Quelques mots de son grand-père, très fier de lui «Je ressens beaucoup d'émotion, avouait-il. Mais je ne suis pas vraiment surpris. A Hoogerheide, lors de la dernière manche de la Coupe du monde, il était parti très vite et avait fait la course tout seul devant. Cyrille Guimard m'avait dit qu'il l'avait impressionné et qu'il était au-dessus de tout le monde. Il a refait la même chose aujourd'hui à Tabor : il est parti vite et personne ne l'a revu. Ca ne m'étonne qu'à moitié. Il y a quelque temps, son père, Adri, l'avait chronométré sur des circuits et il allait déjà plus vite que Sven Nys. Il mettait parfois douze secondes de moins au tour. Alors, c'est un phénomène. Et vous verrez, il va très vite aussi sur la route...»