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Ariégeoise 2012


Jean-Pierre DASTUGUE

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Non, c'est le gros point noir pour moi, je suis en vacances à Saint Girons, impossible de s'inscrire le matin de l'épreuve, pas cool...ça ne pose pas de problèmes sur beaucoup d'autres cyclos pourtant? Problème de bénévoles? La critique s'applique aussi à la Pyrénéenne, inscription impossible le jour même pour les 4 Vallées...

Le parcours a l'air super bien balisé en tout cas, j'y suis passé aujourd'hui en voiture, pas loin de Foix, y'a des panneaux partout signalant virages dangereux, feux tricolores à respecter, bifurcation des parcours...etc...

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Tu ne m'a pas bien lu je te disais que pour françois le problème ne se posais et sont choix était cohérant, car pour lui l'étape du tour n'est pas son objectif principal, c'était justement la pyrénéenne qui ne fera pas d'ailleurs; il sera donc bien frais pour l 'étape du tour.

je pense que chacun restera campé sur ses positions et c'est heureux comme ça.

A+.

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Bonjour à tous, Samedi j'ai participé pour la première fois a la Mountagnole. C'était ma première cyclosportive et j'ai adoré, l'ambiance est vraiment géniale. En montant le plateau de beille un gars m'a dit que cette année la Mountagnole était plus dur que les années précedentes.

 

Pour les habitués, vous en pensez quoi, vous êtes d'accord ?

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Salut Nicolas !

Oui la personne avait raison, car l'ariégeoise et la mountagnole arrive une année sur deux à Auzat et l'autre au plateau de Beille.

L'année dernière on a monté le col de la crouzette et le port de l'hers et de la on redescendait vers auzat, y'avais moins de dénivelée et de distance que cette année.Quand ca arrive à Auzat c'est généralement plus facile.

Aprés les parcours sont équivalents y'a 2 ans c'était exactement la même distance et la même dénivelée, ce sont juste les parcours qui changent.

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Allez, je lance une polémique (gentille)...

Combien de participant cette année à l'Ariégeoise ? Une baisse nette si j'en crois les chiffres.

La faute à quoi ? Très certainement à une date de clôture des inscriptions choisie pour faire des économies, et qui s'est en définitive révélée contre-productive.

;)

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je pense surtout qu'un grand nombre de personnes avaient préféré s'inscrire sur la pyrénéenne...difficile de faire les deux ( surtout les grands parcours car j'ai retrouvé certains sur le petit) et à priori, la pyrénéenne présentait des caractéristiques similaires à l'edt.Dommage car l'ariégeoise est une (très) belle épreuve et il y fait toujours beau (quoique...).

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Salut Francois !

je me lance à l'offensive en toute amitié biensûr !

Cette année 4160 participants, l'année dernière 4216, donc l'écart est trés infime !

Pour ma part s'il y a moins de participants que l'année dernière c'est du fait que :

- l'arrivée au plateau de beille rend la course trés difficile, de part la difficulté et la chaleur et surtout placé en fin de course montée en 12 et 14h, chaleur éprouvante !

Je rappelle que lors de l'édition 2010, il y avait eu 800 abandons aux Cabannes en bas du Plateau de Beille, des personnes qui n'avaient même pas entamé l'ascension !

 

- l'autre raison est le rapprochement avec la Pyrénéenne, deux épreuves de cet envergure sur un seul week-end ca met un peu le bazar, j'avais trés envie de faire la pyrénéenne mais vu le rapprochement avec l'ariégeoise, impossible, pas mal de coureurs ont du faire un choix entre l'ariégeoise ou la pyrénéenne  et je trouve ca regrettable !

 

Ensuite pour la clôture des inscriptions, je pense que c'est tout à fais normal vu l'ampleur de cette cyclosportive, le nombre d'engagés, pour éviter le surplus de stock en maillot ou les repas en trop !

L'ariégeoise possède un site trés détaillée, l'information de clôture des inscriptions est marqué depuis plus de 6 mois ! chaque participant reçoit la brochure avec cette information aussi !

Aprés je suis daccord la clôture devrait être plus tardive genre  1 semaine avant l'épreuve et pas 3 comme il l'ont fait.

Je pense que quand on atteint un certains nombre de participants, des aménagements sont à prévoir côté organisation, c'est ce qu'essaye de faire l'Ariégeoise et côté organisation je n'aie jamais vu mieux !

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Bien sûr, c'est une fausse polémique, tu l'as bien compris !

En réalité, je me pose 2 questions : 1/ Dans quelle mesure effectivement Beille fait "très" peur, comme tu le dis. 3/ Comment optimiser la question des maillots et des repas.

Mon envie de polémiquer (faussement), provient de l'impossibilité de s'inscrire le jour même. Quand on a vu que le temps allait être catastrophique sur la Pyrénéenne, on aurait bien aimé pouvoir se rabattre sur l'Ariégeoise.

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Je pense que pas mal de personnes ont effectivement mis en avant, la suppression de l'inscription le jour-même, c'était la première fois qu'il le faisait ! donc vu les réactions peut-être qu'il vont revenir aux inscriptions sur places le jour de l'épreuve.

Ensuite le problème essentiel c'est les dates, il faudrait au moins 1 semaine d'écart ou deux semaines, d'habitude c'est 1 semaine entre la pyrénéenne et l'ariégeoise vu que l'ariégeoise est la dernière semaine de Juin et la pyrénéenne la première de Juillet, ls auraient dû trouver un terrain d'entente !

C'est comme si on organisait La Marmotte et l'Etape du Tour un même week-end, ca se fait pas ! pareil pour ce type de manifestations !

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Bonjour,

Je réagis à retard sur ta remarque

Je trouve les circuits proposés cette année peu intéressants, la Mountagnole en particulier, avec un col à la descente problématique en peloton (la Lauze comme déjà dit).

Je pense qu'on aurait pu faire la même l'an dernier pour la descente de la Crouzette, il suffit d'imaginer qu'il y ait une forte pluie et du ruissellement, la Crouzette est déjà dangereuse en peloton et deviendrait presque infernale. En fait, à mon avis, c'est le "défaut" de l'Ariège, d'avoir de jolies petites routes. Donc jolies quand on y va tout seul pour faire les répétitions, petites et donc problématiques pour y passer en peloton (surtout en peloton d'amateurs plus ou moins habitués). Personnellement, je fais les parcours de l'Ariégoise, pour profiter de la beauté des parcours, pas pour la course, donc d'autres week-ends. Cette année, j'ai beaucoup apprécié le point de vue de la partie plate en haut de la Lauze (que sans doute beaucoup n'ont pas remarqué) et la partie autour de Montségur, que j'aimerai bien refaire dans l'autre sens.

Ces petites routes étroites me font me poser un problème pour le Tour : que se passera-t-il au mur de Péguère ? La caravane va-t-elle y passer ?  Je ne l'imagine guère pour la caravane publicitaire (imaginons qu'un véhicule tombe en panne, il bloquerait sans doute tout) mais qu'en est-il pour les voitures suiveuses ? Gêne-ton les coureurs avec des voitures ou les laisse-t-on sans secours s'ils crèvent ?

Pour revenir à l'Ariégoise, j'aime beaucoup cette opportunité de découvrir différentes routes de l'Ariège.


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Salut Bertrand,

Il y a eu dans mon entourage un bon nombre de personnes (4 exactement), qui ont renoncé à la Mountagnole à cause du parcours, soit parce qu'ils trouvaient la descente de la Lauze dangereuse (lorsqu'on y est passés, elle était dans un état déplorable à cause des gravillons), ou à cause de celle du pas de Souloumbrie. Des copains cyclos de Castanet m'ont parlé de chuteS dans la première descente pour des concurrents qui étaient en groupe. S'il le faut il s'agit d'accidents isolés transformés en conséquences du tracé emprunté.

L'année dernière, dans la Crouzette, je n'avais pas eu le sentiment de danger que j'ai éprouvé cette année à la descente de la Lauze ou sur Verdun. Ce ressenti personnel a été partagé par d'autres en tout cas. Outre des parcours plus proches des routes de l'EdT, voilà pourquoi j'avais choisi la Pyrénéenne.

Voilà pourquoi Eole et Jupiter ont choisi de me punir !

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Bonjour

je ne vois pas en quoi ces descentes sont dangereuses: compte tenu du nombre important de virages on ne descendait pas à 80 km/h. En plus les descentes étaient fermées à la circulation. Ensuite, c'est aux coureurs d'être prudents. Ils y en a qui font n'importe quoi: nous avons rejoint dans la vallée des concurrents de la randonnée, il y en a qui a voulu se "confronter" à nous, il s'est mis au milieu de la voie de gauche pour nous doubler alors que des voitures venaient en face...

C'est à chacun d'être responsables !

En tout cas moi je me sens plus en sécurité sur ces cyclosportives où je me retrouve avec des coureurs qui savent rouler alors qu'en UFOLEP il y a toujours des mecs qui font des écarts, traversent la route de droite à gauche, etc...

 

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il y a déjà eu cette configuration puisqu'il j'avais fait la marmotte puis l'edt dans le même week end . Pourtant , il me semble qu'il y avait le plein aux deux épreuves. Le problème est que, tout autant que les dates,  les Alpes ont un "bassin " plus important que les pyrénées  car  le massif est "facile" d'accès pour tout le Nord de la France ainsi que pour une partie de l'Europe . Les Pyrénées sont plus à l'écart.Il me semble qu'il faudrait  aussi tenir compte de cela; le public est plus limité.

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Bonjour François,

Tout à fait d'accord, j'étais passé au col de Lauze en Mai et avait à l'époque réagi sur l'état du col et les gravillons, ce qui avait conduit l'organisation à promettre un balayage (voir page 3 de ce fil). J'avoue que j'aimerai savoir ce qu'a donné ce balayage. En effet, s'il ramenait les gravillons sur le bord, cela pouvait rester très dangereux pour un cycliste forcé d'y passer.

L'an dernier, il y a eu un ou deux accidentés dans la descente de la Crouzette d'après ce que j'ai entendu dire par ceux qui y avaient participé. Quand nous y étions passé en "répétition" (certains repéraient réellement, je ne faisais que faire le parcours pour le plaisir), nous avions trouvé un autre groupe avec une fille qui ensuite à très bien monté le Port de l'Hers mais qui descendait la Crouzette sur les freins. A mon avis, personne très dangereuse si elle est là le grand jour car elle pas mal de monde derrière elle en haut du premier col et devient ensuite un obstacle mobile dans la descente. Mais surtout, j'ai trouvé que la descente de la Crouzette pouvait devenir très piégeuse en cas de forte pluie. A voir les talus, il y a des endroits où ça doit raviner pas mal et où des torrents doivent couper la route.

Mais ces dangers sont inhérents à ce genre d'épreuve sur route ouverte et pas toujours en excellent état (difficile d'avoir des routes impeccable dans une région montagneuse). Je ne sais plus si c'est avant ou après le Mas d'Azil que l'an dernier un de mes amis avait noté des cassures du revêtement qui faisaient des marches presque dans le sens de la route. En petit groupe, on les voit et on les évite. En sortie de club, on montre le danger du doigt aux copains, voire on crie. En "course", on se démerde, les autres aussi. Il semblerait qu'il y ait eu un accident l'an dernier à cause d'une de ces cassures.

Je ne voudrais toutefois pas être négatif vis à vis de l'Ariégoise. C'est une superbe organisation, ils concoctent des parcours très intéressants et permettent de découvrir un très beau département. Ce serait bien que le départ et l'arrivée changent, pour balayer tout le département.

 

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C'est sur que le réseau routier ariégeois n'est ps au top sur certaines zones, la crouzette ou la lauze sont des routes en retrais et peu fréquentées mais présentant des paysages somptueux, l'ariégeoise insiste aussi sur ce volet pour la découverte des paysages !

 

Aprés il y a tellement de routes possible, j'espère qu'il feront passer un jour l'ariégeoise par le port de Pailhères histoire de promouvoir encore un peu plus la course en empruntant le col le plus dur de l'Ariège et un des plus dur des Pyrénées !

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Bonjour,
J'avais repéré le parcours début juin et effectivement des gravillons étaient présents rendant très difficile la descente de la lauze. J'ai fait la montagnole samedi et j'ai pu constater que la route était plus propre dans son ensemble. Après ce type de course il faut rester prudent sur les descentes et garder une marge de réserve, prendre trop de risque pour 10 places alors qu'on est en paquet, ce n’est pas pour moi.
Des chutes j'en ai vu une pour ma part dans le col de la lauze avec des gens qui se prennent pour Contador et veulent passer en force alors que le passage n'existe pas. Il paye leur manque de patience alors qu'ils semblent avoir des jambes pour relancer.
Accrochage et petite chute mais pas trop grave.
Par contre je tiens à dire que comme d’habitude la sécurité était  là sur la route avec un encadrement des groupes par les motards, des signaleurs à tous les carrefours, des panneaux pour indiquer les endroits dangereux. Seul bémol la séparation des deux cyclos qui a pertubé pas mal de coureurs qui ne regardent pas les panneaux.
Dans la descente du pas de soulombrie des signaleurs à chaque virage pour inciter à ralentir, des protections sur le pont et autre passage délicat. Après je pense être un descendeur acceptable (je reprends toujours du temps à mon groupe) et j’ai fait chaque descente en dedans en rapport au nombre de coureurs qu’on trouve dans ses trajectoires.
Pour ma part je préfère être sur des petites routes sympa avec les gens accueillants que sur la grande route comme au retour avec des voitures qui veulent te doubler (groupe important de coureurs) au risque de ne pas pouvoir se rabattre.
Après j’ai annoncé tous les dangers comme sur mes sorties hebdo comme cela on incite aussi les autres à le faire.
Pour ma part j’ai été plutôt choqué par l’indiscipline de coureurs qui jettent encore leurs déchets (plusieurs rappels et là des regards style va te faire voir) ou qui bloque un véhicule par le fait de ne pas vouloir se ranger.
Des idiots on en trouve effectivement partout, mais j’avais encore l’espoir de croire …
Pour les déchets à chaque point d’eau un filet pour s’en débarrasser donc pas d’excuse, après cela a été une super journée avec une montée de beille toujours aussi dure après les 100 km , mais c’est cela aussi le charme de l’ariégeoise.
C’est ma deuxième participation et je reviendrais l’année prochaine.
Après c’est bien dommage que la pyrénéenne et l’ariégeoise soient sur le même week end, car deux cyclo importante en concurrence c’est bête.

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