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Posté

Je pense que Libération n'est plus ce qu'il était car quand on écrit ça:

"Pedro Delgado, le maillot jaune contrôlé positif à un stimulant" (ce serait comme écrire Froome contrôlé positif à un stimulant)

alors que c'est totalement faux, ça donne peu de crédibilité au reste du texte et au journal.

Posté

Il y a du vrai, il faut trouver des solutions pour redynamiser le tour comme passer à des équipes de 5 ou 6 coureurs en augmentant le nombre d'équipes...

Pour le dopage, ils ont sans doute oublié de parler de ça il y a 2 semaines dans le grand délire médiatique:

https://www.lemonde.fr/sport/article/2013/06/06/dopage-a-la-juve-il-y-avait-enormement-de-produits_3425352_3242.html

Imaginez si un français devenait champion du monde avec richard virenque comme sélectionneur national...

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Sur l'Equipe, ils en parlent également. Comment rehausser le spectacle.

 

La domination implacable de Sky pousse à imaginer des solutions pour remettre du suspense dans la course : suppression des compteurs, contrôle salarial, réduction plus importante des équipes...
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Dans le même ordre d'idée : article du Télégramme.

M'étonne pas que le Tour me fasse (je ne sais pas trop comment on dit lorsqu'on est vulgaire ... ).

 

Tour de France. À la recherche du suspensePublié le 31 juillet 2018 à 00h00 Modifié le 31 juillet 2018 à 08h25
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image: https://www.letelegramme.fr/images/2018/07/31/apres-wiggins-en-2012-froome-a-droite-en-2013-2015_4094676_540x324p.jpg?v=1

Après Wiggins en 2012, Froome (à droite) en 2013, 2015, 2016, 2017, c'est grâce à Thomas (à gauche) que la Sky a remporté le Tour cette année. (Photo AFP)

Avec six victoires du Tour en sept ans, une pour Wiggins (2012), quatre pour Froome (2013, 2015, 2016, 2017) et désormais Thomas (2018), l'hégémonie de la Sky relève d'une implacable et monotone logique. « On a une équipe, une machine qui fait gagner trois têtes différentes. Ils vont chercher les meilleurs, ceux qui gagnent le Tour de l'Avenir », note le directeur du Tour Christian Prudhomme. Mais la situation pourrait provoquer la lassitude du public, rétif aux scénarios trop prévisibles. Ainsi, plusieurs sujets sont actuellement évoqués pour redonner un maximum d'attractivité à la Grande Boucle. L'expérience d'une étape très courte de montagne (65 km cette année) afin de limiter l'importance du collectif et la recherche de pentes raides pour offrir un terrain favorable aux grimpeurs et aux attaquants, sont notamment appelées à être renouvelées.

 
L'interdiction de la technologie en course ?

Parmi les sujets régulièrement débattus, après l'interdiction des oreillettes, on trouve également l'interdiction des capteurs de puissance qui fournissent les datas aux coureurs en temps réel, pour moduler et calculer leur effort. « Il faut que les coureurs agissent avec instinct », insistait, pendant le Tour, Jean-René Bernaudeau. « La Formule 1 a établi des règles pour favoriser l'attractivité. Il y a des choses à faire dans le cyclisme. Il faut faire vite ». « Le vrai problème est lié à l'aspect financier : Sky a un budget qui est très supérieur au deuxième budget du WorldTour, constate, de son côté, Philippe Mauduit, qui dirige l'équipe Emirats. « Il faudra faire quelque chose si on veut garder l'attractivité du cyclisme à un haut niveau. Il faudra peut-être passer par un "salary cap" (plafonnement des salaires) », ajoute-t-il. Un sujet qui est du ressort de la fédération internationale et que Prudhomme évoque du bout des lèvres : « On peut se dire qu'une répartition des forces comme cela existe en NBA peut avoir du sens ». Interrogé, le président de l'UCI répond : « Il y a toujours eu des équipes avec des moyens supérieurs. Mais j'ai annoncé la création d'un groupe de travail sur l'attractivité des courses. Ce sera fait avant la fin de l'année, avec des coureurs, des organisateurs, des producteurs TV, des journalistes. Il y aura des propositions, on ne s'interdit rien ».


© Le Télégramme https://www.letelegramme.fr/cyclisme/tour-de-france-a-la-recherche-du-suspense-31-07-2018-12041015.php#8TBOoCiFriwKxYbI.99
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J'ai commencé à moins suivre dès après l'ère Hinault.

Mais c'est le cyclisme époque Merckx qui m'a fait aimer le vélo.

Je ne cherche même pas à intellectualiser, ni même à réfléchir, ça ne m'intéresse plus, point barre ... sauf le Ronde et Roubaix.

Par contre je souhaiterais volontiers (peine perdue, certes) que le Tour disparaisse faute d'intérêt du bas public, des bétaillères à pentes des Alpes, et des spectateurs à fortes et force descentes ... des caravanes publicitaires à cochonnailles de mauvaise qualité, à distribution d'élégants bobs, à "on nous enquiquine de pubs".

Pouah ! Les odeurs !

Posté

Entre l'époque Hinault et maintenant Froome, beaucoup de choses ont changé.

La chose la plus importante étant les oreillettes.

Hinault aimait gagner des étapes, actuellement c'est rationalisé. On gagne juste ce qu'il faut. C'est tout juste si le maillot jaune gagne une étape. Il y avait plus de panache, sûrement le dopage vu qu'actuellement tout le monde est à l'eau. Même Armstrong avait plus de panache.

Les étapes en ligne, je ne regarde plus, vu qu'on sait que ce sera un sprinter qui gagnera et je ne comprends pas trop les attaques de certains.Pour les étapes de montagne, comme je vien de le dire, faut faire efficace, donc on gère, on attaque très peu, même les adversaires font de même. On assure une 6ème place, on se bat pour être second, mais on ne joue plus trop la gagne. Ils ont sûrement compris que la Sky va à nouveau gagner le tour.

Certains nous vantent le Giro, la Vuelta, mais aux yeux des coureurs c'est le TDF qui a plus de valeur. Gagner une Vuelta c'est juste pour le fun, gagner un TDF c'est le graal.

Voilà mon ressenti.

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"Je ne pense pas qu'on puisse comparer les tdf gagnés par Merckx et Hinault à ceux gagnés par l'équipe sky."

 

La comparaison, c'était pour dire que personnellement je préfère des Tours de France où les 4 ou 5 meilleurs se tiennent en 2 minutes plutôt qu'un Tour gagné avec 5 minutes d'avance. Quelle que soit la qualité du vainqueur, je ne trouvais pas ça passionnant

Bon, il y avait des Tours de "transition" comme 83 ou 87 par exemple, mais ce n'était pas le plus courant

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Le probénécide est un médicament contre l'urée, Delgado fait de l'urée depuis toujours et il en fait toujours d'ailleurs en 2018 et il se soigne toujours avec un produit de la classe du probénécide.

La question n'est même pas là.

Ce produit, le probénécide pouvait être utilisé en 1988 sur le Tour de France, donc le trouver dans le corps de cyclistes était comme y trouver des traces de chocolat ou de brocoli et ne donnait bien sûr pas positif.

Ici aussi ce contrôle qui n'intéressait personne vu que ce produit était autorisé n'aurait pas du être connu. Mais encore ici la presse s'en fit l'écho pour déstabiliser Delgado comme pour Froome, et ici aussi des intelligents réclamaient son éviction du Tour.

Motif de l'éviction: Delgado avait consommé un produit autorisé.

 

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tu vas un peu vite en besogne en claironnant que le produit en question était autorisé le produit était interdit par le CIO et les instances du cyclisme UCI n'ayant pas jugé nécessaire de se réunir (avant le tour) pour interdire aussi le produit,  la chose n'a été faite qu'au mois d'aout.

les instances sportives ont interdit le probénécide parce que le produit en question avait des effets masquant qui permettait l'usage des anabolisants.

et tu peux raconter ce que tu veux sur l'état  de santé de Pédro Delgado il a juste joué (et son entourage ) de la lenteur de l'UCI a prendre les bonnes décisions au bon moment





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