J'imagine que les cyclistes de Languedoc-Roussillon doivent également être habitués à "bouffer" du vent : il n'y a pas que le Mistral dans la vie, il y a aussi la Tramontane et le vent d'Autan. Dans le Dijonnais, sur le sud du plateau de Langres dominant la Saône, ça souffle pas mal également, d'où les parcs éoliens qui s'y multiplient, même si leur rendement annuel n'est toujours pas rentable, comme dans beaucoup de coins réputés ventés.