Frédéric LAFFAIRE Posté le 21 avril 2019 Share Posté le 21 avril 2019 C'est drôle toutes ces contradictions.Comme par exemple, ne pas prendre de plaisir sur 5-6h mais faire l'EDT. A moins que ce soit surtout pour l'ego, faire des distances et des épreuves où on est sûr d'être dans le premier tiers et pas dans le dernier tiers.Enfin, il ne faut pas se prendre trop au sérieux tout de même.Et de continuer à prendre du plaisir sur des randos de 65 km.Puisque la notion de compétition semble très importante, tout comme les courtes distances, les courses Ufolep ou FFC en circuit peuvent être intéressantes pour faire un jugement sur soi-même et voir si on ne peut pas devenir soi-même un raton. Et si on peut prendre un relai même court de 30 secondes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric HENNUY Posté le 21 avril 2019 Share Posté le 21 avril 2019 "Et si on peut prendre un relai même court de 30 secondes."En fait beaucoup ne progressent pas car il leur faut toujours des roues devant. On voit ça en hiver , surtout chez les jeunes coureurs, jamais prendre de relais. Forcément ils ne font jamais de résultat ou stagnent dans leurs résultats car ils ne savent pas se faire mal, même à l'entrainement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Florian FRISON Posté le 21 avril 2019 Auteur Share Posté le 21 avril 2019 Maurice AUTOBUS ==> "" Si tu étais dans le peloton de devant, tu serais probablement parmi ceux que tu appelles les ratons, déjà bien content de suivre.""Et pourtant non... La preuve encore aujourd'hui où j'étais content de suivre dans un groupe et j'ai pourtant travaillé avec les autres.... Surement moins que certains, mais j'ai quand même fait le minimum pour ne pas que ce soit toujours les mêmes devant.Et autre preuve aujourd'hui qu'il ne faut jamais rien lâcher, les coureurs qui m'ont fait sauté sur la 2ème difficulté, ben je les ai rattrapé dans la dernière, et ils finissent pour certains loin derrière... Donc si je m'étais pas battu pour rester dans un bon groupe et travaillé avec eux, ben je n'aurai pas pu le rattraper... Frédéric LAFFAIRE ==> Comme j'ai dit sur un précèdent message, l'EDT c'est une cyclo à part...Route fermé, parcours mythique et qui change chaque année, paysage somptueux, mélange avec pleins d'autres cultures, ça permet de visiter des endroits qu'on aurai peut être pas eu l'occasion d'y aller, ambiance des spectateurs qui nous poussent à encore plus se dépasser, et qui nous donne pendant l'espace d'un instant d'être sur une vrai étape du Tour , et j'en passes...L'égo est tellement gros, que mon meilleur classement est une modeste 7000 place... Autant dire vraiment pas glorieux...Pour les 65km, c'est plutôt vers 100km en général... La Corima était vraiment courte cette année, et j'ai choisis ce parcours par rapport à ma journée de travail de la veille... Sinon j'aurai surement fait le 105.J'ai ma licence FFC, mais ça fait quand même moins rêver de tourner 40/50 fois sur un circuit de 2km en zone industrielle... Puis pour le moment avec mes soucis de santé depuis Janvier, je suis loin d'avoir le niveau même pour une Pass. Mais c'est prévu pour cette année. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Karl COUDRE Posté le 23 avril 2019 Share Posté le 23 avril 2019 En général il vaut mieux attaquer ou rester dans la première partie du paquet. Peut être qu'il vaudrait mieux aussi pour toi d'en baver avec des plus forts que toi dans un groupe qui te correspond mieux, que de rouler devant un groupe et d'en baver aussi. Problème de placement et d'observation.Sur le coup tu aurais du être un peu plus fataliste et peut être en garder pour placer une mine sur la fin et finir le premier de ton groupe.Si tes problèmes de santé se règlent, ça va s'arranger car tu vas progresser.Au début moi aussi je courais à contre temps, c'était plutôt frustrant. Personne ne veut rouler, mais pour revenir sur toi après les bosses tout le monde est là.En montagne je suis, ou plutôt j'étais, pas assez fort pour être avec les premiers, donc j'étais pratiquement le dernier à lâcher, puis après je faisais tout tout seul, parce que ensuite personne ne pouvait me suivre dans les descentes de cols.Il faut faire avec ce que l'on est, le reste ce n'est pas grave. Mais il y a toujours quelque chose à améliorer. Il y a tellement de paramètres à gérer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe TEILLIER Posté le 26 avril 2019 Share Posté le 26 avril 2019 Si un type roule comme un cinglé à 100km de l'arrivée, je reste derrière!Parfois, je vois des types surpuissants qu'il m'est impossible de relayer et je me dis...Qu'Est-ce qu'il fout là celui-là! Il devrait être devant!Tout le monde n'a pas l'entrainement pour être à fond pendant 150 bornes! De là à se faire décrocher volontairement...c'est juste des cyclosportives!Chacun sait ce que vaut sa prestation. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard PIGUET Posté le 26 avril 2019 Share Posté le 26 avril 2019 Ah "Les Ratons" excellent sujet.Il fut une époque, nous avions coutume de dire que l'on se comportait sur la route comme dans la vie courante. Alors il était entendu que c'était au volant d'une voiture.Mais en ma qualité de cycliste, j'avais quelquefois émis que notre comportement à vélo parmi d'autres, était à l'image de notre parcours dans la vie sociétale.Et cela est tout à fait réel, les "ratons" je les ai connus surtout en FFC, les cyclosportives n'étant pas encore très à la mode, étaient bien trop difficiles pour que "les ratons" puissent étaler leur comportement mesquin. Ah toute une histoire ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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