assez chiant à regarder... La piste est plus intéressant au final, ça dure pas longtemps, ça roule vite et au moins ils s'arrache sur les derniers mètres 😆

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Logiquement si on reduit le nombre de coureurs par equipe celles-ci ne vont embaucher que les tout meilleurs à prix d'or et il faudra etre tres riche pour gagner (exit les petits comme Europcar ou son nouveau nom, joublie ...) mais comme ils vont en licencier il sen sortiront.

Mais que faire des coureurs qui perdent leur contrat ?

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Il faudrait faire plus  de "spectacle" en rendant les courses nerveuses ; pour cela il faut des parcours intéressants ; supprimer le plus possible les "autoroutes". Quitte à réduire la longueur des épreuves,  trouver des routes étroites avec de belles côtes et des descentes spectaculaires,  de courtes parties pavées ou empierrées, il faut que ça joue des coudes pour se placer  avant ces secteurs (comme avant la trouée d'Arenberg)... mais on retrouverait toujours les mêmes pour la victoire ... et les problèmes d'organisation ...

 

Personnellement je n'ai pas envie que les coureurs prennent trop de risques, donc , pour le spectacle,  je me contente de quelques classiques en particulier des flandriennes et des étapes de montagne des grands tours.

 

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Réduire le nombre de coureurs par équipe, surtout dans les courses par étapes, me semble intéressant. Si on garde le nombre de partants, cela fera plus d'équipes au départ. Et ces équipes "moyennes", sans grand favori, pourraient plus facilement dynamiter la course sans risquer de tout perdre. Au contraire, elles gagneraient en notoriété et en sympathie auprès du public.

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C'est vrai que le problème est préoccupant, comme dans tous les sports d'ailleurs, et à l'occasion du 100e anniversaire du TDF ( cela fait déjà 12 ans), voici ce que je m'étais permis d'écrire :

 

Que peut-on attendre de ce prochain centenaire ? Malheureusement rien, il manquera 1200 km, quelques étapes de caractère, et bien sûr des champions, des vrais, qui pourraient s’opposer à l’insipidité des dernières éditions.

 Il n’y aura pas un « Aigle de Tolède », qui pour couper la solitude de ses ascensions, attend le reste de la troupe, en achetant une glace au sommet d’un col, car il n’y a plus de place pour les poètes, et je pense qu’à l’oreillette on ne le mettrait pas en garde sur les pièges du change Pesetas/Francs, on lui signifierait tout simplement son licenciement immédiat pour grave faute professionnelle. Pire encore, ce fantasque « Picador », n’aurait pas aujourd’hui l’attention d’un contrat, en raison de l’incertitude de son profil de carrière, car quand il délassait ses chaussures c’est qu’il abandonnait et rien alentours ne pouvait modifier sa décision. Il n’y aura pas non plus de « Vigneron de Cabasse » pour continuer sa route cuir chevelu ouvert. Pas non plus de « Lion des Flandres » équipant son cintre d’un fort élastique qui, en le reliant à ses dents, lui permettait de soulager sa clavicule fracturée, et de terminer 2e du giro 1956. Et encore moins de « Brambille », pour vider ses bidons sur la route en s’invectivant « Tu ne veux pas avancer vieille carcasse, alors tu ne boira pas ».

Douloureux constat, il n’y a plus place aux fantaisies, à la rigolade, maintenant on gère une carrière, en clair il faut pédaler utile, éviter les gestes inutiles, un coureur pro est aux ordres, il est devenu l’ouvrier modèle appliquant à la lettre la dictée issue de cette fameuse oreillette, progrès dont on vante tant les mérites. C’est ce que n’a pas compris JML directeur de la société du TDF, quand il reproche au « Roi lion » ou « super Mario » de ne pas terminer ses TDF. Mais pourquoi le ferait-il ? Pour être remarqué et applaudi ? Mais on n’applaudit pas et ne remarque personne, dans un grupetto qui finit sa journée de travail en pensant déjà à celle du lendemain.

Constat toujours valable, et de plus en plus notable, c'est un métier et point final. Et le spectateur ou supporteur un pigeon. Mais cela est valable pour tous les sports ou l'argent a de plus en plus de pouvoir.

 

 

 

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