Bruno BLEUSE

Bonjour Patrice, tu sollicites nos témoignages à ce sujet, voici le mien, qui ne contient aucune affirmation, ni vérité absolue, il s'agit donc juste de mon expérience personnelle. J'ai toujours pratiqué du sport de manière intensive : du foot de 5 à 20 ans, puis de la course à pied de 20 à 35 ans, et depuis du vélo, j'ai aujourd'hui 52 ans. A partir de 30 ans, j'ai commencé à souffrir du dos : de nombreux lumbagos à la suite de longs trajets en voiture, à la suite de séances de sport très intensives ou à la suite de manipulation de poids ou contorsions diverses de la vie courante. Des examens radio n'ont rien décelé de grave, j'ai traîné ce problème jusqu'à ce qu'un docteur m'envoie chez un kiné pour quelques séances d'assouplissement. C'était en 2000 ou 2001, peu importe, ce kiné a trouvé l'origine de mes problèmes, et m'a donné la solution à mettre en oeuvre, et depuis, miracle, je n'ai plus souffert sur ce plan là. Dans mon cas, en me questionnant il a simplement découvert que je ne m'étirais jamais après mes séances de sport, d'où une musculature des jambes importante, mais en bois, sans aucune souplesse, provoquant des tensions importantes au niveau du bassin et par conséquent, déclenchant mes douleurs dorsales. Ce kiné m'a simplement montré les étirements à réaliser après chaque sortie cycliste. Et ça a marché très rapidement, et je n'ai plus jamais été embêté par ce problème. Pour ton info, et pour illustrer ma pratique cycliste, j'ai participé cette année à une quinzaine d'épreuves cyclo, j'ai fait les sept cols du DFU, le tour du mont blanc, et au début du mois présent j'ai dépassé les 18 000 kms depuis le 1er janvier, le tout sans aucun problème de dos. Je ne connais pas ta pratique cycliste, et je ne sais pas si tu t'étires après tes séances de sport. Voilà mon expérience avec ce problème. En espérant qu'elle contribue à t'aider. Cordialement.

Merci Marc pour ces dernières précisions, une fracture du bassin n'est pas une blessure minime, on lui souhaite donc de se remettre très vite. Bon courage à lui et à l'année prochaine sur les belles cyclos du quart sud-est, on bataillera de nouveau pour le podium des plus de 50 ans. A bientôt Bernard.

Bonjour Cédric, je peux affirmer que le BTWIN à ce prix est une affaire, je suis bien placé pour en parler : j'ai acheté il y a pilie poil deux ans le facet 5 à 1990 euros : même cadre que ton affaire, aussi belle gueule, mais avec roues shimano RS 80 C24 et groupe ultégra triple ( je ne jure que par le triple ), mon vélo affiche à ce jour 39 000 kms, j'ai participé à des tas de cyclos principalement dans la région sud-est, tu pourras trouver mes résultats, j'ai bouclé avec mon btwin, le tour du mont blanc en 14h22, les 7 cols du défi des fondus de l'Ubaye en, 14h00, je n'ai jamais regretté mon choix, aucun souci de fiabilité, je n'ai changé régulièrement que les pneus, la cassette, la chaîne, les patins, j'ai graissé régulièrement jeu de direction, je n'ai jamais touché au boitier de pédalier (aucun bruit suspect), bref, pour moi une vraie affaire, et bien sûr, le gâteau sous la cerise, c'est la tête de ceux qui possède un vélo beaucoup mais alors beaucoup plus cher que le mien, et qui ne peuvent suivre ma shimano RS 80 arrière ! Je te conseille vraiment cet achat. De plus tu peux avoir une confiance aveugle dans la marque pour l'application de la garantie de ton matériel. Par contre, il est évident, et tu l'as lu certainement par ailleurs, qu'il ne faudra pas compter sur le service après vente de cette marque pour ton entretien, leurs ateliers emploient du personnel, je pense de passage, peu formé, peu compétent. Je répète, à ce prix là, y'a pas à hésiter.

Bonjour Cédric, je peux affirmer que le BTWIN à ce prix est une affaire, je suis bien placé pour en parler : j'ai acheté il y a pilie poil deux ans le facet 5 à 1990 euros : même cadre que ton affaire, aussi belle gueule, mais avec roues shimano RS 80 C24 et groupe ultégra triple ( je ne jure que par le triple ), mon vélo affiche à ce jour 39 000 kms, j'ai participé à des tas de cyclos principalement dans la région sud-est, tu pourras trouver mes résultats, j'ai bouclé avec mon btwin, le tour du mont blanc en 14h22, les 7 cols du défi des fondus de l'Ubaye en, 14h00, je n'ai jamais regretté mon choix, aucun souci de fiabilité, je n'ai changé régulièrement que les pneus, la cassette, la chaîne, les patins, j'ai graissé régulièrement jeu de direction, je n'ai jamais touché au boitier de pédalier (aucun bruit suspect), bref, pour moi une vraie affaire, et bien sûr, le gâteau sous la cerise, c'est la tête de ceux qui possède un vélo beaucoup mais alors beaucoup plus cher que le mien, et qui ne peuvent suivre ma shimano RS 80 arrière ! Je te conseille vraiment cet achat. De plus tu peux avoir une confiance aveugle dans la marque pour l'application de la garantie de ton matériel. Par contre, il est évident, et tu l'as lu certainement par ailleurs, qu'il ne faudra pas compter sur le service après vente de cette marque pour ton entretien, leurs ateliers emploient du personnel, je pense de passage, peu formé, peu compétent. Je répète, à ce prix là, y'a pas à hésiter.

Ok merci Marc pour ces bonnes et très rassurantes nouvelles, alors on lui souhaite le plus prompt rétablissement après les soins d'usage. Et on lui dit à bientôt sur les routes.

Vincent, mes excuses, mais j'ai oublié de te remercier pour t'être arrêté durant ton alpigap, où tu avais peut être un objectif, et pour avoir secouru notre ami Jackie qui voulait simplement tester sa résistance au fil métallique de clôture (fort heureusement non barbelé). Il a réussi dans son entreprise et a démontré qu'il était plus solide que le fil !!! Il a reçu par la suite, juste des petits soins à l'hôpital, rien de cassé et rien de grave. Encore merci à toi, car d'autres n'auraient pas eu le même sens civique que toi. A bientôt sur les routes.

Bonjour Vincent, le coureur dont tu parles, se prénomme Jackie, et rassure toi, étant indestructible, il va très bien, il a participé depuis aux bosses du 13 et dimanche à la Marseille cyclo classic. On s'inquiète par contre toujours pour Bernard, et on aimerait donc avoir des nouvelles rassurantes.

Bonjour, Bernard, valeureux et sympathique compétiteur du team scott vélo 101, parfait organisateur de la Risoul Quyeras, a chuté dimanche sur le parcours de la Marseille Cyclo Classic, puis a été évacué vers un hôpital. Moi et mes camarades de la roue d'or sanaryenne souhaiterions avoir des nouvelles sur son état de santé et son retour rapide sur un vélo. L'un d'entre vous peut-il nous rassurer ?

Merci à toi Bruce, et bravo à toi aussi, car je suppose que comme nous tous, tu as donné tout ce que tu pouvais, ton mérite est aussi grand que celui des autres, du premier au dernier.

Complètement d'accord avec toi Frédéric, moi, sur le 136, je suis parti avec mes deux bidons magnum, soit deux litres, et donc deux kilos de plus sur le vélo, j'ai pu ainsi finir sans ravitailler. Mais il est vrai que la chaleur humide de ce jour a accéléré la déshydratation d'un grand nombre de participants. Bravo Thomas pour ton résultat, sur un parcours, où il faut être en permanence au taquet si on veut bien finir, mais désolé pour toi et ravi pour moi que deux amis de mon club, Yoann et Cédric, finissent encore mieux placés que toi. Bonnes prochaines routes.

Tu as la solution du deuxième vélo : tu places et tu laisses ton vélo dit de course dans le sas dès son ouverture, il sera donc en pôle position, tu sors du sas, tu rejoins ton véhicule où se trouve ton mulet, et tu vas t'échauffer avec, tu le ranges peu avant l'ouverture du sas, pour te replacer sur ton vélo compétition dans le sas toujours en "pôle position". Tu es échauffé, et tu es tout devant.

Ben hélas non, pas d'échauffement dans ces conditions, car tu serais trop mal placé dans le sas. Moi personnellement je n'y arrive pas, passé la cinquantaine, je ne peux pas faire grimper le régime moteur sans faire chauffer au préalable l'huile, les roulements et tout le reste, mais d'autres y parviennent et le font régulièrement, je sais pas comment ils parviennent à partir sans échauffement, mais ils me démontrent que c'est possible, je pourrai citer des noms bien placés au challenge DT Swiss de ce site. Bref, à toi de voir.

Re bonsoir Thomas, alors si tu vises une très bonne place sur ce parcours, tu n'as pas le choix, tu rentres dans le sas des prioritaires le plus tôt possible, dés l'ouverture du sas pour les 2 kms jusqu'à la ligne, tu fais ça à bloc, et une fois bien placé sur la ligne de départ, montée de la Gineste à bloc aussi pour rester au contact du premier groupe, tu auras la descente pour souffler un peu, avant que ça reparte pour le pas de belle fille, puis le grand Caunet, la difficulté la plus importante du parcours, passé le sommet, le classement est pratiquement fait et clos. Sans un gros mistral, ce qui sera apparemment le cas dimanche, le retour vers l'arrivée ne te posera trop de difficulté, et si tu arrives en groupe, garde un peu d'énergie pour semer tes compagnons de fin de parcours, dans le dernier raidillon menant à l'arrivée, au sprint !! Bon courage, et tiens nous au courant.

Bonjour Thomas, pour répondre à tes interrogations, je me permets les précisions suivantes : 1 grand et moyen partent ensemble, toi et le reste du petit partez quelques minutes plus tard, tu trouveras donc au départ plusieurs sas, 4 je crois, d'abord celui des prioritaires grand et moyen puis, le sas des autres concurrents sur ces mêmes parcours, puis le sas de prioritaires petit parcours, et enfin les autres concurrents du petit parcours. 2 quand tu t'élanceras avec les prioritaires du petit parcours, tu verras que tu as environ deux kilomètres à effectuer en faux plat descendant pour rejoindre la véritable ligne de départ, et tu constateras que durant ces deux kilomètres, certains prennent tous les risques pour être le plus proche de cette fameuse ligne de départ, si bien que, même en figurant parmi les prioritaires, tu peux te retrouver éloigné de la ligne de départ. A toi de voir, en tous cas, soit très vigilant sur ces deux kilomètres, ça déboule de tous les côtés. 3 Après la ligne de départ, c'est tout de suite la montée de la Gineste, à toi alors d'accrocher le bon wagon pour basculer en position idéale, 4 kilomètres plus loin dans la descente vers Cassis. Bonnes bosses. PS : la météo est annoncée favorable, soleil et peu de vent, le top par rapport à la précédente édition.

Bonsoir à tous, étant un petit cycliste sans prétention, aux jambes poilues, pédalant sur un bon vieux btwin, je visite régulièrement ce site, et notamment sa rubrique cyclosportive, pour le calendrier, puisqu'en effet, je participe à une bonne dizaine de cyclos par an. Je trouve également sur ce site une bonne et trés instructive mine d'informations, soit dans les articles du site, soit dans les commentaires des utilisateurs du forum Comme beaucoup d'autres, je déplore la dégradation du ton de l'ensemble de ces commentaires, certains que je ne nommerai pas, (ils ne le méritent pas), polluent, dénigrent, raillent, se moquent, allant même jusqu'à la calomnie, ou l'injure. Il règne alors une odeur nauséabonde sur ce site, qui invite à aller respirer ailleurs, d'autant plus que, comme vous le soulignez à juste titre, la modération est absente, mais c'est normal, car, ces commentaires font grimper le nombre de visites sur le site, et vous avez parfaitement compris ce qu'induit pour le site, un nombre maximal de visites. Bref, comme je l'ai dit par ailleurs, la moquerie, la raillerie, l'injure sont aisées à faire, et sont les caractéristiques d'individus indigents sur le plan intellectuel, pétri de complexes, bourré de fatuité, menant une vie creuse, vide, cherchant par leur comportement à attirer l'attention sur eux, et à prouver au reste du monde, qu'ils existent (d'une manière misérable !). Je vous propose de nous substituer au modérateur pour ces comportements. Comment ? Tout simplement par l'ignorance, l'absence de réponse, de réaction, évitons de donner du crédit, ou de la publicité à ces propos, et faites comme moi, ne luttez plus contre la connerie, évitez la, contournez la, c'est plus facile et moins usant nerveusement !!! Bonnes routes à tous.

Franchement, vous croyez vivre dans le monde des bisounours, une large majorité de l'humanité se fout de toutes ces considérations, du respect de la planète grâce à laquelle elle a la chance de connaître le simple fait d'être en vie, l'homme est pétri de défauts dont par exemple la cupidité, la jalousie, l'envie, l'égoïsme, je ne vais pas vous énumérer cette longue liste qui fait de notre espèce, la plus nocive pour la planète et les autres espèces vivantes. Et ça ne fait qu'empirer, je ne vois aucun signe d'amélioration, je plains les générations à venir.

Encore une fois Patrick, merci à toi, pour l'ensemble de tes remarques, très intéressantes, et très constructives. Il est vrai qu'il faut saluer le très bon accueil, la patience, la disponibilité des représentants de l'organisation à chaque ravitaillement, ce fut vraiment le grand bon point de cette journée. Bonne continuation à toi aussi et je serai effectivement présent au DFU 2015 !

Bonjour Patrick, encore une fois bravo à toi, pour le superbe compte rendu de cette folle journée que j'ai lu avec grand plaisir en y ajoutant "l'image" avec mes propres souvenirs, et bien entendu pour ta performance sportive. Je me permets juste une anecdote qui démontre bien que c'est bien, selon moi, la tête et le moral qui commande nos performances cyclistes : après la descente interminable, insupportable, dantesque, dangereuse, vers Beaufort, j'étais animé par une volonté incroyable d'en terminer au plus vite, une volonté proche de la haine contre les éléments qui avaient gâché ce rendez-vous que je m'étais fixé au 1er janvier, comme objectif de l'année, cette double motivation m'a donné des ailes durant la montée finale, je ne sentais plus la fatigue, plus de douleur dans les jambes, j'ai parcouru pratiquement l'intégralité de cette montée en danseuse, en oscillant entre 13 et 18 km/h. Et, j'en termine, quelle colère et quelle nouvelle déception de constater l'absence de ligne d'arrivée au sommet, ligne que j'ai donc cherchée pendant plusieurs minutes, en allant jusqu'à la sortie des Saisies, avant de faire demi-tour, et d'être orienté vers la salle d'accueil de la veille, où bien sûr, je n'ai pas vu le tapis qui enregistrait l'arrivée, là aussi, c'est dans la salle qu'un autre concurrent m'a situé ce fameux tapis, je suis ressorti et j'ai fait passer mon vélo et cette maudite puce sur ce tapis. Quand je compare cette organisation, avec celle des fondus de l'Ubaye, je suis sidéré. J'ai eu en effet un grand sentiment d'abandon durant le TMB, s'il m'était arrivé un malheur sur le parcours, combien de temps aurait-on mis pour me découvrir ? A l'inverse, l'organisation du DFU a vraiment une attention particulière sur chacun des participants, ce que leur a fait vivre le dernier concurrent arrivé cette année, illustre parfaitement l'attention et le souci de ces bénévoles. J'ai fait le TMB une fois, je ne reviendrai pas.

Bonjour Brigitte, j'ai répondu à ta question dans les messages postés sur le forum cyclosport, sous le titre "Le tour du Mont Blanc". Mais effectivement, je n'avais jamais connu de telles conditions pour faire du vélo, je n'y ai pris aucun plaisir, et je m'estime chanceux d'avoir terminé ce tour en ayant préservé mon intégrité physique et l'intégrité matérielle de mon vélo. Je l'ai fait une fois, il n'y aura pas de deuxième édition pour moi. Bonnes routes.

J'ignore tout des pointures du monde cyclosportif, toutefois, quand je lis l'interview sur ce site de Nicolas Roux, qui a tenté de battre ce record, et quand je me remémore les conditions météorologiques pitoyables à partir du Col de Forclaz, de ce dimanche 21 juillet 2014, 3h30 environ après le départ, je me demande vraiment comment ce ressortissant belge a pu battre ce record.

Bonjour à tous, bonjour Yann, alors ça s'est passé comment pour toi ? En ce qui me concerne : 14h22 d'après la personne à l'arrivée qui récupérait les puces. Bilan purement subjectif, je le rappelle, je n'ai aucune ambition, et ne souhaite délivrer aucune vérité. J'ai aimé : certaines portions du parcours, et notamment le col de San Carlo en Italie, un vrai beau col très dur (11 kms à 10 % de moyenne), les ravitaillements, nombreux parfaitement positionnés et proposant un parfait choix de boissons froides chaudes, et d'aliments sucrés salés, les repas proposés la veille et le jour de l'épreuve, certaines communes traversées dont La Thuile en Italie, une splendeur, les rares vues sur le massif du Mont Blanc. Je n'ai pas aimé : l'organisation en général, pour une telle épreuve hors norme, avec un tel tarif, l'organisation devrait être exceptionnelle, là, on a droit au service minimum de sport communication, l'organisateur a précisé qu'il s'agissait d'une rando-sportive, un nouveau terme, donc pas de classement, ce n'est pas précisé à l'inscription sur le site, l'absence de présence sur l'arrivée que moi et d'autres avons cherchée pendant un moment avant d'être orienté par des spectateurs vers la salle d'accueil où s'était réfugiée l'organisation, les grandes portions de route à partager avec une circulation intense dans la montée de Forclaz, mais surtout dans le grand Saint Bernard, là vigilance absolue, et circulation le plus à droite possible, le trop grand nombre de véhicules suiveurs de participants, vraiment chiant parfois, la météo, qui m'a fait vivre les pires moments de ma petite existence de cycliste : la pluie du sommet de Forclaz jusqu'à la vallée d'Aoste, le brouillard au sommet du Grand St Bernard qui est interminable, et dont les 7 derniers kms contre le vent sont un calvaire, le brouillard à couper au couteau au début de la descente du Cormet de Roselend, pas vu le lac, et que dire de l'orage dans la descente sur Beaufort, avec une pluie qui cinglait le visage, des bourrasques de vents, des débris d'arbres, des branches sur la chaussée et même deux arbres tombés sur la remontée vers les Saisies, la pluie froide et ininterrompue jusqu'à l'arrivée, je n'oublierai jamais cette descente vers Beaufort, ses 11 kms de crispation totale sur le vélo, un cauchemar. Conclusion : ravi d'avoir accompli ce défi rendu encore plus difficile par la météo, mais absence totale de plaisir sur cette journée gâchée, et, enfin puisqu'il s'agit d'une rando-sportive, pour moi, il n'y a aucune hésitation à avoir, le meilleur choix demeure le défi des fondus de l'Ubaye et ses 7 cols ! Bonnes routes.

Bonjour, à ce jour, 18 juillet, et depuis le 1er janvier : 12 473 kms, j'ai pas le dénivelé, mais beaucoup de montées, le tout pour me préparer au tour du Mont Blanc, ce dimanche, avec donc, 323 kms de plus au compteur à l'issue. Bonnes routes à tous.

Bonjour Yann, Un accident est donc venu perturber ta fin de préparation, mais, fort heureusement, tu pourras être présent dimanche, tant mieux pour toi. Quant à la météo, moi non plus je ne stresse pas pour cela, qu'il pleuve ou qu'il fasse beau, je serai là, et je pédalerai. Non, simplement, à mon âge, et avec ma petite expérience de cyclosportif, je ne recherche que le plaisir, et, franchement, pédaler sous la pluie, sans pouvoir apprécier les paysages, en devant être extrêmement prudent dans chaque descente, j'aimerais bien me passer de tout cela. A dimanche Yann, et merci à Patrick et Hervé pour leur soutien.

Bonjour à tous, bravo Patrick et merci pour ton compte rendu, très intéressant et instructif. Je m'adresse à Yann qui a lancé ce sujet et à ceux qui seront également présents avec nous dimanche : avez-vous vu la météo annoncée ! Une catastrophe, j'espère que ces prévisions vont évoluer à l'inverse dans les jours à venir. Pendant que d'autres perdent leur temps sur un certain Marcel Salomon, dont personnellement, (et pour reprendre une réplique de Maria Pacôme dans le film LA CRISE) je me fous, mais je m'en fous comme de l'an 40, qu'il triche ou non, je m'en contrefous, moi ce qui me préoccupe, c'est cette météo pour dimanche. En effet, payer l'inscription 125 euros, réserver un hôtel, me taper 450 kms aller et 450 kms retour, pour passer entre 15 et 18 heures sous la flotte, ne jamais apercevoir le Mont Blanc, serrer les fesses dans toutes les descentes, là, ça me file un peu les boules ! Que la météo soit avec nous ! Et advienne que pourra. A dimanche.

Bonjour Laurent, merci pour tes encouragements, je suis revenu aujourd'hui de Barcelonnette, avec un test apparemment réussi : les 310 kms et 6800 mètres de dénivelé, en 14h00, temps officiel, mais 13h30 à mon compteur, soit une demi heure d'arrêt pour vider ou remplir le corps, tout au long de ce magnifique parcours. Rien à signaler, j'ai gardé un rythme raisonnable, jamais dans le rouge, pas de douleur, de gêne particulière, pas de crampe, j'aurais pu faire 50 ou 100 kms de plus, je ne sais pas, je me sentais bien, et pourtant c'était la première fois que je franchissais la barre des 300 kms. Bref, assez parlé de moi, vivement le 20 juillet, pour finaliser toute cette préparation, et après, passer à autre chose ... Encore merci.