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Et vous votre 1ère victoire c'était comment ?


Emile ARBES

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Cétait bien, mais bien loin....... Dans la semaine précédente nous étions allé voir  le CLM Nay Pau du Tour puis ton frère et l'équipe Renault Gitane à Bordeaux, à leur hôtel. T'en souviens tu ? Au retour, j'apprends que j'ai loupé le bac. La 1ere victoire, 2 jours plus tard à Pau, au sprint, sur un Gitane Campa ayant appartenu à Hubert Arbes -j'étais fier comme un paon-m'a consolé un peu, et fut le départ d'un bel été cycliste. J'ai réussi le bac l'année d'après.....

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Ah Emile, tu me flattes.....

Le jour du CLM, nous avions rencontré Alain Mastrotto et été boire un coup chez Michel Bernard à Nay. Le dimanche suivant, Mastrotto, Bernard, et moi-même gagnions !!!!

Je me souviens avoir été frappé par la maigreur des jambes de ton frère à l'hôtel à Bordeaux, ça m'avait fait peur !

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C'était du coté de Culoz, ma douzième course, une 3 et 4.

A l'approche du dernier kiloomètre je me suis retrouvé dans les premières places d'un peloton massif. J'ai eu la trouille du sprint, mais comme je savais que je pouvais aller vite, j'ai fait un coup a la ian Raas, j'ai réussi pour quelques centimètres. La semaine précédente j'avais aussi eu la trouille dans une position analogue, et je m'étais laissé descendre a l'arrière du peloton

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C'était en 2007 pour ma 3ème saison.

 

Circuit plat en debut de saison avec 2 ponts d'autoroute et un vent glacial. Il devait y avoir 70 partants?

J'ai attaqué plusieurs fois avec différents compagnons d'échappée, mais en general ils ne collaboraient pas ou étaient trop à bloc et on se faisait à chaque fois revoir.

Ma dernière echappée (a 3) est reprise a 4 km de l'arrivée, et la je me dis que c'est mort et que ca va encore arriver au sprint (mon gros point faible), et ca m'enerve.

10 secondes après avoir été repris, un concurrent me dit "eh oui dommage ca sera pas pour aujourd'hui". Ca me met les nerfs, et dans une petite route vent de face, je remets une mine, je me mets a bloc pendant 1 minute. Quand je me retourne avant une épingle ou le vent devient favorable, je m'apercois que derrière ca a tergiversé et que j'ai quelques secondes (20 peut etre) d'avance.

 

Je ne me releve pas et je profite que le vent me pousse maintenant pour maintenir l'allure.

 

Je franchis la ligne dépouillé mais heureux comme je ne l'ai jamais été, seul avec 15 secondes d'avance sur le paquet, satisfait comme pas possible d'avoir déjoué le sprint qui semblait promis!

 

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En 2006, pour ma deuxième course. Un circuit assez valloné avec une belle bosse, du vent, de la pluie. 10 tours à faire de mémoire, je m'échappe dans la bosse du 2èm tour avec 3 autres mecs. On tourne bien, je sens que j'ai la patate. A mi-course 3 hommes reviennent donc un coéquipier expérimenté qui se met à la planche pour faire vivre l'échappée. Tout le monde passe, mais le peloton guette, jamais à plus de 30" derrière. Dans le dernier tour, on nous annonce un contre de deux coureurs tout proche, dont un très bon sprinter. Avec mon collègue de club on visse pour ne pas le laisser rentrer. Mon collègue m'emmène ensuite le sprint que je gagne sans problème, avec plus d'un vélo d'avance! Gros gris de joie et énorme fierté, une sensation que je n'ai plus connu depuis !!! 😆

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