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Jean-Michel POURTAU

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Tout ce qui a été posté par Jean-Michel POURTAU

  1. Bonsoir, Je serais du départ avec 10 potes du boulot. On a monté un petit challenge autour de cette épreuve. J'espère que les temps de passage seront plus cool que ceux prévus. Les premiers auront plus d'1 heure de répit alors que le dernier sas (notre groupe est reparti entre le 6,7 et 8 sas) aura juste 15 minutes de battement. Faut pas avoir un pépin ou du blocage sur la route.... Ou comme il y a deux ans mes amis m'ont raconte les 3 dernieres bornes de marie blanque à pied. Pour ma part ce sera une première, j'avoue être un peu inquiet sur le rendement à fournir pour ne pas se faire sortir . Sur une cyclo classique on le sait tu pars à fond et après tu accéléres comme dit notre coach. On fait des cols depuis avril pour se chauffer. À ce sujet méfiance après la descente de sevignacq, l'arrivée sur Louvie-Juzon, des îlots centraux sur 2km au moins et la traversée de laruns, en groupe volumineux ça peut être chaud. Côté météo on dirait que ça va le faire , pas trop chaud de 10 à 20 degrés. Je me place dans le 1/3 ou milieu de tableau dans les cyclos de ma région (castraise, lapebie ,jalabert, ariégeoise ). Je me donne 6h30/45 (120 km 3000mt denivele) pour être en haut du tourmalet. Le temps de passage au tourmalet est 15h30 max (vu sur le site) ca laisse peu de place pour le depart à 8h00 des derniers. Si certains ont des éléments pour lever mes craintes sur cette voiture balai. Sinon bonne route et bonne chance à tous.
  2. Bonjour, J'avais repéré le parcours début juin et effectivement des gravillons étaient présents rendant très difficile la descente de la lauze. J'ai fait la montagnole samedi et j'ai pu constater que la route était plus propre dans son ensemble. Après ce type de course il faut rester prudent sur les descentes et garder une marge de réserve, prendre trop de risque pour 10 places alors qu'on est en paquet, ce n’est pas pour moi. Des chutes j'en ai vu une pour ma part dans le col de la lauze avec des gens qui se prennent pour Contador et veulent passer en force alors que le passage n'existe pas. Il paye leur manque de patience alors qu'ils semblent avoir des jambes pour relancer. Accrochage et petite chute mais pas trop grave. Par contre je tiens à dire que comme d’habitude la sécurité était là sur la route avec un encadrement des groupes par les motards, des signaleurs à tous les carrefours, des panneaux pour indiquer les endroits dangereux. Seul bémol la séparation des deux cyclos qui a pertubé pas mal de coureurs qui ne regardent pas les panneaux. Dans la descente du pas de soulombrie des signaleurs à chaque virage pour inciter à ralentir, des protections sur le pont et autre passage délicat. Après je pense être un descendeur acceptable (je reprends toujours du temps à mon groupe) et j’ai fait chaque descente en dedans en rapport au nombre de coureurs qu’on trouve dans ses trajectoires. Pour ma part je préfère être sur des petites routes sympa avec les gens accueillants que sur la grande route comme au retour avec des voitures qui veulent te doubler (groupe important de coureurs) au risque de ne pas pouvoir se rabattre. Après j’ai annoncé tous les dangers comme sur mes sorties hebdo comme cela on incite aussi les autres à le faire. Pour ma part j’ai été plutôt choqué par l’indiscipline de coureurs qui jettent encore leurs déchets (plusieurs rappels et là des regards style va te faire voir) ou qui bloque un véhicule par le fait de ne pas vouloir se ranger. Des idiots on en trouve effectivement partout, mais j’avais encore l’espoir de croire … Pour les déchets à chaque point d’eau un filet pour s’en débarrasser donc pas d’excuse, après cela a été une super journée avec une montée de beille toujours aussi dure après les 100 km , mais c’est cela aussi le charme de l’ariégeoise. C’est ma deuxième participation et je reviendrais l’année prochaine. Après c’est bien dommage que la pyrénéenne et l’ariégeoise soient sur le même week end, car deux cyclo importante en concurrence c’est bête.
  3. Bonjour, La ronde toujours aussi géniale à faire et pas loin de la maison. Cette année la motivation était là pour prendre la place du coach au classement. (bon j'étais déjà devant lui au dossard). Il y a 1277 inscrits et on était 735 à partir sur la moyenne (et oui on est encore petit joueur par rapport à 402 sur la grande). Sur le SAS de départ mon pote reconnait un champion; il est content enfin une roue à suivre. Le départ est donné et déja ça veut jouer des coudes, mais c'était pas le bon on se calme et on attend patiemment le GO. Départ, on démarre correct et au bout de deux bornes j'entends un gars qui me siffle, c'est le Gilles dit le coach qui me passe comme un bolide. J'avais décidé de le faire calme mais mon esprit bourru me fait prendre sa roue. Il me tire jusqu'au pied de Lacrouzette ou là je suis obligé de baisser le rythme mon cardio s'affole (180 je joue trop haut). Je gère la montée et ensuite je fais la descente tranquille à la recherche d'un groupe car je me suis un peu isolé. J'accroche un groupe mais là personne ne veut vraiment rouler. On tente à deux ou trois de mettre en place du relais mais sans effet, du coup on fait le chemin jusqu'à la deuxième bosse à petit train. Sur le parcours je croise le champion qui a explosé son pneu, il a fait une "JMP Ariegeoise". Cela me rassure je ne suis pas le seul à rencontrer ce type de truc, par contre moi j'avais pu trouver un pneu de rechange dans le public . Il tente de repartir mais a priori 5 km après je le revoie au bord de la route. Aprés la fin de la deuxième bosse, dans la descente j'arrive à revenir sur le fond d'un groupe on se cotise ensemble pour arriver jusqu'à Vabres, là sur la bosse ça éclate et j'attaque la derniére montée vers Peyro Clabado. Je la monte pas trop mal en doublant quelques personnes. En haut on se retrouve un petit groupe de 7 coureurs et idem qu'au début on est deux ou trois à faire des relais. Du coup on coupe, arrivée à saint salvy, je vois mon chrono et je me dis que si on force c'est possible d'accrocher le brevet d'OR. J'en parle à mon compagnon de virée (ca fait quelques KM qu'on est ensemble un coup à toi à moi). Il me dit OK, on relance et ensuite on fait alors la descente à fond. Là le macadam est bon enfin car plusieurs fois avant j'ai regardé si mes patins de freins ne touchaient pas la roue. On voit un groupe devant on tente de rentrer dessus sans succès et pourtant on a envoyé dur. Arrivée 10 KM et la cote de saint Hyppolite, ouah on se calme car les muscles commencent à vouloir jouer de la musique "crampes". Petit moulinage de raison et j'arrive à franchir le sommet sans encombre (bien vu car j'en double une dizaine en train de s'étirer). Descente de nouveau pour rentrer sur Castres, par prudence je la joue cool et mon pote de corvée en profite pour partir. Arrivée sur castres là je décide de rouler plein badin, je gratte encore trois ou quatre places et je revoie en point de mire mon petit gars. Je finis enfin la sortie avec le même cardio qu'au début (170/175). Mon pote de corvée vient à ma rencontre pour me dire merci et on s'est félicité d'avoir réussi notre objectif (brevet d'or en moins de 3h42) . la ronde toujours aussi bien organisée avec des benevoles sympas, qui t'encouragent sur le parcours Les petites routes "forestières" ne rendent pas du tout, le revêtement est très abimé et bcp de débris de branches d'arbres Pas mal de crevaisons, fallait s'y attendre, j'ai été épargné. Les grandes descentes grisantes, la route est bonne et on peut prendre de la vitesse pas 1 goutte de pluie :-) Repas correct et un plus le gardiennage du vélo. Je serais là en 2013.
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