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Votre 200.


Invité

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Bon ben c'est fait: 206km 1400 de déniv avec un vent de fou et de belles averses ce matin du coté du Grand Pressigny

Cela faisait longtemps que je n'avais tant roulé (surtout en Avril)

la moyenne n'est pas terrible (25km/h) mais avec ce vent et à 5 ce n'est pas si mal sachant que je n'ai pas trop forcé

(et heureusement) car les jambes sont quand même un peu essorée ce soir.

Beau parcours surtout au début (entre Vienne et Indre&Loire ==> jusqu'à Chinon: magnifique sous le soleil retrouvé)

par contre entre les km120 et 185: que du vent de face ou 3/4 face dans une plaine sans arbres...

Bref, dur mais pas insurmontable, à refaire d'ici peu mais dans d'autre conditions et avec un groupe plus conséquent pour voir

Je préfère quand même ce genre d'effort long en montagne😉

Michel

 

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A part le départ, tu as vraiment eu un temps magnifique ce qui n'enleve rien à ta performance. 300 tout seul, je crois que je trouverais le temps long quand meme. Moi je ronge mon frein car je ne peux pas rouler en ce moment du à des problèmes familiaux. Profitez bien de ce beau temps

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Bravo Joachim, sacré performance, surtout quand je vois comment tu t'alimentes. Si peu sur une telle distance, c'est impressionnant.

Je me rends compte de ta performance puisque j'ai fait le BRM 300 de Gif hier, mais à 25km/h de moyenne. Première fois que je dépasse les 300km.

Je l'ai bien mal préparé puisque je n'ai pas du tout réussi àdormir, le premier groupe partant à 1h15 de Sceaux, à minuit et demi, sans avoir fermé l'oeil, je décide de me sortir du lit et de les rejoindre. Et j'ai bien fait. En ce samedi soir, le rendez vous près du RER voit défiler tous les fêtards alccolisés de retour avec le dernier RER.

Ayant déjà eu des problèmes avec des jeunes de cités qui ont essayé de me faire un "bike jacking" en passant en bas de la cité de la butte rouge, et comme ils pullulent dans les rues à cette heure là, on est mieux à 5 que seul. (On évitera d'ailleurs la catastrophe à Rambouillet avec trois jeunes bourrés qui ont voulu nous intercepter en se mettant au milieu de la rue...🙄)

20km tranquille dans la nuit pour rejoindre Gif à 2h30. Ca laisse le temps à tout le monde de prendre son café et sa tranche de cake et pour ma part de rencontrer Benoit Felgines du forum. On discute un peu, même s'il doit s'occuper de distribuer les boissons. Il m'apprend qu'on est 12 du club à être inscrit sur ce BRM. Dire qu'il y a une semaine, seulement deux avaient prévu de le faire. Beau score pour un club qui ne compte qu'une soixantaine de licenciés, sachant qu'on doit être qu'une quinzaine seulement à faire les BRM cette année! 

3h00 : départ de gif, on croise le deuxième groupe du club qui arrive. Ils partiront 5 minutes après et nous rattraperont à la première pause pipi. Première vraie expérience de nuit pour moi. Je n'avais jusqu'alors roulé que deux heures de nuit au mieux et en ville. Et là, les conditions sont mauvaises. Presque out le monde s'est fait avoir. Merci metéo France : Ou sont les 5°C degrés et la belle nuit étoilée annoncés?

Beaucoup sont venus sans surchaussures, gants courts, avec seulement un maillot long. Merci le gilet de sécurité pour faire office de coupe vent. Prévoyant, j'étais en mode "escamotable": jambières, manchettes sous le maillot long, et trois couches : sous maillot, maillot court et maillot long. Je n'ai pas froid sauf aux doigts n'ayant pris que les courts courts.

Sorti de ville, il fait 0°C, un brouillard à couper au couteau, et une humidité qui imprégne les vêtements et pénètre jusqu'aux os. Comme il ne devait pas pleuvoir, personne n'a pris de kway. On ne voit pas grand chose, tout le monde enlève ses lunettes, même les myopes (moi le premier). Les conditions de visibilité sont très réduites malgré le fort éclairage dont on dispose. On fait gaffe, un bidon est lâché devant, la chute est évitée de peu, mais celle-ci interviendra dans une traversée de bois avec une route mauvaise, un ami tombe juste à droite devant moi, il tombe sur ma roue avant, mais j'arrive à déclipser à temps et me rattrape avant de finir à terre. Etonnament, personne ne s'arrête. Je suis le seul à m'être stoppé. Un peu secoué, il vérifie que son vélo n'a rien puis on part en chasse de notre groupe dans la nuit noire, en serrant les fesses sur cette mauvaise route où on ne voit pas grand chose. Personne du club n'avait compris qu'il s'agissait d'un membre de notre club qui était tombé. Quand bien même, quelque soit la personne tombée, ils auraient du s'arrêter. Bref, petite explication, petite remontrance tout en roulant; beaucoup ne savaient même pas que quelqu'un était tombé!

Avec ce froid, aucune envie de boire, mais il le faut alors je me force à prendre des petites gorgées et ai de suite envie de pisser. Personne n'arrive à boire correctement mais tout le monde a tout le temps envie de pisser avec cette très forte humidité : trois arrêts pipi en 4 heures, ça fait beaucoup! Pourtant, si j'avais été seul, j'en aurai fait au moins 5!

Premier contrôle après 100 bornes alors que le jour commence à se lever à 7 heures. Si la chaleur du bar/café fait du bien sur le moment, la reprise sur le vélo est rude. On essaie de se réchauffer, mais un petit vent froid nous en empêche. 

La bonne surprise vient à l'heure du petit déj' après le second contrôle : un ami camioneur d'un des membres du club nous attend pour un ravito déjeuner : pain, jambon, rillettes, boudin, chips, coca, café. A 9h30, cela pourrait rebuter mais je n'ai pourtant qu'une envie : manger salé! Je ne mange que du sucre depuis 1h du mat', ce qui me commence à fortement me dégouter. Tout comme l'état de nos vélos, très sales, des vers de terre collés partout sur le cadre (!), de la boue et de la poussière noire partout, on dirait qu'on a fait du cyclo-cross cette nuit!

L'heure qui suit est difficile, avec une route toboggan et la digestion, beaucoup n'avancent pas, mes jambes tournent bien, on arrive au 150ème Km, j'en profite pour partir devant et roule bien, on lâche souvent nos compagnons de club avec deux amis pour rouler à notre rythme, ce qui nous permet de faire un arrêt pipi pour les reprendre. 

Avec la température qui remonte, tout se passe merveilleusement bien jusqu'au 230km. On enlève, jambières, manchettes, maillot long, ça roule à un bon rythme et soudain un énome coup de fatigue s'abat sur moi. Une grosse envie de dormir contre laquelle je lutte difficilement. La nuit blanche commence à faire très mal.

Heureusement, grâce aux grosses sorties du mois de mars, les jambes tournent toutes seules, sans douleurs, mais je ne suis pas au bout de mes peines, puisque de grosses crampes d'estomacs me font ensuite souffrir. Mais ces violentes douleurs me sauvent aussi, car elles me gardent éveillé! Je ne sais pas à quoi cela est dû, je n'ai pas changé mles habitudes et tout s'était bien passé sur les précédentes longues distances; mes compagnons de route pensent que je n'ai pas assez mangé. Suivant leur conseil, au dernier contrôle avant l'arrîvé, j'en profite pour manger salé de nouveau, mais cela me fera que me causer des douleurs et reflux importants pour les 50km restants jusqu'à Gif. J'ai une énorme envie de vomir, mais n'y arrive pas.  Dommage car les jambes sont parfaites!

Arrivé à Gif 14h après le départ de 3h, pause comprise (Deux bonnes heures) : 12 heures pour un premier BRM 300km, malgré la nuit, la chute, la fatigue et les soucis aux ventres, c'est pas trop mal. Belle surprise avec 13 inscrits, le club est le plus représenté à ce BRM! Dire qu'il ne devait y avoir que deux représentants il y a de ça une semaine...😆

on prend le temps de se poser un peu, une bière (qui fera un bien fou au bide), un petit sandwich et il faut rentrer 20km dont la côté de Belle image pour repartir, deux amis se tirent la bourre, histoire d'oublier la douleur, je me lance à leur poursuite sans revenir dessus. Quel dommage que ce ventre ne me laisse pas tranquille, les jambes tournent si bien malgré les kilomètres.

Retour à 18h00 après 344km, non sans un petit discours du président à l'arrrivée qui félicite les quelques nouveaux pour leur premier 300 et qui essaie de nous motiver pour le 400km de Noisiel du 9 mai. Certains hésitent beaucoup, mais je sais déjà que j'en serai!😃

Arrivé à la maison, la fatigue me rattrape, les yeux sont lourds, contrairement aux jambes (l'entraînement, ça paie!), cela fait 32 heures que je n'ai pas dormi. La douche me paraît un effort considérable, malgré la faim, je n'ai pas la force de me faire à manger. Je m'écroule sur le lit pour une sieste de deux heures. La faim me réveillera et m'obligera à me faire vite fait à dîner. Je suis épuisé et retourne me coucher pour faire une nuit parfaite ce qui est extrêmement rare pour moi qui ai un sommeil toujours très agité.

Ce matin, grosse faim, la douleur au ventre s'est atténuée, et suis heureux d'avoir fait ce 300 dans ces conditions. L'envie de pousser au 400km et au 600 kmest bien là malgré la fatigue. 

La suite le 9 mai!😉

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Salut Romain ,

merci pour le compte-rendu . Que d'aventures !

J'ai pensé à vous en repartant du gymnase à 4h15 . Le brouillard était omniprésent . En plus , il faisait froid et humide . J'en ai même vu partir en cuissard court .😲

Tu vois , je t'avais dit que le BRM 300 de Gif vous plairait .😃

En tout cas , merci de votre participation massive . Et une fois encore , un grand bravo .

Benoît F.

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Bjr

Pour moi, samedi dernier, c’était le BRM 300km de Vendôme avec un copain d’Orléans (vainqueur de PBP 2011).

Afin d’être prêt pour le départ à 4h, nous avons pris l’option d’arriver la veille et de dormir dans nos voitures.

Dans mon Scenic, sièges arrières enlevés, je peux sans problème mettre un matelas mousse : le luxe !

Pour ce brevet j’ai sorti (à cause des risques de pluie) le mulet avec garde-boue, le GPS pour nous guider et le phare avant Sigma Powerled Evo (éclairage impressionnant même en mode eco)  

Juste avant le départ, un thé et un petit sandwich beurre-confiture et nous partons bon derniers.

Le vent est défavorable, mais pas assez fort pour nous empêcher de garder la plaque; à nous deux  nous doublons rapidement tous les cyclistes partis avant nous.

La route est mouillée, mais très peu de pluie ; le baudrier réfléchissant trouve ici toute son utilité.

Nous retrouvons après le premier contrôle, un petit groupe de cyclistes de Blois arrêtés pour une crevaison. Nous ferons route ensemble et nous nous relaierons tous efficacement sur des routes peu vallonnées.  La côte de Lignières-de-Touraine (km 160) fera exploser le groupe  et nous partirons seuls avec mon pote.

Au km 178, ma compagne (je suis du coin) nous ravitaille et je peux débâcher ; exit, couvre-chaussures, baudrier, jambières même si le temps reste maussade.

Nous traversons l’Indre-&-Loire par des routes bien sympas et notre parcours s’oriente progressivement vers le Nord ; le soleil fait de timides apparitions.

La côte de Montrichard marque la fin du parcours vallonné.

Les cinquante derniers kilomètres seront (malheureusement) plat !. Heureusement, le vent d’Ouest a forci et va durcir le parcours ; le pote, un peu cuit ne peut plus relayer, même s’il essaye de me faire (sans réussir) une pancarte.

Au total nous aurons fait 311km en 10h13 et 2040m D+ (optimiste à mon avis le Garmin) et moins de 30 minutes d’arrêt.

J’aurai consommé pour ce 300km : 4-5 pâtes de fruits, 2 petits bidons d’Hydrixir, 2 petits bidons de Malto, 2 petites bouteilles d’eau ; 2 Renutryl. Aucune fringale ou baisse de régime (j’en ai d’ailleurs toujours gardé sous la pédale).

Prochain BRM, normalement le 300km de Tours, celui d’Orléans étant un dimanche et trop plat.

 

  

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les jeunes sortant de boîte qui t'em...... quand tu passes à vélo, j'ai connu ça quand je faisais les BRM à Chartres.

Habitant à quelques kilomètres du départ et passant tôt le matin devant une boîte de nuit, j'étais obligé d'éteindre mon éclairage si je voulais passer tranquillement ; sinon, c'était ces c... qui se mettaient en travers

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Super! Michel ( S ) la barre des 100 franchie 😆

@ David, je vois que tu as commencé à récolter des cols dans ta musette 😉

 

@ Michel D Bravo pour ton 200 😆

@ Romain Bravo pour ton 344 kms ouahhh !!!

@ Joachim il va falloir ouvrir un post 300 😉😄

@ Florence , je suis impatiente de lire ton futur CR 😉🆒

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"c’était le BRM 300km de Vendôme avec un copain d’Orléans (vainqueur de PBP 2011)"

Je tombe là dessus et ça me scie la nouille. Je croyais que PBP, c'était du cyclotourisme, la convivialité, beaucoup manger dès qu'on peut s'arrêter surtout si c'est gratuit. Toussa, toussa...

Et puis quoi, horreur, il y aurait un vainqueur à Paris-Brest-Paris !!!!

D'ici qu'il y ait un vainqueur à la sortie du mercredi dans toutes les villes de France...

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bravo a tout le monde

moi perso jamais fait 200,le + long 150

baptême dans 1 semaine pour le brevet du Paris Brest Paris , le 200 

15 jours après 300

3 semaines après 400 de nuit si les 2 premiers se passent bien

et ensuite dans la logique des choses c'est prévu le 600 le 26 juin

le tout c'est de commencer par le 200

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Bonjour Eric,

J'étais aussi sur le rallye de la Trappiste mais comme je suis parti de chez moi et que je devais y rentrer😄 j'ai fait le 85 kms.

En fait j'étais inscrit sur le 85 mais après le champ d'aviation de Cerfontaine , je me suis trompé de route car les indications des organisateurs étaient peu ou plus visibles. Plusieurs participants ont été dans le cas. J'ai donc continué sur Virelles où j'ai retrouvé le 130 kms que j'ai suivi jusqu'au ravito de Froidchapelle. Là retour jusqu'à Thuillies par le ravel avec d'autres cyclo néerlandophones eux aussi désorientés par le fléchage .

Les routes que j'ai empruntées étaient en bon état par contre tant sur les tronçons du 85 que sur ceux du 130 .

Quant au vent au retour comme tu le dis était terrible , souvent de face et quand il était latéral il fallait bien tenir le guidon.

Bref pour moi qui n'ai pas tes qualités ce fut dur,dur , surtout qu'après Thuillies j'ai encore dû monter la rue de Hameau à Ham-s-Heure pour rentrer chez moi .Au total 130 kms .

 

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Bonjour Jacques, le fléchage était un peu particulier : flèches en plastique fixée sur piquet, nous n'avons pas eu de problèmes, à deux c'était plus facile pour ne pas louper une flèche ou bien lutter contre le vent.130 km seul avec ce vent il fallait le faire aussi!

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Hier dimanche, BRM de 300 km à Orléans ou plus exactement à Fleury-les-Aubrais, organisé par mon club, le CJF.

Brevet pas si plat que ça, enfin, pour nous pauvres cyclos qui roulons à l'année dans la platitude orléanaise: 1600 m de dénivelé  mais la grosse difficulté a été le vent: favorable sur 100 km, sur le côté pendant les 80 km les plus difficiles du fait des bosses, et pour finir, 120 bornes d'un vent fort globalement défavorable dont une grande partie effectuée dans la Beauce avec rien pour se planquer...bref, le retour a été très très long, il a fallu rester solidaires, ceux déjà "affaiblis" par le kilométrage ont vraiment souffert. Moi ça a été, j'ai essayé d'aider un maximum pour emmener le groupe. J'ai fini les 25 derniers km seule et  en lâchant un peu les chevaux, enfin ce qui en restait...

J'ai une certaine expérience des brevets mais c'était la première fois que les conditions étaient aussi défavorables, surtout au retour.

Dans un mois, le 400, on verra si je le fais car je n'ai pas l'intention de m'aligner sur PBP cette année, donc, je ne fais les brevets que pour le plaisir et parce que mon club est pour la première fois organisateur pour la région d'Orléans.

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  • 2 weeks later...

Bonjour tout le monde,

 

Je viens me joindre au club des 200, bien que je n'y appartienne pas encore officiellement cette année. (sorties de 150km dans les Vosges pour me remettre en condition) 

Je viens partager ici mon projet de me lancer d'ici le mois d'Août dans une grande traversée des Vosges, sur une journée. L'idée serait de partir de Saverne, pour arriver à Belfort, mais en recherchant tous les cols et les sommets de la région. Ce "voyage" devrait m'amener à faire environs 300km, ce serait une grande première. Mon maximum précédent étant de 256km sur terrain vallonné.

J'aurais donc besoin d'avis de ceux qui se sont déjà lancés dans de telles distances, sur terrains très accidentés ; que faire comme distances d'entrainement avant, quand, comment s'alimenter le jour J... Et question qui revient souvent sur le tapis, les braquets : je roule toute l'année en 52*38 (voire 36) 12*25. Sur une telle distance, faut-il tout revoir  la baisse et prévoir "petit", comme 48*36  12*27 ? 

 

je vous remercie par avance pour vos conseils ! (je pense notamment à Joachim Garreau, assez connaisseur des raids Vosgiens !)

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Voilà mon Mons Chimay Mons bouclé-223 km.Première participation en 1990;depuis cette date j'ai toujours fait la grande distance sauf une fois à cause de la pluie...

Ce que je remarque c'est qu'il y a de plus en plus de cyclo, il y a 20 ans il y en avait 500, aujourd'hui 2100.Des cyclos de plus en plus sportifs roulant de plus en plus vite; a 25 ans j'étais heureux de faire 27 de moyenne, aujourd'hui 31,6...Les randos deviennent de véritables cyclosportives, on y voit même des coureurs.Heureusement les petites routes sont peu fréquentées par les autos.

https://www.strava.com/activities/296042604

 

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Mon 200 de mai s'avérait difficile à caser : le créneau s'était aujourd'hui: la météo agricole ne donnait pas de pluie mais la montagne avait un plafond noir toute la journée 🤐

Dès le départ avec mon ami Louis , quelques côtes pour s'échauffer ( dours - sabalos-Boulin-souyeaux-laslades - la côte d'Oueilloux - orignac- haut de la côte ) Descente sur Bagnères pour prendre le col des Palomières (810m) et traverser les Baronnies .

Banios - col du Couret d'Asque ( 620m ) où nous n'avons pas résisté à la tentation d'accélérer avec la présence de 3 cyclistes 😉 au sommet on se sépare et dans la descente Louis crève -  montée à Laborde où nous croisons une kyrielle de cyclistes du club de Bagnères ( on leur fait un grand coucou😆) -montée du col de Coupe ( 720m )

et dans la descente , une petite pluie s'invite, je commence à douter pour le reste de la sortie😢 mais arrivés à Hèches , plus rien. La vue de la masse nuageuse noirâtre en direction du col d'Azet me laisse encore dubitative 😃Louis positive, bon alors allons -y ! Sarrancolin- Arreau .

A Arreau, nous prenons la petite D115 et grimpons sur Gouaux puis Grailhen :  ça monte bien( avec un vent fort en pleine face ) ,une petite route qui constitue un joli belvédère avec vue sur la vallée de Saint Lary et en fond les lacets qui montent au Pla d'Adet  : l'arrivée à Grailhen nous conduit à 1070m d'altitude c'est digne d'un col mais ce n'en est pas 1 , snif ! mais c'est beau ( je conseille cette montée pour ceux qui viendrait en vacances avant de faire le col d'Azet- ça vaut le détour 🆒)

Descente raide pour attraper la route ( D25 ) qui mène à Camparan  ( nous avons 100kms pour 2000m de d+ pile poil) puis Estesan :  ici ,on rattrape la route officielle du col d'Azet 😉 traversée montante du village d'Azet où j'ai un grand moment de solitude ( très chaud + grand vide🤑 ) ça passe comme c'est venu et la suite n'est que du bonheur ( le thermomètre montera jusqu'à 29°C 😛 ° , il fait très lourd , nous avons toujours l'impression que ça va craquer, mais non, pas d'orage ) sommet à 1580m .

Nous ne trainons pas , nous descendons sur le lac de Loudenvielle ( on devait faire le tour mais vu le ciel, nous avons laissé tomber pour tracer sur Génos )

Vielle-Louron puis avajan  Bordères - Arreau - montée du col d'Aspin sous un petit crachin, pas désagréable du tout - sommet à 1489m où mon compteur affiche 3360m de d+ pour 141kms 💋  et descente sur Sainte Marie ( la vue de la vallée vers Tarbes semble s'éclaircir alors que le Pic du Midi sur notre gauche est super méga noir 🤐 - quel bol!!! )  puis Bagnères.

Retour sur Tarbes à bon rythme puis la maison : 202kms -3385m de D+ ( ravie d'être relativement passée entre les gouttes et d'avoir éviter une drache pour cueillir 5 cols ) vive la météo agricole ! 💋

 

PS: t°C moyenne 22°C et max 29°C

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