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Maladroit sur un vélo...comment y remédier?


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sans vouloir être désobligeant, l'age peut aussi être un facteur aggravant.

je pratique le vélo route et vtt, aujourd'hui même si mon vtt est typé rando all mountain j'ai du mal a faire une roues arrière, alors qu'a 15 ans je faisais plusieurs centaines de mètres et sur le vélo course de surcroît ! 

y'a rien a faire quand le cerveau commence a penser au danger, ça fait lever le pied...

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@ Patrick,

Tu as bien analysé la chose, les exercices d'EDC devraient te permettre de te sentir mieux sur le velo :

- Slalom autour de points fixes

- passage de planches

- ramassage d’objets au sol

 

Pour s'habituer à frotter, c'est plus dur ..

2 ou 3 partenaires et un espace délimité permettant d'évoluer à faible vitesse sont nécessaires.

Le jeu consiste à faire poser pied à terre aux 2 autres partenaires..coup d'épaules et autres obligatoires !! 😃

Très ludique, permet de s’aguerrir aux contacts en roulant.   😆

 

Bon courage.

Sportyvement.

 

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Non vous n'étes pas les seuls je suis exactement comme vous. Ayant commancé le vélo à 36 ans j'aime pas du tout quand sa frotte. Au tant une descente tous seul sa va à peut prêt alors que lorsqu'il y a du monde au tour de moi je pert confience. Pour les virages j'ai fait des progrès mais je pert systématiquement 2 m à chaque fois. La route humide pareil une vraie engoisse. En plus dimanche lors de la première course je suis tombé poussé par un autre concurent rien de bon pour me mettre en confience. A entrainement égal nous faisont beaucoup plus d'effort pour des résultats moyens, bon grimpeur j'apréhende également de passer sur de belles cyclos car les pelotons sont encore plus conséquents.

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Comme tu n'es pas un débutant, le fait de n'avoir pu vaincre ces appréhensions au fil du temps suggère peut-être une problématique autre que la seule approche technique… En dehors de ça, la seule chose que je vois est de trouver un bon cycliste qui t'accompagnera sur des parcours rapides et des descentes sinueuses durant 1h00 où 2, qui saura non seulement t'observer et mais aussi trouver les moyens didactiques pour t'aider à comprendre les trajectoires, sentir les centres de gravité, quand et comment balancer ton vélo dans les courbes, apprécier les limites d'adhérence en fonction des terrains… Mais bon si tes craintes s'apparentent à une sorte de phobie, la peur de tomber, tu pourras bien faire tous les exercices possibles cela risque de ne pas changer grand chose…

Faire du VTT pourquoi pas, mais c'est aussi une discipline très technique qui nécessite un ressenti du terrain et une constante anticipation… Sinon la gamelle n'est jamais très loin…

En attendant sur un terrain légèrement en pente pour ne pas avoir à trop pédaler, tu peux te faire des slaloms de plus en plus rapides entre des plots, d'abord espacés, puis un peu plus resserrés… De cette façon tu t'habitueras à balancer le vélo, bien te positionner pour enchainer les virages sans sortir des plots et prendre confiance sur le grip de tes pneus… Ceci dit tout les pneus ne se valent pas… Pour ma part comme je ne recherche pas spécialement la performance j'apprécie beaucoup les Conti 4000 qui ont un rendement très correct et tiennent vraiment bien sur sol humide… Et de surcroit percent rarement selon mon expérience…

A+/GR

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Je ne rigole pas, ce qu'il te faut, c'est tomber une fois. Ca va forcément t'arriver en course. Tu te relèves, une bonne chasse, tu rentres dans le paquet et sur l'adrénaline, t'en mets une... Du coup, ta gamelle va devenir un truc parfaitement anodin.

Mais ne pense qu'a une chose : remonter sur le vélo tout de suite et repartir. Tu remets la chaine, mais tu t'en fous du reste, c'est que du matos ou des écorchures... 

Evidemment, je ne te souhaite pas de tomber, mais ça dédramatise drolement quand c'est arrivé...

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Pour vaincre tous ces problèmes il faut rouler le plus régulièrement en peloton : rouler,rouler,des courses et encore des courses.ça vient au fur et à mesure et au début de mes premières compétitions j'avais peur,je suis tombé lors de ma deuxième course puis je me suis fais envoyé dans le décors plusieurs fois.Le déclic est arrivé,une petite pointe d'agressivité sur les compétitions pour garder sa place,remonter,virer en tête et surtout prendre les choses avec du plaisir,être reconnu,faire partie du groupe et là franchement tu évolue avec aisance.Une donnée essentielle pour en arriver là il faut être en forme sinon tu subis tout : les accélérations,le moindre virage,etc...et tu fais des erreurs! Le top pour moi c'est quand un compétiteur s'appuie sur toi et que tu reste calme bien stable , que dans le regard de l'autre tu vois qu'il a fait une bourde et qu'il est bien content que tu sois resté bien solide,ouf!!! la chute évitée.

JR.

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je ne sais pas dechausser mon pied gauche ... Il est toujours attaché. Je suis comme l auteur du poste tres maladroit. Je ne sais pas lacher le guidon. En revancche en descente je n ai pas trop peur. Mais suis quand meme maladroit. Donc demi tour à droite ça passe mais pas à gauche.

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Jusqu'à l'arrêt les virages c'est étonnant...

En tout cas moi avant je voyais avec le club que dans les virages je prenais 3-4-5 mètres à chaque fois, pas serein du tout. Jusqu'à il y a 2 mois par là, dans un virage je me suis fait prendre 7-8m et comme je suis du genre à rendre chaque chose banale en compétition, je me suis dit qu'il y en avait assez j'ai fini la descente en prenant tous les risques et depuis j'y vais a fond et je m'éclate vraiment.

Tout ça pour dire que peut etre qu'en roulant avec quelqu'un d'autre et qu'il y ait une rivalité ça te donne le déclic.

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+1 pour un problème d'équilibre, oreille interne, faut aller voir un ORL on ne sait jamais.

Après plus on  a peur plus on se crispe, plus on fait n'importe quoi....donc plus on a peur, c'est un cercle sans fin. Je n'avais pas de problème dans les descentes et en peloton... jusqu’à tomber 3 fois dans la descente du portillon lors d'une cyclo, il pleuvait pas mal (1ére pluie avec plaque de gasoil partout) depuis j'ai la trouille quand c'est mouillé, pas facile de se décontracter, pourtant c'est ce qu'il faut faire, bien relâcher les bras, c'est très important et regarder loin devant.

bon courage!

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Idem, d'ailleurs, la seule fois que je me suis planté en vélo, c'est sur un droite alors que je suis gaucher. Pris un muret à 50 km/h, depuis j'ai un peu d'appréhension à virer.

Et en peloton, s'il n'y avait pas la peur de me retrouver en arrêt suite à une blessure, je frotterais un peu plus (même si dimanche, j'ai encore fait du épaule contre épaule pour garder ma place dans une bordure, et ce malgré la chute et la clavicule en vrac d'un copain peu de temps avant!). D'ailleurs c'est suite à une chute que je frotte vraiment, comme disait je ne sais plus qui plus haut, ça m'a décoincé. Quand aux descentes, c'est "grâce" à mon frère, qui se foutait de moi dans les descentes. De colère je l'ai suivi, il descendait tranquille, je me suis aperçu que ça passait sans problème, que je m'arrêtais facilement, et depuis je fais les descentes de col à allure rapide!

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