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Votre course du jour 2014


Invité

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  • 2 weeks later...
Deuxième course de l'année, après celle de St. Martial début juin où j'avais terminé 4ème avant la fin (pour ceux qui n'avaient pas abandonné) avec un tour de retard sur la tête. Donc Lavaur en PC/PCO, 1h26 de course à 40 pile de moyenne. L'objectif était de réussir à tenir le plus de temps possible dans le peloton avant de sauter ou de réussir à tenir jusqu'à la formation de l'échappée, moment à partir du quel le rythme baisse toujours. Objectif atteint puisque je finis avec le peloton, sans disputer le sprint, derrière une échappée de 7 partie à mi course. Au 2/3, j'évite une grosse chute qui met 4/5 types par terre grâce à ma position de dernier. Autre avantage de fermer la marche, le speaker a parlé de moi à chaque tour (il faut bien montrer le maillot, n'est ce pas ?). Rien d'autre à dire, sinon que j'ai été pendu toute la course et que je finis avec 176 puls moyenne, ce qui constitue mon deuxième record en la matière. Même s'il y a bien longtemps que cette année je roule sans objectif, 2014 est quand même une saison de merde.
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3èm" course de l'année, sur le circuit casse-patte de Saillagol. Ce n'est pas tout à fait un chantier, mais ça sera suffisant pour que je disparaisse très rapidement de mon peloton (2ème Ufolep) au bout de 2 kms... Mais la course est organisée par un club super sympa et même si je sais que je n'existerai pas, je veux y participer pour Bernard, le président.

Ca flingue dès le départ sur de routes très étroites. Comme je me suis mal échauffé, conséquence d'un retard, que je me fais peur dès le 3è ou 4è virage en manquant de tirer tout droit, que je n'ai pas récupéré d'une sortie dure l'avant-veille et que surtout je n'ai pas du tout le rythme "courses" dans les jambes, quand je me vois 15 m derrière le peloton au bout de 2 bornes, je coupe pour attendre le peloton des 3 qui est parti 2 minutes après nous. 4 autres "dejà-attardés" me regardent surpris en me doublant et lorsque je vois qu'ils rentrent au bout de la ligne droite car le peloton a coupé, je n'ai même pas de regrets. Pas la gnacque décidément...

Le reste de la course se passe avec les 3, à faire un peu de fractionné, et en prenant garde de ne pas fausser leur course, ce qu'un autre 2ème qu'on a récupéré n'hésitera pas à faire en roulant sur les 3èmes qui essaient de sortir... Rouler avec eux me rappelle combien ça roule n'importe comment : personne ne veut faire l'effort pour rentrer sur les 2 échappés, mais tout le monde saute dans la roue de ceux qui sortent... Et sans jamais collaborer... Sur le tour final des 3 on reprend le peloton des 2 avec qui je fais le dernier tour, sans leur disputer l'arrivée, ce qui eût été assez inélégant me semble-t-il.

Bon, on verra le we prochain si ça va mieux.

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Ca c'est mon grand pari. Le temps d'abstinence de Joachim. Autant je crois ce qu'il dit, autant j'ai du mal à l'imaginer s'arrêter de courir. C'est compliqué, non ? Mais on n'est pas dans la tête des gens. On ne mesure pas forcément sa lassitude, ses éventuels changements de priorités. Il faudra qu'il mesure le vide que représentera l'absence de courses. Ce sera gérable ou non... Non, vraiment pas simple.

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pas tout à fait d'accord, on a besoin de récupérer pas competition ou compet si tu fais 100 bornes par jour pendant un mois par exemple c'est sur au bout d'un moment tu fatigues.

vaut mieux faire des longues sorties le week end genre 4h  et des petites la semaine genre 2h pas tous les jours enfin c'est mon point de vue

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Oui, je comprends bien ton histoire de stress. Ca veut effectivement dire quelque chose, quand on ressent une activité comme stressante pour soi, alors qu'elle ne l'est pas forcément pour les autres. 

Ce à quoi j'adhère moins, c'est ton obsession de ne pas te voir décliner, dégringoler de catégorie en catégorie comme tu dis. S'il y a un seul point de déséquilibre dans ton approche, c'est celui-là. C'est un phénomène pourtant banal, lié essentiellement à l'âge et probablement accéléré par ton avc. Il n'y a pas de phénomène de déchéance, ce n'est pas honteux, il faut que tu arrives à t'en persuader. 

Je cours régulièrement avec d'anciens bons coureurs qui arrivent à être en D1/D2 jusque vers 60-65 ans, puis ensuite en D3/D4, je peux t'assurer qu'il n'y a rien de pitoyable dans leur pratique. On prend tous les choses comme elles viennent, en profitant du moment présent, sans se regarder pédaler en disant "qu'est ce qu'ont est ridicules à notre âge"...

Enfin, je veux dire que tu n'échapperas pas au vieillissement en refusant de vieillir en course.

Mais si tu en as marre, c'est parfaitement légitime d'arrêter. On verra bien comment ça se passe pour toi le dimanche à 15 heures dans les années qui viennent.

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Tu as bien écris ...."Je suis parti sous l'orage, seul...sans objectif ni défi".....Tu as bien une raison, ton bébé pleure trop fort, tu ne veux plus voir ta femme, tu vis dans un hlm pourri, tu cherches l'accident.....Donne nous une raison....

En provence on dit d'un mec qui fait ça qu'il est complètement fada.

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On peut aimer la pluie. Surtout les pluies d'été, mais même l'hiver quand il fait doux. Moi, c'est ceux qui roulent sous le cagnard que je trouve fadas.

Mais la flotte qui ruisselle, le ciel qui devient noir, les éclairs qui tapent et toi, tout seul en vélo à rouler, c'est le panard total. Une fois, j'ai fait ça à Vincennes. il devait y avoir 200 gugusses arrêtés sous les arbres, à peine protégés du déluge et je continuais à rouler. C'est assez étrange...

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Là, c'était une soirée d'été. Mettons 20 H un jour d'août.

J'y ai roulé à 5 h du mat', en plein hiver, parfois j'étais seul, parfois on était deux ou trois quand même. A la nuit tombée en été, vaut mieux laisser tomber. C'est pas qu'avec nos moule-burnes, on ait trop de prétendants. Ces messieurs-dames pardon, ces messieurs-messieurs se débrouillent dans les fourrés. Mais il y a aussi de la viande saoule et ça c'est plus compliqué à gérer en nocturne.

Mais qu'est ce que tu veux, à Paris, je préfère ça que rien. Comme généralement je vole deux à trois heures de vélo à l'arrache, j'ai pas trop le choix.

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