Jean GUY Posté le 4 octobre 2012 Share Posté le 4 octobre 2012 La vérité, c'est que le cyclisme de 1904 et le cyclisme de 2012, ce ne sont pas les mêmes sports. Tout juste se disputent-ils sur deux roues à pédales, mais ça s'arrête là.Un cyclisme "raccourci' d'aujourd'hui est aussi un cyclisme plus rapide, plus violent, plus intense.Le cyclisme d'hier était un sport d'usure, celui d'aujourd'hui est un sport de puissance.Donc, à dire que le cyclisme d'aujourd'hui manque d'envergure pour des questions de distance, non. Cette explication ne convient qu'aux nostalgiques, ceux qui regrettent leurs 20 ans ;o).Ah, c'était mieux avant............... ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mauro GRUPETTO Posté le 4 octobre 2012 Share Posté le 4 octobre 2012 Ce sont effectivement deux époques tellement différentes...Il y a un siècle, ce devait être une drôle d'aventure de traverser la France de jour et de nuit. Des routes dans quel état ? Pas ou peu d'éclairage public, quel éclairage sur les vélos pour la nuit ? Dans ce sens, ce sont les mecs qui font le Vendée Globe aujourd'hui qui sont à classer dans la même catégorie. Même un Paris Brest Paris géré en compétition n'aurait pas les vertus d'une aventure. Trop vite fait, routes trop belles, aucun risque...Mais pour autant, le vélo d'aujourd'hui est probablement davantage une performance pure, qu'une aventure sociale. Alors il ne manque surement pas d'envergure. C'est différent, c'est tout... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mauro GRUPETTO Posté le 4 octobre 2012 Share Posté le 4 octobre 2012 Pas répondu à ta question subsdiaire et c'est pourtant intéressant."qui ici, serait prêt à se lancer dans une telle épreuve de très longue haleine au risque de s'y noyer "Le problème, ce n'est peut-être pas de s'y noyer, mais de s'y ennuyer. Y compris pour les protagonistes, pas seulement pour les téléspectateurs, puisque tu as l'air de penser que tout est régi par la télé.Je pense que les renversements de situations, les défaillances merveilleuses, c'est fini. Regarde la plupart des courses un peu longues. Des courses pros aux cyclosportives, ça écrème naturellement passé un certain kilométrage. Et ça ne revient pas de l'arrière. Ca roule au train, quel intérêt...? Au bout d'un moment, ça devient de la rando. Le seul but possible, c'est d'arriver au bout. Très bien pour un défi perso, mais en compétition, quel intérêt ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-Pierre MARTINEZ Posté le 5 octobre 2012 Share Posté le 5 octobre 2012 Mais ce n'est pas maintenant que tu verras comme en 1929,trois coureurs porter le maillot jaune,à égalité de points,à bordeaux(Victor Fontan,André Leduc,Nicolas Frantz)une belle lecture "Je me souviens du Tour de France dans les Pyrénées", Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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