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Ce matin j'ai roulé avec…


Gérard ROLLANDO

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Je matin j'ai roulé avec Brice. Vous ne le connaissez pas ? Eh bien moi non plus avant ce matin. Il m'a contacté via le forum pour découvrir la Vallée de Chevreuse. Il me prévient: "Je débute, je n'ai pas de vélo de course, mais c'est un bon vélo"… Rdv à 7h30 place d'Italie. Nous voilà partis. On fait connaissance. Le vélo de Brice? Un B'Twin de ville plus tout neuf, sans cale-pieds… Une sorte de Velib qui aurait fait un régime… On passe le Christ de Saclay et on descend dans la vallée. La première bosse arrive, puis les suivantes… Normal on a choisit un circuit vallonné, Brice voulait de la bosses… 4h00 plus tard nous voilà de retour place d'Italie, 100 bornes bien servies au compteur avec près de 600m de dénivelé. Alors moi je dis bravo à Brice. Habituellement il roule juste 15 à 20 bornes dans Paris avec pour bosses Belleville et Ménilmontant…


Alors si vous avez un vélo en carbone que vous peinez à emmener, donnez le à Brice… Je pense qu'il saura rapidement le faire rouler. Il vous donnera son B'Twin… 


 


A+/GR

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J'ai commencé le vélo avec un vieux vélo Manufrance modèle hirondelle (je peux citer la marque car elle n'existe plus) qui appartenait auparavant à un cousin car j'avais 16 ans et pas d'argent pour investir dans un vélo.

Je m'en servais pour aller faire des escapades dans le Vercors, je me souviens que j'ai eu les félicitations de 2 gars d'un club qui m'ont eu très longtemps en point de mire et qui ont mis beaucoup temps avant de me dépasser dans la montée des grands Goulets, je devais donc avoir de bonnes capacités physiques sans le savoir et ensuite je me suis aperçu que même avec un veau pareil j'arrivais à dépasser pas mal de cyclos qui semblaient bien entrainés et me faire dépasser que par des cyclos ayant déjà un très bon niveau.


Comme quoi la qualité de vélo ne fait pas tout, il suffit que le plaisir de pédaler et surtout de grimper soit au rendez-vous, mais c'est quand mieux si on a les capacités financières de rouler avec un vélo de bonne qualité.

 

 

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Moi aussi j'ai découvert la route sur un VTT… Et qu'elle n'a pas été ma déception quand avec le superbe Wiliers de course que je venais d'acquérir je me suis senti planté lors de ma 1ère sortie. Je n'avançais pas… En décalage complet avec l'image que je m'étais fabriqué dans la tête. Fort heureusement il ne s'agit que d'une période d'adaptation (plus ou moins longue). C'est vrai que lorsque l'on est habitué au poste de pilotage d'un VTT, la position sur un course est assez contraignante pour le débutant (surtout quand on est plus tout jeune). Donc il faut parfois une certaine envie et passion pour dépasser ces premières impressions et accepter de mouler son corps sur le vélo. 


Fort heureusement je me suis affranchi de cette difficulté et je dois dire que lorsque je peux accompagner des coursiers durant quelques minutes en roulant à plus de 50 à l'heure sur du bitume… C'est une sensation de glisse très agréable propre au vélo de route… Le VTT procure aussi de bonnes sensations mais je le garde pour les parcours spécifiques et les chemins de terre où son rendement est plus adapté…


 


A+/GR

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Je suis toujours surpris par certains avec leur monture--autrement dit l'habit ne fait pas le moine"

Je dois ajouter que je surprends certains aussi roulant en ce moment avec un vélo très classique anglais fait surmesure à la main avec garde boue bien intégrés et des  Mavic Ksyrium!

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