Aller au contenu

Votre 200.


Invité

Messages recommandés

je pense tenter l'expérience de faire 200 bornes dans une journée cet été, jamais fait plus der 80 bornes (et rarement) jusqu'en 2014 , avec le nouveau vélo c'est plus facile, j'ai déjà dépassé les 100 bornes plusieurs fois.

Compte tenu de mes capacités limitées je vais suivre les bords de Loire entre Angers Saumur et la région de Chinon. Je serais accompagné d'un ami, ça devrait nous faire une belle journée de vélo sans se prendre la tête, avec voiture suiveuse et casse croute 'merci Mesdames).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Bon, comme j'ai dû repousser la semaine de vacances cyclistes que j'avais prévu en mars, à la place j'ai fait à mon tour aujourd'hui mon premier 200 de l'année, première balise sur la route qui doit me mener théoriquement aux 24 heures du Mans au mois d'août

J'ai choisi un parcours plat (ou presque), celui du BRM 200 du Haillan en 2013

http://jeanpba.homeip***/20130101_PBPBrevets/lehaillan_200k.pdf

210 kms en tout, en comptant le km aller-retour pour aller rejoindre la piste

 

Comme je voulais partir tôt, j'avais mis mon réveil à 6 heures, mais à 5h1/4 j'étais debout, donc après un petit déjeuner léger, me voilà parti à 5h55 précises

Difficulté à cette époque de l'année : l'amplitude thermique, 4° en partant, 20° en rentrant

Donc j'ai dû prendre un petit sac à dos, ce que je n'aime pas trop, mais c'était obligatoire pour se délester au fur et à mesure de la journée des accessoires devenus superflus : gilet réfléchissant, sous-casque, sur-chaussures, gants, jambières, manchettes, coupe-vent

 

La première grosse heure se fait de nuit, sur la route des châteaux du Médoc (Labarde, Issan, Margaux), ce qui me permet de redécouvrir le plaisir oublié du pédalage nocturne, cette impression de rouler plus vite (même si ce n'est qu'une impression 😉), le ciel qui s'éclaircit peu à peu à l'est, les oiseaux qui commencent à chanter, puis les premières rougeurs du soleil alors que la lune est encore haute dans le ciel de l'autre côté : bref, le pied 😄

Autre remarque : la relativité des distances et des durées selon la longueur de la sortie. La partie Eysines-Pauillac (41 kms), où Andy Schleck avait perdu (sur le terrain) le Tour 2010 face à Contador, que je trouve parfois longue lors de sorties de 3-4 heures, est passée cette fois comme une lettre à la poste

 

Passé Pauillac, je longe pendant quelques kms l'estuaire de la Gironde. Le soleil est encore assez bas, il fait encore froid, et les petites cabanes de pêcheurs sont encore vides

Quelques petits vallonnements après Saint-Estèphe, du côté de Saint-Seurin-de-Cadourne, avant de revenir près de l'estuaire à St Christoly. Je roule déja depuis 70 kms, les petits ports s'enchainent (Port-de-By, Port-de-Goulée, Port-de-Richard), je roule ensuite au milieu de marais et de champs où les rares habitants debout en ce dimanche matin sont les chevaux

Après Saint-Vivien-de-Médoc (km 88), le soleil commence à chauffer un peu, je me débarrasse de mes derniers accessoires (merci le sac). Les jambes tournent bien, je suis presque à la moitié, et j'ai l'impression de ne pas avoir vu le temps passer

 

Km 100 : Soulac, le point le plus au nord du circuit, une petite bosse et je redescends ensuite en direction de Montalivet

Surprise un peu désagréable : le soleil se cache pour laisser la place à une sorte de brouillard humide qui m'oblige à remettre le coupe-vent et les manchettes, et à rallumer ma lampe arrière que j'avais gardée sur le vélo

Je passe devant le grand centre naturiste d'Euronat, vide à cette saison (j'ai failli dire "nu" 😉)

Juste avant Montalivet, je longe l'océan sur 2 ou 3 kms, mais pour la vue, à cause de la brûme, il faudra repasser (seul le bruit des vagues me signale la présence océanique toute proche)

Entre Montalivet et Hourtin-Plage, le soleil refait son apparition, je remets dans le sac coupe-vent et manchettes 😛

20 kms de pistes cyclables le long d'une petite route, des lignes droites interminables, la lassitude commence un peu à se faire sentir (j'approche tout doucement des 140 kms)

J'en profite pour faire une petite pause sandwich. Il était temps : passés les 150 kms, le sucré commence à passer difficilement, et je commence à avoir des envies irrésistibles de steacks-frites ou de pizzas

 

Km 138 : entre Hourtin-Plage et Carcans-Plage (km 156), une route forestière beaucoup plus agréable, mais où j'ai le souvenir désagréable d'avoir un jour foutu en l'air une roue dans un énorme trou

Donc je fais gaffe ... J'ai bien fait, le trou est toujours là, mais que fait la police ? 📢

J'arrive à Carcans (km 168), les jambes, après avoir eu un petit coup de mou un peu plus tôt (heureusement le sandwich commence à faire effet 😉), reviennent avec un petit vent de dos, qui va permettre de faire passer plus vite les 20 kms de ligne droite sur une route assez fréquentée qui mène à Sainte-Hélène, probablement la partie la plus pénible de la journée

 

Après Sainte-Hélène, je retrouve sur les 20-25 derniers kms la piste cyclable Bordeaux-Lacanau que je connais par coeur (c'est là que je fais la plupart du temps mes entrainements seuil ou PMA)

Ces derniers kilomètres se font finalement plutôt bien, je retrouve des jambes et un moral qui s'étaient un peu effritées sur les interminables lignes droites de la 2ème partie de parcours

 

La moyenne, je ne l'ai même pas calculée (compliqué compte tenu des différents arrêts pour se découvrir, se recouvrir, se redécouvrir, sortir le sandwich du sac + un arrêt pipi quand même), elle ne doit pas être terrible mais ce n'est pas le but, et je fais ce que je peux avec mon petit moteur

Points positifs : je finis relativement frais (j'ai dit "relativement" 😲), et j'ai bien géré l'alimentation (300 grammes seulement perdus entre le départ et l'arrivée)

 

Bientôt prêt pour ouvrir le post "Votre 300" 😉

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Premiere sortie à plus de 200km aujourd'hui avec le premier brevet de Longjumeau.

Réveil à 5h20 : premier souci : comment s'habiller : 4°C ce matin, 9°C annoncé cet après midi, j'hésite à mettre la veste thermiqe et opte finalement pour le maillot long avec le gilet réfléchissant en guise de coupe vent. Parti à 6h, je retrouve les membres du club 20 minutes plus tard, on roule tranquille dans la nuit pour arriver à 6h45 à Longjumeau. Le temps de récupérer les cartons, de boire un café et on est parti à 7h.

Au début, on essaie de rester en groupe, certains effectuaient un 200km pour la première fois. En haut des bosses, on attend en tournant dans les ronds points ou en profite pour faire une pause pipi. Finalement, on décide de scinder le groupe et de se retrouver au premier contrôle. J'en profite pour enquiller quelques lignes droites à plus de 40km/H avec le vent dans le dos, ça aide.

Après le premier contrôle à 60km, les jambes répondent bien, je veux me faire plaisir, je mène un bon train en tête, quelques relais se mettent en place. Je sais que je paierai dans l'après midi si je continue à ce rythme mais tant pis, au pire je lèverai le pied l'après midi.

La pause déjeuner a été fatale. Je n'aime pas m'arrêter aussi longtemps (une demi heure!). Trop de monde dans le petit bar/resto, je prends un sandwich à la boulangerie à côté, et surveille lés vélos entassés un peu partout que les voitures frôlent dans le tournant. En faisant cela, je prends froid avec le vent glacé qui se lève, et la reprise sur le bélo est dure : le sandwich reste sur l'estomac pendant une bonne heure et je n'arrive pas à me réchauffer. 

Le vent sur le plateau est en pleine poire, on essaie de se relayer à 4 devant pour mener le groupe mais on laisse pas mal de forces à lutter ainsi pour tenir une moyenne pas térrible (moins de 30km/h saleté de vent!)

Finalement, on est content d'arriver dans la fôret et de retrouver quelques bosses qui se passent en moulinant parce les jambes sont un peu lourdes.

Les 205km ont été bouclé en 7h35 de vélo (et presque une heure de pause entre les contrôles, le repas de midi et les pauses pipi). Les 230km en près de 8h30.

La semaine prochaine s'il fait beau, je me fais plaisir, en allant faire le 200km de Noisiel qui se trouvant à 35km de chez moi me ferait une sortie de 270km. un bon moyen de préparer le 300km (330km en y allant à vélo😉)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai entendu dire qu'on était un peu plus de 600 de la bouche de participants, mais j'ai oublié de demander à l'arrivée aux organisateurs. 

Malheureusement, Isabelle, je ne peux te donner le dénivelé exact de cette sortie, la batterie de mon GPS Mio commence à donner des signes de fatigue et ne tient plus que 7h. Il me manque donc deux bonnes heures de vélo. Quand il s'est éteint j'avais dépassé les 1700 pour près de 190km. Il m'en restait 40 dont trois belles montées, donc je suppose que ça avoisine les 2000D+ pour 230km à peu près.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le matin dés 6h40, il y avait pas mal de monde. Dés la première côte, c'était chacun son rythme, ensuite dans les lignes droites on a rattrapé quelques petit groupes qui se sont gréffés au notre (on était une douzaine) et avant le premier contrôle, en m'arrêtant à un feu rouge, je me suis rendu compte qu'il y avait un bon peloton d'une cinquataine de cyclos derrière moi!

Après une pause déjeuner un peu trop longue, on a laissé filer tout ce petit monde et on est rentré entre nous selon les capacités de chacun. 

Pour Noisiel, il y a aura moins de monde, c'est sur et ce pour deux raisons : 

1- beaucoup sont venus pour valider un brevet de 200 et ne vont pas en refaire un autre avant le 300 début avril.

2-ceux qui veulent éventuellement se refaire un 200 vont très certainement attendre deux semaines et le 220km de boulogne afin de bien récupérer plutôt que d'enchainer trois plus de 200km en trois week end de suite. C'est le cas dans mon club. Samedi prochain on ne sera plus 12 mais seulement 4 à aller à Noisiel!

Faudrait envoyer un mail à l'organisateur pour savoir combien de pré-inscription il a enregistré. Même si certains le font sur place vu le faible surcoût (2 euros de plus)

Précision : on m'a indiqué qu'à Noisiel, les départs se font par paquet de 20 cyclos maximum, l'orga y veille et ce afin d'éviter de se retrouver avec un gros peloton de 50 cyclos sur la route

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Deuxième longue sortie après le brevet de longjumeau la semaine dernière, j'ai fait celui de noisiel hier.

La journée avait mal débuté : couché à minuit, levé à 2h30 à cause de bruits provenant de l'escalier, impossible de me rendormir, je décide de me lever à 4h pour prendre un bon petit dejeuner en regardant quel temps qu'il va faire sur météo france : bonne nouvelle, les températures sont annoncées à la hausse 7°c le matin, 12°c l'après midi avec du soleil! Je change mes plans et décide de partir avec le maillot long et le coupe vent réfléchissant plutôt que la veste thermique. Quelle erreur! 

Parti à 5h20 rejoindre mes deux compagnons de club et on décolle de Sceaux à 5h30 direction Noisiel. Les 32km de ville se passent bien à l'aller, peu de voitures, on arrive à Noisiel à 6h45. Le temps de prendre les cartons puis de se placer dans la queue des départs, il faut attendre notre tour pour le départ qui n'est pas libre : 20 personnes toutes les 7 minutes si j'ai bien compris. On prend froid durant cette attente, on est délivré à 7h15 et je tente de me réchauffer en attaquant la première côte presque à bloc. Mes deux compagnons de route, qui ont presque le double de mon âge, ont eux aussi envie de se réchauffer et me suivent dans mon délire, on se retrouve à 4 dans la brume matinale de seine et marne, qui mettra plusieurs heures à se lever, et une température beaucoup plus fraîche que prévue : 1°C! Merci méteo France...

J'ai assez froid aux bras, aux mains, mais après les températures négatives de cet hiver, ce n'est pas cela qui va me gêner.

Après une heure de route on rattrape un groupe d'une douzaine de cyclos parti 7 minutes avant nous. Comme cela ne roule pas trop fort, on décide de les doubler de suite mais ceux-ci s'accrochent à nos roues et on se retrouve avec un bon peloton. Avec ce vent de face, ça ne peut qu'être salutaire pensais je, mais malheureusement, personne ne veut prendre de relais : le petit jeu , c'est à qui se cachera le mieux; on reste donc à deux de front devant avec un collègue aussi grand que moi, et les autres restent sagement dans les roues. Après une bonne vingtaine de km ainsi, changement de direction, on a enfin le vent de dos, et comme par hasard, là ça commence à doubler et à se tirer la bourre dans tous les sens...Un peu fatigué de cette attitude, on décide d'une pause pipi commune afin de pouvoir rouler entre nous ensuite, mes deux collègues  avaient bien compris que tout ce cirque m'énervait. Habitués à cela, ils essaient de me calmer et me dire que c'est une pratique courante, qu'ils leur arrivent d'avoir des gars qui attendent volontairement pour se placer dans une roue sur de longs BRM et que je devrais aussi apprendre à m'économiser en me laissant glisser dans le peloton afin de me mettre à l'abri. Après seulement 70km, cela me paraît juste inconcevable...

Le vrai problème de ce matin, c'est qu'avec le froid, je n'arrive pas du tout à boire et pourtant j'ai tout le temps envie de pisser et je ne suis pas le seul! Je n'ai bu que deux bidons de 60cl en 170km et j'ai presque tout le temps eu envie de pisser!!! Bien la première fois que je bois si peu et que j'ai autant envie de pisser.

Au ravito de midi, on se pose une bonne demi-heure le temps d'un sandwich pour les uns, d'une assiette de buffet froid pour les autres, on remplit les bidons, on retrouve un autre compagnon de club parti 15 minutes après nous et qui n'a pas réussi à nous rattraper. La moyenne est alors de 27km/h depuis le départ, avec le vent de face et la longue traversée des villes ce matin, et ces bitume assez mauvais, je suis assez satisfait. L'heure qui a suivi le repas est évidemment lente. La digestion est difficile, on n'a pas envie de lutter contre le vent, on laisse filer pendant une bonne heure avant de reprendre un rythme un peu plus élevé, en parlant des diagonales et flèches que mes trois compagnons de clubs aiment se faire, souvent en solo. Un vient de finir Menton - Hendaye la semaine dernière, alors qu'un autre va se lancer dans un Strasbourg-Perpignan en trois jours/trois nuits  en solo. Je trouve que c'est la classe de pouvoir rouler aussi longtemps! Pas pour rien que ces deux là ont réussi à faire paris-pékin à vélo!

La fin de ce BRM se passe mieux une fois la digestion effectuée. un groupe d'avions de chasse nous dépasse à 20km de l'arrivée. Dans ce groupe pas de sacoche de guidon, ni même de selle, de vrais de vélo de course et pas des vélos confort ou de randonneuse, bref, des coursiers en puissance. Deux des mes compagnons arrivent à prendre leurs roues, je les laisse filer pour voir qu'ils se sont tous trompés de route, hormis mes deux amis. On pense alors qu'ils ne faisaient pas le BRM et que c'était le club du coin à l'entraînement, mais il n'en est rien; ils arriveront en même temps que nous à l'arrivée en ayant sans doute bien rallongé le parcours final.

Sur la fin, je me permets quelques accélérations à plus de 40 en fin de parcours avec le vent de dos.

temps réel : 8h35 pour faire les 200km, mais seulement 7h25 de vélo, 1h10 de pause entre le repas de midi, le premier ravito et trois pauses pipi, ça fait un peu beaucoup je trouve, mais c'est aussi ça le plaisir des BRM : prendre son temps si on en a envie.

Mais ce n'est pas fini, il faut rentrer à la maison : 32km de villes et là ce n'est pas du tout agréable : grosse circulation et grosse pollution, on met 1h45 pour faire les 32km!!! Insupportable! Au prochain BRM de Noisiel, soit je rentre en RER, soit je fais un gros détour de 30km pour éviter de traverses toutes ces grosses villes se succédant les autres!

J'arrive à 17h30 chez moi. En temps réel 12 heures pour faire 264km. Le compteur n'affiche pourtant que 10 heures de vélo pour un peu plus de 2000 de dénivelé. 

Aujourd'hui, pas de grosses douleurs aux jambes qui restent néanmoins assez lourdes, surtout dans la montée des escaliers. 

Il s'agit là de ma deuxième plus grosse sortie jamais faite après les 270km lors de la monticyclo de juin 2013. Une distance qui devrait être vite battue si je continue les brevets randonneurs. Le fait de n'avoir dormi que deux heures la nuit précédente m'a rassuré sur les épreuves à venir, j'avais très peur de m'endormir sur le vélo en cas de manque de sommeil, mais ça n'a pas été le cas sur ce BRM. Je me suis en revanche couché à 20h, ai dormi jusqu'à minuit, diné à 1h du mat' et recouché ensuite jusqu'à 7h ce matin, avec un grosse sensation de fatigue jusqu'à midi. Ca m'a quand bien marqué cette longue sortie.

La semaine prochaine, si des compagnons de clubs s'y rendent je ferai le 220km de Boulogne-billancourt. Avec un aller/retour à vélo, ça devrait me faire un 242km.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il s'agit du club de Sceaux (92).

Perso, pour une question d'agenda, j'aurais préféré aller à Gif. Peu de chances que j'aille à celui de Noisiel (trop loin pour y aller et revenir en vélo) et celui du 18 avril ne me convient pas niveau date. il est possible que j'aille faire celui de Gif en solo si je ne peux pas faire celui de Noisiel, ni celui de Longjumeau. 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ah le grand Jean Louis et son fameux Trek qui a explosé en vol lors d'un Versailles-Chambord (la faute au dérailleur et non au cadre). L'histoire s'est bien terminé puisqu'il a eu un nouveau cadre TREK, mais il était bien dépité ce jour là (et il a de le chance de ne pas se faire mal aussi). Malheureusement, on ne roule que très peu avec lui, je ne le vois jamais le week end et ne le croise que sur des randos comme Levallois-Honfleur, Versailles-Chambord ou le rallye du club.

Peu de chance que je vienne malheureusement sur ce 300 de Gif ou alors ce sera sur un coup de tête au dernier moment mais merci pour la proposition.😄

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour, 

Retour au vélo pour moi et nouveau sur le forum. J'ai fait une petite parenthèse course à pied pour courir sur marathon et ma première envie c'est de refaire un 200. J'en ai un qui passe par le Mont Lozère (chez moi) et qui fait 4000 D+. Je reviendrai sur ce post donc plus tard pour raconter un peu (même si je l'ai déjà fait!) 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites





×
×
  • Créer...