Aller au contenu

Alain COLLONGUES

Membre
  • Compteur de contenus

    198
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Alain COLLONGUES

  1. Bonjour à tous, Si vous n’êtes pas saturés de Paris-Brest, voici un lien qui raconte un PBP de plus, le mien : https://www.dropbox.com/s/59nn1f57k7g7apu/PBP%202019.pdf?dl=0
  2. Merci beaucoup Marie-Noëlle, En fait vieillir, au-delà disons de 70 ans, impose une double peine. Première peine : celle de rouler moins vite, notamment dans les bosses, donc de passer plus de temps sur la route. Et seconde peine :il devient impossible de ne pas dormir du tout, et même très risqué de se contenter de micro-siestes. Donc il faut aussi dormir davantage. Temps de roulage plus long et temps de repos plus long aussi, le bilan est vite fait : risque de hors-délai de plus en plus important. Pour s’en écarter, et comme rouler plus vite est quasi-impossible, la tentation est grande de rogner les heures de repos. Et les problèmes se multiplient : déséquilibre, hallucinations, diplopie, douleurs cervicales, vertiges, chutes, etc… Ceci dit et comme le mentionne Marie-Noëlle il existe bien d’autres randonnées et d’autres objectifs passionnants que Paris-Brest-Paris.
  3. Bonjour David, Je me souviens très bien de l'arrivée de Daniel Ravet en 2011. Il avait choisi, comme pour tous ses autres PBP, le délai de 84h et à 67 ans ce fut limite-limite. A 70, j'ai opté pour plus de sagesse en prenant 90h et je crois que j'ai bien fait. Tous ces PBP en 48 ans (manque juste 1975 pour cause de justes noces) me laissent des souvenirs formidables et des amitiés solides. J'ai pourtant un regret que tu n'auras pas : celui de n'avoir jamais pu passer sous la barre des 50 heures. Il m'a manqué 1h25' en 1999 alors que toi, dès la première fois, tu signais en 44h48.
  4. Bonjour à tous, Et d’abord merci pour vos encouragements et vos félicitations qui me font très plaisir. Ce ne fut pas le Paris-Brest le plus facile, mais sûrement le plus chaleureux, et aussi le dernier. Hélàs ! Ce fut difficile après de multiples ennuis d'avant PBP : le 1000 de Beuvry raté au bout de 880 bornes, incapable que j’étais de rouler droit ; l'hôpital de Cognac pendant trois jours de la Semaine Fédérale pour des vertiges (positionnels paroxystiques bénins), etc... Finalement tous ces problèmes m'ont été très utiles et m'ont permis de gérer sans affolement lorsque la fatigue les faisait revenir, même si c'était atténué. Toutefois le constat que je ne peux pas passer plus d'une nuit sans dommages est devenu irréversible. Incertain ce PBP l'a été presque jusqu'au bout. Pour moi tout s'est joué dans la montée au coucher du jour de Mamers à Mortagne. Ou je passais sans tomber malgré mes fréquents écarts involontaires de trajectoire ou ça s'arrêtait comme le 1000, incapable de rouler droit. J'étais très gêné par les lumières des gars qui me dépassaient, alors j'ai monté les 24 km le plus vite possible pour qu'il y en ait le moins possible qui me doublent. Malgré cela j'ai failli tomber plusieurs fois toujours entraîné vers la droite. Et c’est bien penché à droite que je finirai en 86h04 dans la magnifique bergerie de Rambouillet. Pour le reste j'ai eu beaucoup de chance : la météo idéalement fraîche, le gîte de Maël Carhaix et la gentillesse de Eddy qui m’accueillit à 2 heures du matin, tous ces encouragements dans ma boite mail, le pharmacien qui m'a posé deux patches bien efficaces sur les lombaires, aucun incident mécanique à part une crevaison, etc... Malgré tout, ça n'a tenu qu'à un fil. Par exemple, en me relevant dans le noir du dortoir de Mortagne, je me suis involontairement appuyé sur mes lunettes de vue qui ont émis un sinistre craquement. Elles ont pourtant résisté mais sinon, c'était mort. Une anecdote : à Loudéac au retour le dortoir était vraiment trop bruyant et j'avais froid. Alors au bout d'une heure bien peu réparatrice j'ai décidé de repartir et d'aller finir cette nuit délicate à Quédillac, 60 bornes plus loin. Seulement je suis allé prendre un petit déjeuner dans la partie complètement opposée au dortoir. En ressortant j'ai tout simplement oublié que j'étais maintenant à l'opposé de l'emplacement du parking à vélo où je l'avais posé en arrivant. Pendant un demie heure je l'ai donc cherché au mauvais endroit mobilisant même un bénévole pour m'aider à trouver le vélo U210. J'envisageais déjà qu'il avait été volé d'autant qu'une autre personne avait le même problème. Et soudain un éclair de lucidité m'a fait comprendre que j'étais totalement désorienté et que bien sûr mon vélo était là-bas, à l'opposé, du côté des dortoirs. Quelle angoisse ! C'est Paris-Brest, tout simplement... Et surtout que ce point de vue d’un septuagénaire multi-récidiviste ne décourage pas les jeunes. Qu’ils se préparent et se lancent dans cette fête de ceux qui parlent toutes les langues et se comprennent pourtant. C’est exceptionnel de se sentir porté par des inconnus tout au long de la route qui ne savent pas quoi faire pour vos aider bénévolement. Et enfin il faut sans réserves remercier l’Audax Club Parisien, un grand club pas seulement par son histoire, mais aussi par son dévouement.
  5. Bonjour Franck, Lors du PBP 1991 Claude GALVAING avait effectué le parcours entièrement en pignon fixe avec un braquet de 43/17. A 55 ans, il avait fait le temps respectable de 63h56, soit une dizaine d'heures de plus que lors de l'édition de 1987. Björn LENHARD cette année sera aussi en pignon fixe avec 49/19. Il vient sans ambition particulière autre que de passer un bon moment et part à 20h45 avec ceux qui ont choisi le délai maximum de 90 heures. Bien noter qu'il vient de rentrer cette semaine de Brest à Paris en vélo après une participation écourtée pour blessures à la TCR..
  6. C'est comme le rugby d'aujourd'hui, le trouves-tu beaucoup moins dangereux que celui d'hier ? On peut trouver des exemples dans les deux sens et dans tous les domaines.
  7. Ouais, vous avez surement raison, mais ce sont des pros dont beaucoup, parmi lesquels Bernal, sont passés par le VTT, alors la boue ??? On ne les a même pas laissé approcher et juger par eux-mêmes. Autres temps, autres moeurs, mais Eugène Christophe, là où il est, doit bien se marrer.
  8. Tout le monde applaudit la décision d’ASO d’avoir arrêté l’étape en haut de l’Iseran, sans trop s’interroger sur la vraie raison. Je suis désolé de ne pas partager le sentiment général, mais je crois que la sécurité des coureurs n’est qu’un prétexte. A voir les photos de la route, ils pouvaient passer, à la rigueur en marchant et en portant le vélo, mais ce n’était pas impossible. Bien des cyclotouristes sont passés dans des endroits autrement plus périlleux, comme Patrick Plaine par exemple franchissant le Galibier au-dessus du tunnel fermé en 1970. Le vrai problème était celui des centaines de véhicules de la caravane, des motards et des voitures des équipes qui eux auraient été coincés dans un gigantesque embouteillage et pour lesquels c’était surement très risqué. A mon avis c’est donc essentiellement à cause de cette pléthore de véhicules que la course a étéarrêtée, volant ainsi, selon toute vraisemblance la victoire à Bernal qui serait allé la chercher à Tignes, grêle ou pas grêle, boue ou pas boue. Dommage pour la légende du Tour qui aurait été beaucoup plus belle si la Direction du Tour les avait laissé poursuivre. Mais à l'ère du principe de précaution c'était impensable.
  9. De toutes façons, prendre l'avion est déjà très peu écolo, non ? Le plastique de l'emballage est une goutte d'eau dans la facture carbone...
  10. Je vais certainement vous faire bondir mais il y a une autre solution. C’est de ne s’occuper de rien : pas de valise, pas de housse, pas de démontage. Juste payer à la réservation du billet un supplément de bagage hors norme. Par exemple après un voyage en vélo que j'ai achevé à Rome, je suis allé à l’aéroport de Fiumicino sans aucune solution de protection. Il y est proposé un service d’emballage des bagages sous film plastique. Il est posé très tendu en plusieurs couches qui font une épaisseur protectrice. Les gars de l’emballage font ça très bien. Tout reste en place (juste dévisser les pédales, tourner le guidon et dégonfler légèrement les pneus) et hop, c’est parti comme ça sans aucun problème à l'enregistrement. Le plus important est de laisser les sacoches qui font un matelas supplémentaire de chaque côté. Même avec une randonneuse à garde-boue de douze kilos, plus une dizaine de kilos de bagages on reste sous les vingt-trois kilos. De mémoire il y en a pour une trentaine d’euros, mais c’était peut-être moins. À l’arrivée aucun dégât et certains diront que c’est de la chance… Pas assez de vécu pour le dire ! Il suffit d’enlever et de jeter le plastique à la poubelle et en selle pour reprendre aussitôt la route. Pas de valise à transporter, pas de housse dont on ne sait que faire. C'est la meilleure solution pour le randonneur au long cours.
  11. Oui ce sont deux philosophies différentes. Patrick n'était pas un touriste du moins pendant toutes les nombreuses années où sa santé lui a permis de se lancer des défis purement sportifs. Après il s'est assagi, mais dans l'âme il est toujours resté un compétiteur. Je ne dis pas un coureur. Son modèle sportif était plus Anquetil que Poulidor. Par la Normandie qui les vit naître, mais aussi par les défis insensés. Avec moins de 24 heures de répit entre les deux, l'un faisait le doublé Dauphiné Bordeaux-Paris et l'autre le doublé Paris-Brest-Paris Audax et Paris-Brest-Paris Randonneur (en 55h42 s'il vous plaît). L'un remportait 5 Tours de France et l'autre en homologuait 12, dont trois en moins de 14 jours.
  12. Ok je vois, il n'en reste qu'un et il est membre de l'Union des Randonneurs Flandres Artois. Son prénom est à la fois masculin et féminin. Son nom est aussi un prénom. J'ai bon ? Si oui il a effectivement fait 19 diagonales. Bizarrement, alors que presque tous les multi-diagonalistes ont aussi fait au moins une fois Paris-Brest, ce n'est pas son cas, ni même pour le Tour de France. Donc bien différent de Patrick.
  13. Pourquoi ? Parce que l'un a arrêté de faire des diagonales depuis plus de vingt ans et parce que les deux autres sont membres d'un club alors que tu nous a dit que ton ami était en dehors des clubs. Bien sûr je parle des diagonales dans les deux sens et non des aller-retour dans la foulée. Je ne dis pas que c'est un tricheur mais tu as peut-être mal compris ou oublié ce qu'il t'a dit ou un peu enjolivé. Donne-moi un indice supplémentaire et je ferai amende honorable si tu as raison...
  14. Dommage, car sur les 63 diagonalistes à avoir fait les 9 diagonales dans les deux sens il n'y en a que trois à être encore vivants et à avoir un peu plus de 80 ans. Pour ce que j'en sais aucun des trois ne correspond à ton ami. Alors permets-moi d'avoir des doutes. Comme d'habitude tu veux parler d'un sujet que tu connais mal.
  15. Tu fais bien de commencer par « Selon moi ». C’est en effet un choix de vie que tu proposes. Patrick en avait fait un autre, radicalement différent : pas de travail, pas de famille, pas de biens matériels, pas de confort, des amis mais très peu de compagnons de route… Je n’ajouterai pas « ni dieu, ni maître », car il croyait en l’au-delà. Mais jamais, au grand jamais, je ne l’ai entendu faire du prosélytisme pour son mode de vie. Il pouvait prôner la frugalité, l’autonomie, la volonté, mais c’était toujours par rapport à la pratique du vélo, telle qu’il la concevait. Ce n’était jamais pour dire : « imitez-moi dans mon mode de vie". Il respectait trop la liberté individuelle pour se permettre de donner des leçons.
  16. Si ce n'est pas le mettre en avant, nous ne parlons pas la même langue ! Personne ne t'obligeait à l'impliquer pour corroborer ton point de vue. Quand même, bien que tu ne veuilles pas le nommer, donne-nous au moins un indice, par exemple son prénom, ou sa région, ou ce que tu veux...
  17. Des gars qui ont fait plus que les 9 diagonales dans les deux sens, il y en avait exactement 63 au 31.12.2017. Donc ce n’est aucunement un exploit exceptionnel. Ton copain que tu ne cites pas est un excellent randonneur, mais quel est l’intérêt de le mettre en avant comme un bélier pour enfoncer une porte ouverte et hors sujet ? Tu es son porte-parole, la voix de son maître ?
  18. "Excés" par rapport à quoi ? "Déséquilibre" par rapport à quel point ? Si c'est par rapport à des normes je me demande bien qui serait habilité à les définir. Alors c'est sans doute par rapport au français moyen ou, plus probablement encore, par rapport à toi tout simplement. Donc remarque sans aucun intérêt. La motivation de Patrick, que je connaissais très bien, était on ne peut plus simple. Elle s'appelle LIBERTE. Il avait éliminé le plus possible de contraintes et de faux objectifs pour se donner totalement à ce qui le rendait heureux : se fondre dans la nature en s'y déplaçant sur son vélo. Il était comme le disait Giono un élément du "tissu sans couture de la nature". Pas la peine de chercher plus loin. Je sais que malgré sa mort horrible et si injuste, il est mort heureux. Au sens où Camus l'entend quand il dit qu'il faut imaginer Sisyphe heureux.
  19. Oui Marie-Noëlle tu as surement raison, mais je préfère l'explication en souvenir d'Antoine Blondin. Quelques unes de ses trouvailles : - après l'étape du Tour 69 arrivant à Mourenx où Merckx avait écrasé la course : "Tout Eddy" - alors que Rudi Altig s'annonçait comme un candidat sérieux au maillot vert :"Un Rudi vert se prépare" et tant d'autres...
  20. Une question que je me suis souvent posée : pourquoi Vélo 101 s’appelle « Vélo 101 » ? Pourquoi 101 ? Peut-être je me trompe, mais je crois avoir trouvé la réponse et c’est Jacques Augendre (plus de 50 Tours de France à son actif comme journaliste) qui la donne dans son livre sur « Antoine Blondin, la légende du Tour » aux éditions du Rocher, au chapitre « Le passager de la voiture 101 ». Voici ce qu’écrit Jacques Augendre : « Un sacré numéro ». Ce fut le slogan de la 205. Mais, bien avant le balancement de la petite Peugeot devenue grande, les Compagnons du Tour de France avaient déjà utilisé la formule pour désigner la voiture 101. Une Peugeot, précisément de couleur rouge et déclinée de la 203 à la 504 au fil des années. Cette auto pas comme les autres ne pouvait passer inaperçue. Pendant un quart de siècle, elle aura été à longueur d’étapes, le théâtre de … sacrés numéros, interprétés par de sacrés personnages, Antoine Blondin, Pierre Chany, Michel Clare et Jean Farges, leur pilote. Un quatuor de copains qui ne ressemblait à personne… Pour ma part, dit Jacques Augendre, j’occupais le tan-sad de la moto 101 (jumelée avec la voiture-vedette de l’Équipe), une place que je laissais à Pierre, lorsqu’il voulait voir les coureurs de plus près, ce qui me permettait de coudoyer assez souvent Antoine. Il a certainement vécu quelques- uns de ses meilleurs moments dans cette fameuse berline qu’il appelait sa résidence d’été. C’est avec une énorme jubilation qu’il a écrit : « Au mois de juillet, j’habite une automobile qui s’apparente aux trains de plaisir ». Un coup de cœur dont Michel Clare s’est fait l’écho : « La voiture 101 aura été, pendant des lustres, un espace de bonheur et de gaieté. On blaguait sans cesse et l’on ne se prenait pas au sérieux ». Puisse le forum de Vélo 101 en être le digne successeur…
  21. Bonjour Emile, La roue avant à 24 rayons ligaturés et croisés à 2, si je vois bien, est plutôt rare. Est-elle d'origine et servait-elle dans toutes les étapes du Tour de France? Moyeu Mavic à l'avant et Campa à l'arrière, ça fait un peu désordre, non ? Des couronnes Maillard en dural au lieu de l'acier auraient permis de passer sous les 9 kilos. Mais c'est histoire de dire quelque chose, car c'est un très beau vélo cependant. Compliments.
  22. Bonjour, Si tu parles du serrage dans le pivot de fourche, c'est une erreur de dire :"je préfère avoir une potence trop serrée que pas assez...." En cas de chute la potence ne jouera pas le rôle d'amortisseur et le risque de casser le cintre ou de vriller un fourreau est beaucoup plus grand. Les anciens vélocistes le savaient bien qui ne vissaient jamais à mort la tige de l'expandeur.
  23. Je suis bien d’accord avec toi Marie-Noëlle, la FFCT qui est simplement une fédération de clubs ayant à peu près les mêmes valeurs sportives et culturelles, a permis à beaucoup de cyclistes (dont je fais partie) de savoir qu’il existe autre chose que l’éternel championnat du monde du dimanche matin. Dommage de ne pas s’en rendre compte. Toutefois je trouve qu’elle commet une maladresse à se décréter unilatéralement FFVélo. Comme la confiance, un tel titre ne se décrète pas mais se mérite. Or en quoi la FFCT a-t-elle défendu tous les utilisateurs de vélo ? Peu consultée dans les aménagements routiers, très absente dans les accidents graves, inerte vis-à-vis de la SNCF dont l’acceptation des vélos est de plus en plus fermée… Bien sûr toute la FFCT repose sur le bénévolat et il serait injuste de l’oublier, mais qu’elle devienne d’abord une FFVélo dans les faits, comme une évidence pour tous par l’ampleur de ses actions, et ce sera beaucoup mieux.
  24. D’accord avec toi. Quinze euros par an pour disposer de cent points et d’un outil aussi utile et précis qu’Openrunner, je ne trouve pas que ce soit scandaleux. Je dirai même que c’est normal de payer un service s’il vous satisfait. Maintenant pour ceux qui ne veulent jamais débourser un euro, il reste même possible de continuer avec l’outil gratuit limité à vingt points. Avec vingt points bien utilisés et en faisant tourner le calculateur d’itinéraires, on peut en tracer des parcours. Par exemple avec un point à Brest et un à Strasbourg, on a une première ébauche pour une diagonale qui n’a rien de ridicule, et il reste dix-huit points pour faire des ajustements. Mais beaucoup d’utilisateurs croient utiles de placer beaucoup trop de points, car ils n’utilisent pas assez le calculateur. Et ce sont les mêmes qui vont râler contre les quinze euros que demande Eric Thouvenin.
  25. Ca ne doit pas être si nul, puisque ça a marché pendant des années. C’est exactement ce qu’Armstrong, le cycliste qui a vaincu le cancer, a fait croire à des millions de gens. Alors demander qui a eu l'idée, c'est plutôt comique.
×
×
  • Créer...