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Une pensée


Xavier BOILEAU

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""Michou" la science et l'amour du vélo.... manquent effectivement !!"

Pas d'affollement, Serge ... lis ce qui suit    

"En 1965, Jacques Anquetil décide de ne participer à aucun grand tour. Raphaël Géminiani cherche un « exploit de légende » afin de marquer les esprits des détracteurs de son coureur. Il parvient à le convaincre de tenter un doublé Dauphiné libéré-Bordeaux-Paris. Ce projet paraît fou car Bordeaux-Paris, marathon du cyclisme avec ses six cents km, part de Bordeaux la nuit à 1 h 50, soit huit heures seulement après l'arrivée du Dauphiné libéré à Avignon. Les organisateurs des deux courses y sont d'abord opposés, chacun craignant pour la renommée ou l'intérêt de leur compétitionYJ 65. Le programme de Jacques Anquetil en vue de cet exploit lui permet de se montrer à son avantage : en mars, il gagne Paris-Nice et le Critérium national, puis en mai, il s'impose au mont FaronYJ 66.

Au Critérium du Dauphiné libéré, Raymond Poulidor, revanchard après avoir dû s'incliner à la Vuelta face à son coéquipier Rolf Wolfshohl, est le principal adversaire de Jacques Anquetil. Celui-ci gagne les troisième et quatrième étapes, après avoir été distancé dans des ascensions par Raymond Poulidor et être revenu sur lui dans la descente pour gagner à Oyonnax, et dans la plaine avant Chambéry. Lors du contre-la-montre, il est déjà assuré de la victoire. Il gagne cette étape avec 13 secondes d'avance sur Raymond Poulidor et remporte le DauphinéYJ 67. Le départ de la dernière étape est avancé d'une heure pour faciliter le trajet de Jacques Anquetil vers Bordeaux.

Suite dans kelkes minutes  ...

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""Michou" la science et l'amour du vélo.... manque effectivement !!"                                                

Suite - et fin - comme convenu, Serge    

"À 18 h 52, il décolle de l'aéroport de Nîmes-Garons, à bord d'un Mystère 20 mis à disposition par l’État, sur consigne du Président Charles de Gaulle. Il arrive à Bordeaux-Mérignac cinquante minutes plus tardYJ 68, et, à 2 h 30, il fait partie des douze coureurs prenant le départ de Bordeaux-Paris. Il y présente un visage « fatigué et inquiet ». Il est massé en début de course depuis la voiture suiveuse. Malgré la nuit, le public est présent au bord de la route pour l'encourager. Au lever du jour, il est cependant près d'abandonner, assis dans la voiture de Géminiani. Après une « engueulade » de celui-ci, Anquetil repart, « piqué au vif ». Les 300 derniers kilomètres sont effectués derrière un derny. Anquetil est emmené par Jo Goutorbe, avec qui il a gagné le Critérium des As quatre fois. François Mahé est le premier à attaquer. Il compte jusqu'à six minutes d'avance et n'est plus poursuivi que par Tom Simpson, Jacques Anquetil et son coéquipier Jean Stablinski. Celui-ci contre-attaque et Jacques Anquetil laisse Tom Simpson travailler pour revenir sur l'avant de la course. François Mahé et Jean Stablinski sont ainsi rejoints peu avant Dourdan, à 50 km de l'arrivée. Tom Simpson attaque, rejoint par Jacques Anquetil puis Jean Stablinski, qui attaque ensuite dans chaque côte. Dans la côte de Picardie, Tom Simpson est cette fois distancé par Jacques Anquetil qui part seul vers Paris. Il s'impose au parc des Princes. Jean Stablinsi est deuxième, devant Simpson, et effectue avec Jacques Anquetil le tour d'honneur. Après cet exploit unique, Jacques Anquetil fait enfin l'unanimitéYJ 69.

Comme prévu, il fait l'impasse sur le Tour de France en juillet. Raymond Poulidor accepte de mettre ses ambitions de côté et de travailler au succès de Jacques Anquetil au championnat du monde à Lasarte près de Saint-Sébastien. Marcel Bidot, patron de l'équipe de France, accourt auprès du quintuple vainqueur du Tour pour lui annoncer la bonne nouvelle. Jacques Anquetil, sans ménagement pour son historique rival répond : « Il est encore plus %@!? que je le pensais » En septembre, au Grand Prix des Nations, il gagne en parcourant les 75 km à une vitesse moyenne de 47 km/h, devançant Rudi Altig de trois minutes et Raymond Poulidor de cinq. En octobre, il gagne un septième Grand Prix de Lugano puis, le 1er novembre, le Trophée Baracchi avec Jean Stablinski. Il réalise ainsi un triplé unique dans les contre-la-montre de fin de saison. Bien qu'on l'y incite après de telles performances, il refuse de tenter le record de l'heure. À l'issue de cette saison, l'une des meilleures de sa carrière, il est vainqueur du Super Prestige Pernod et du Prestige PernodYJ 70."

 

 

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Bon, Serge, tu as bien profité mais ilfo passer à l'axion.

Comme inscrit dans le dokuman notarié que nous avons signé chez Maître Khornichon, notaire à Saint-Etienne-du-Plakkar, je t'envoie mon RIB pour ke tu puisses casker.

Normal, non ?

Je te rappelle que notre accord prévoit une rémunération basée sur un barême de 10 € la ligne.

RIB ci-joint.

Tu te bouges, of course !

Et n'essaie pas de me doubler en pleurant auprès d'un gilet jaune, ils n'en ont rien à foutre.

Szalu - "salut" en hongrois, le serpent (anaconda) que possède mon voisin de palier est ainsi baptisé   🙁

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