Michel CLAMOT Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Moi, je mettrai barguil pour l'envie, l'autorité, la gnac... mais reste à savoir quels coureurs mettre à son service pour se sacrifier pour lui... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Georges IGOR Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Moscon disqualifié pour son attitude avec les voitures. Mais au bout du compte il aura faussé le final et hypothéqué un peu plus les chances de victoire française Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Steven PICARDA Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Alaphilippe pour le renvoi d'ascenseur! Après, parmi les jeunes encore un peu tendres pour un statut de leader mais avec de réelles qualités de grimpeur, Gaudu, Latour, Martin...Mais bon, d'ici là... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel CLAMOT Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 alaphilippe, barguil, et un ancien çà devrait le faire... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier VINCENT Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Ce sera très difficile de faire la sélection.Si on prend Alaph, Bardet, Pinot, Barguil, il y aura trop de leaders, à moins que les rôles aient été bien défini des mois avants.Mais difficile de dire à un de ces 4 là de préparer ce gros objectif pour faire l'équipier. Ils ont tous d'autre objectifs dans l'année. Je dirais : Leader : Alaphilippe, même avec un circuit difficile, on risque d'avoir 40 coureurs ensemble à l'approche du dernier tour, et une vingtaine au pied de la dernière bosse qui sera plus favorable aux puncheurs. Avec sa pointe de vitesse, le rôle de leader ne se discute pas. Leader bis : Pinot, lui aussi a une bonne pointe de vitesse, il pourrait être utilisé pour attaquer dans le dernier tour, s'il se retrouve dans un groupe d'une dizaine de coureurs, il peut l'emporter. Electrons libres : Barguil et Gallopin, les 2 avec comme objectif de suivre les coups ou durcir la course pour éliminer les hommes rapides dans les 50 derniers km. Équipiers : C'est là que c'est difficile, il nous faut des mecs capables de rouler fort en montée sur plusieurs tours si on se fait piéger ou si on veut écrémer le peloton, et j'ai du mal à sortir les noms. Vuillermoz ? Latour ? Gaudu ? Calmejane ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien JAMET Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 On peut envoyer n'importe qui. De toute façon, c'est Sagan qui va gagner En plus, il en est capable car il est loin de ne pas passer les cols le garçon. Dans les étapes du TDF, il est souvent à l'avant dans les premières parties d'étapes. C'est loin d'être un manche lorsque ça grimpe. Et ce gars est tellemenent hors normes qu'il est capable de se préparer spécifiquement pour ce genre d'épreuves, et la remporter. Perso, je ne crois pas à la victoire d'un grimpeur. Ce sont de petites ascensions, pas des cols de 15 kms qui lessivent. Un profil de coureur de circuit puncheur qui passe pas mal les bosses a toutes ses chances.La dernière fois qu'un circuit présentait autant de dénivellé, c'était en colombie dans les années 90 et le vainqueur était Olano. Loin d'être le meilleur grimpeur du moment. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier LEBOEUF Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 La sélection peut être rendue très simple par les coureurs. Qui sera disponible physiquement et techniquement et psychologiquement pour ce parcours?Tu as isolé les noms des coureurs qui peuvent briller sur ce type de parcours. Il y aura forcément des coureurs "hors service" dans le lot. Pinot n'est pas très régulier, Bardet était cramé de chez cramé sur la Vuelta, Barguil acceptera t'il le rôle qu'on lui assignera?? (lui ou un autre des "favoris" d'ailleurs).Je trouve ça intéressant de ce point de vue là car certains minimisent le rôle du sélectionneur. Il a aussi pour tâche de gérer les coureurs avant et pendant la course. Donc faire des choix en fonction du collectif. Et nul doute que ça va permettre d'écrire quelques pages sur le forum!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Romain BORGET Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 il y a aussi Kenny Elissonde qui a prouvé par le passé (Angliru) qu'il peut faire la différence dans les gros pourcentages. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier LEBOEUF Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Pour Sagan, pas sûr... il est question un peu avant d'un passage à 26%. Pas sûr non plus qu'Alaphilippe digère ce type de montée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien JAMET Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Un passage de 50m à 26%, ce n'est pas décisif Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier LEBOEUF Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Si c'est un passage isolé comme les raidards des Flandres, ça le fait pour un puncheur, mais en plein milieu d'une montée de 4/5 bornes, c'est un autre chantier.Enfin c'est mon point de vue. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier VINCENT Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Il faudra bien sûre voir qui est motivé mais je pense que le trio Pinot - Barguil - Alap voudra en être. Bardet peut être également, en passant par les courses canadiennes au lieu de la Vuelta. Après tout, il adore Liège Bastogne Liège. Guimard parle d'ailleur de se mettre d'accord dès Janvier avec les équipes sur les coureurs pouvant être sélectionnés, pour que le championnat soit intégré dans leur saison. Quand à la difficulté du parcours, j'attend de voir. Le col reste "roulant" (6%) mais long. La dernière bosse avec forts pourcentage n'est présente que dans le dernier tour. Le dénivelé est équivalent à celui de Mendrisio en 2009 (mais le circuit plus difficile) où on avait eu Kolobnev, Cancellara, Gilbert Breschel, Gerrans dans le top 10, pas des grands grimpeurs.Pour comparaison, le Grand prix de Montréal offre un dénivelé de 3900m en 205km, là on aura un peu plus de 4600m de dénivelé en 265km. Alaphilippe doit passer. Sagan, en préparant l’événement doit encore être là dans le dernier tour. Et puis souvenez vous des JO, tout le monde parlait d'un parcours pour grimpeur et au final c'est Van Avermaet qui s'impose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier LEBOEUF Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 "Guimard parle d'ailleur de se mettre d'accord dès Janvier avec les équipes sur les coureurs pouvant être sélectionnés, pour que le championnat soit intégré dans leur saison." C'est intéressant de lire cela car ça devrait permettre d'avoir les coureurs disponibles dans leur corps et dans leur tête pour ces mondiaux. Et pas prendre des coureurs par défaut.Pour le circuit et de ce que j'en ai compris dans le lien de Steven, c'est que le raidard se prendra deux fois, dont une dans le dernier tour. Tout dépendra également du rythme imprimé tout au long de la journée. Si les coureurs attendent le dernier passage pour accélérer, ça risque de finir au sprint entre Greipel et Kittel!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier LEBOEUF Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Merci. Le parcours semble différent de celui de Steven. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Georges IGOR Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Et puis souvenez vous des JO, tout le monde parlait d'un parcours pour grimpeur et au final c'est Van Avermaet qui s'imposeAvec une descente réputé dangereuse, ce qu a été vérifié dans toutes les course, et dans laquelle ont chuté Alaphilippe et le requin de Messine Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claude SIFFERLEN Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 "Mais ... c'est une subtilité ? tu sais ce que l'on nomme tonton ?"Non je ne sais pas.J'ai bien connu en 1981 un Tonton qui nous a bien eu, mais il ne tousse plus... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jacques LOUIS Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 un sprinteur il y a surement pensé mais qui ?? il en avais pas ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jacques LITAIZE Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Je ne vois pas en quoi Moscon aurait concrètement faussé le final et hypothéqué les chances françaises. Au contraire, il a quand même relayé Alaphilippe, et si il avait pu l'accompagner jusqu'au bout, le Français aurait sans doute gagné. Pour le coup, la course aurait été faussée, ce qui n'a pas été le cas. Alaphilippe n'a pas perdu parce qu'il a été rejoint par Moscon, mais parce que l'arrivée était trop lointaine pour résister au retour du peloton.Il est probable que sans les quelques relais de Moscon, il aurait été repris plus tôt. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claude SIFFERLEN Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 Ouf ! Je ne suis pas coureur ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Xavier LARRAS Posté le 26 septembre 2017 Share Posté le 26 septembre 2017 MDR Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés