Eric HENNUY Posté le 31 janvier 2018 Auteur Share Posté le 31 janvier 2018 C'est comique on est classé 1932ème tous les 2 dans le segment que tu cites...Une anecdote: mon plus beau mais aussi mon plus mauvais souvenir du mur de Huy c'était lors de la Eddy Merckx dans les années 90. J'avais été retardé par une crevaison au pied du Stockeu et je m'étais retrouvé dans un groupe qui grossissait au fur et à mesure qu'on reprenait des lâchés. Au pied du mur nous étions une centaine, l'arrivée de cette grosse cyclo (plus de 180km) était à Tihange située à 5-6 km du haut du mur. Au sommet du mur je me retrouve seul en tête du groupe avec plusieurs longueurs d'avance. Je fais le faux plat à fond, personne ne revient. Reste la descente, sinueuse et en mauvais état. En bas de celle-ci à 100 m de la ligne d'arrivée, je fais un écart pour éviter un caniveau... et je me retrouve à terre. Sans doute les réflexes émoussés par la fatigue. Évidemment tous ceux que j'avais lâché m'ont repassé.J'avais sur la tête un Giro Ventoux qui s'est cassé sur la chute...Le réconfort c'est le grand Eddy qui m'a signé mon "diplôme". Il était toujours présent dans les épreuves portant son nom. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brice SERAPHIN Posté le 31 janvier 2018 Share Posté le 31 janvier 2018 Les 500 derniers mètres sont terribles(disons jusqu'aux 100mètres) mais le début de la côte (chemin de chapelle j'entends, soit 500m plus bas) n'est pas non plus à 6%! Lorsque j'ai été voir la course pro ya 3 ans, je suis donc monté à pied jusqu'au "S" et on sent bien que ya du pourcentage. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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